Agence Ecofin) - Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a élargi à Moscou son offensive pour l’assainissement du marché du pétrole qui est à l’épreuve d’une dégringolade du cours du baril aux effets dévastateurs pour l’économie de beaucoup de pays producteurs.
Le 19 février, il a adressé à son homologue russe Vladimir Poutine un message que le ministre de l'énergie Youcef Yousfi, dépêché à Moscou, à transmis au chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, rapporte APS. A l’occasion, Yousfi et Lavrov se sont entretenu sur « les déséquilibres actuels qui caractérisent le marché international du pétrole, la chute des prix et ses impacts sur les économies des pays exportateurs membres et non membres de l'OPEP », selon un communiqué du ministère de l'énergie repris par APS.
L’Algérie et la Russie, outre leur statut de pays producteurs de pétrole, sont deux fournisseurs de gaz de premier plan au marché européen.A Moscou, l’émissaire algérien a exposé à la partie russe la préoccupation du président Abdelaziz Bouteflika d’amener, dit-on, les pays concernés par la crise du marché pétrolier à « trouver les voies et moyens nécessaires au rétablissement de l'équilibre du marché dans l'intérêt de toutes les parties prenantes ».Mais au-delà, il s’agirait pour le président algérien que ces pays parviennent à « dégager une vision d'avenir claire pour l'industrie pétrolière et gazière », d’après la même source.
Dans sa démarche à cet effet, le présent Abdelaziz Bouteflika a déjà tenté de rallier à sa cause l'Arabie Saoudite, le Sultanat d'Oman, l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Mexique et le Venezuela, outre des pays africains dont le Nigéria, le Gabon, l'Angola, le Congo et la Guinée-équatoriale.
Le 19 février, il a adressé à son homologue russe Vladimir Poutine un message que le ministre de l'énergie Youcef Yousfi, dépêché à Moscou, à transmis au chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, rapporte APS. A l’occasion, Yousfi et Lavrov se sont entretenu sur « les déséquilibres actuels qui caractérisent le marché international du pétrole, la chute des prix et ses impacts sur les économies des pays exportateurs membres et non membres de l'OPEP », selon un communiqué du ministère de l'énergie repris par APS.
L’Algérie et la Russie, outre leur statut de pays producteurs de pétrole, sont deux fournisseurs de gaz de premier plan au marché européen.A Moscou, l’émissaire algérien a exposé à la partie russe la préoccupation du président Abdelaziz Bouteflika d’amener, dit-on, les pays concernés par la crise du marché pétrolier à « trouver les voies et moyens nécessaires au rétablissement de l'équilibre du marché dans l'intérêt de toutes les parties prenantes ».Mais au-delà, il s’agirait pour le président algérien que ces pays parviennent à « dégager une vision d'avenir claire pour l'industrie pétrolière et gazière », d’après la même source.
Dans sa démarche à cet effet, le présent Abdelaziz Bouteflika a déjà tenté de rallier à sa cause l'Arabie Saoudite, le Sultanat d'Oman, l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Mexique et le Venezuela, outre des pays africains dont le Nigéria, le Gabon, l'Angola, le Congo et la Guinée-équatoriale.
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