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Plus de 8.000 entreprises menacées de faillite au maroc

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  • #16
    Lis cet article ou va directement au graphique si tu as la flemme.
    jawzia
    Pas la peine je me contenterais de ceci !


    Le Maroc classé dans le même groupe que la France, l’Italie, la Norvège
    En crise avec les.... grands !

    Encore une fois les causes sont dues à ceci.

    La forte intégration du Royaume dans l’économie mondialisée implique forcément plus d’exposition aux perturbations internationales.
    Il y a certes de la casse depuis l'adhesion à l'OMC mais au moins le Maroc s'ouvre ( et apprend ) de cette globalisation

    Encore une fois la seule préoccupation qui devrait te "travailler" c'est pourquoi l’Algérie n'arrive pas à se mettre à niveau et oser adhérer à l'OMC .

    Et ce n'est pas les périodes de vaches maigres à venir avec un prix du baril au plus bas ( et apparemment pour un certain temps) qui va permettre de subventionner la majorité des entreprises algériennes qui fonctionnent à perte

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    • #17
      Je ne te savais pas devin
      Arrayzon
      Et moi je ne te savais pas naïf ( ou feignant de l’être).

      Amuses-gueule dis tu ( qui se chiffrent en milliards) et surtout qui apprennent aux jeunes ( c.à.d le devenir du pays) à arnaquer leur propre pays ?!!

      Lis moi ça !!





      J’attends avec impatience l’accord de l’Ansej pour réaliser mon rêve : quitter ce pays !” Mourad, 22 ans, de Dar El-Beïda [commune située à 14 km au sud-est d’Alger], a déposé une demande auprès de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej) pour ouvrir une pâtisserie. Son but inavoué : récupérer l’argent et “acheter un visa pour partir d’ici : je veux faire mon avenir à l’étranger”. Et de l’argent, il y en a, surtout depuis que le président Bouteflika a ordonné que plusieurs mesures soient prises pour faciliter les micro-investissements : plafond du crédit sans intérêts revu à la hausse, extension des exonérations fiscales ou encore rééchelonnement dans le remboursement des crédits.

      Selon le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, 15 000 crédits au profit des jeunes au*raient été octro*yés depuis janvier dernier dans le cadre de l’Ansej. Ce dispositif a-t-il permis pour autant de créer des emplois ? C’est là toute la question. “Vous savez, les jeunes profitent des dernières mesures d’apaisement prises par l’Etat pour se remplir les poches, avoue un haut responsable de l’Ansej. Rares sont les projets qui vont aboutir. La seule motivation des jeunes, c’est de décrocher le crédit bancaire pour partir à l’étranger.” Dans les couloirs de l’agence, nous avons croisé Sofiane, 27 ans, de Cheraga [quartier situé à l’ouest d’Alger]. “Je veux m’acheter une voiture et me payer un vo*yage en Turquie cette année. Je vais bientôt récupérer mon argent…” Les crédits octroyés chaque année dans le cadre de l’Ansej sont estimés à plus de 2 400 milliards de dinars pour “ne rien créer”, estiment de nombreux experts. “Lorsqu’elle était semi-autonome, l’Ansej était beaucoup plus performante et opérationnelle ; actuellement, elle est un instrument du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) et régentée par Boughazi, le conseiller du président Bouteflika”, nous renseigne une source militaire. L’Ansej se résumerait donc à une caisse d’enregistrement dépourvue d’organe de contrôle, son rôle consistant à donner un accord à des projets fictifs. Comment s’opère alors le trafic ?

      Blanchir de l’argent

      Avant l’implication de gros barons de l’informel, les candidats de l’Ansej négociaient directement avec les fournisseurs qui leur signaient les factures pro forma nécessaires pour constituer leur dossier. Ces fournisseurs étaient généralement des petits commerçants. Une fois le chèque encaissé par le fournisseur – car la banque paie le fournisseur et non le candidat –, une partie du matériel commandé est livrée pendant que le reste est restitué sous forme d’espèces. Par exemple, un candidat fait une liste d’achats pour le lancement de sa pâtisserie : un frigo, des appareils électroménagers, un four, etc. Une fois la transaction effectuée, il récupère chez son fournisseur les appareils électroménagers et le frigo (des marchandises qu’il peut facilement écouler sur le marché), tandis que le prix du four sera récupéré en espèces. Le fournisseur, lui, prend le soin de majorer les prix. Depuis janvier dernier, plusieurs commerçants versés dans l’informel, flairant les bonnes affaires, se sont mêlés à ce très juteux business.

      Leur méthode d’infiltration ? Ils engagent des intermédiaires et les envoient dans les agences Ansej pour proposer leurs services aux jeunes. “Quel type de dossier voulez-vous déposer ?” nous lance un jeune à l’entrée de l’annexe de l’Ansej de Dar El-Beïda. Issam a 31 ans, il travaille au noir pour un gros commerçant d’El-Hamiz. “Moi, je vous propose de monter un dossier pour ouvrir une boulangerie. Je m’occupe des factures pro forma, du local…”, nous explique-t-il en nous garantissant l’octroi d’un prêt au plus tard dans un mois. En contrepartie, Issam pose ses conditions. “Une fois le chèque encaissé, nous prenons 10 % du montant global de la transaction et nous récupérons aussi les extraits du registre du commerce”, tranche-t-il.

      Mahmoud fait partie des clients d’Issam. Il a bénéficié de son crédit Ansej il y a un mois. “Issam m’a beaucoup aidé et j’ai récupéré mon argent en un temps record. J’ai acheté ma voiture et je compte passer mes vacances en Turquie”, nous révèle-t-il. A en croire les témoignages, ils sont nombreux à avoir eu recours aux services d’Issam. Mais que font-ils ensuite des extraits du registre du commerce ? Il ne nous en dira pas plus. La réponse se trouve chez cet autre intermédiaire de Hussein Dey [commune située à 5 km d’Alger]. “Ces extraits serviront à obtenir des marchés publics, la restauration dans les écoles, les casernes, les grandes sociétés. C’est une couverture que mon patron utilise pour ne pas être identifié et ça marche pour lui”, explique-t-il.

      Via ce trafic, l’argent de l’informel se retrouve ainsi dans le circuit du transfert illicite de devises à l’étranger. Car le trafic ne s’arrête pas uniquement aux transactions fictives de vente et d’achat. Ces mêmes barons profiteraient de ce business pour masquer des transactions douteuses dans les affaires d’import – et pour blanchir de l’argent… “La plupart de ces personnes importent des conteneurs vides qui leur permettent de transférer de l’argent. Puis ils profitent des candidats de l’Ansej en leur établissant de fausses factures de produits importés. Une fois le chèque de la banque encaissé, ils fournissent à leurs clients de faux bons de livraison”, nous explique un douanier.

      Des scènes de bousculades

      A Oran [située dans le nord-ouest de l’Algérie, au bord de la Méditerranée, c’est la deuxième ville du pays], 90 % des demandes enregistrées au niveau de l’Ansej concerneraient… la création d’entreprises de location de voitures ! Les succursales sont prises d’assaut au quotidien, avec des scènes de bousculades. Parfois, des bagarres éclatent dès l’ouverture des bureaux devant les guichets de l’agence, à Canastel. Nous nous sommes rapprochés de Hamid, Sofiane et Rédha. Même dossier, mêmes motivations : la création d’une agence de location de voitures. “Je veux mon agence comme tout le monde. Presque tous mes amis ont bénéficié des crédits de l’Ansej pour lancer leur business”, avoue Sofiane. La mode n’est donc plus à l’ouverture de taxiphones et de kiosques multiservices. “Les jeunes d’aujourd’hui veulent frimer. D’une pierre deux coups, ils ouvrent une agence et friment avec une berline, le tout avec l’aide de l’Etat”, commente un haut responsable à la wilaya d’Oran.

      A Mostaganem [ville du Nord-Ouest connue pour ses belles plages, c’est une destination touristique privilégiée au niveau local], le business se fait discrètement et à petite échelle. Ici, officiellement, certains jeunes sollicitent l’Ansej pour s’adonner à leur activité préférée : la pêche. Pour la plupart, ce sont des passeurs qui ont trouvé en l’Ansej un moyen pour réduire les coûts. Mohamed a récupéré son crédit pour l’achat de chalutiers mais… il n’en fait rien. “Je préfère passer commande pour m’acheter de petites barques et envoyer un maximum de jeunes en Espagne”, confie-t-il, sûr de lui. “J’ai beaucoup de réservations en ce moment et je n’avais pas les moyens de les satisfaire. Grâce à mon crédit Ansej, j’ai passé commande pour la construction de dix boti (barques)”, raconte le jeune passeur. Il n’est pas le seul.

      “Vous n’allez pas nous dénoncer aux autorités ! Allah ghaleb [Dieu puissant], nous n’avons pas d’autres moyens pour gagner notre vie”, nous supplie Djilali, 32 ans, balafre à la joue et bras mutilé, avant de nous menacer. “Si je lis quoi que ce soit concernant cette affaire dans le journal, vous le paierez très cher.”
      Donc rassures-toi ce n'est pas la moitié de l'économie qui est en faillite

      Tu as compris la nuance?
      C'est à toi de saisir maintenant que c'est tout l'avenir ( et la richesse) de ton pays ( à savoir sa jeunesse) que la junte est en train de pourrir pour gagner la paix sociale..
      Dernière modification par Serpico, 14 janvier 2015, 22h52.

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      • #18
        Serpico re !

        qui se chiffrent en milliards
        C'est des dinars

        Cela fait 24 milliards de dollars et en 10 ans pour avoir la paix, ce n'est pas cher payé ...
        Les 3/4 de ces crédits ont été réinjectés dans l'économie donc bénéf pour tous ....

        la junte...


        La junte n'est qu'un maillon du pouvoir...
        Tu as des choses à apprendre

        A+.
        La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
        De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
        .
        Merci.
        " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

        Commentaire


        • #19
          C'est des dinars


          Tu as une drole d'estime pour ta monnaie !

          Cela fait 24 milliards de dollars et en 10 ans pour avoir la paix, ce n'est pas cher payé ...
          En effet c'est rien () et c'est pas cher payé pour une paix éphémère qui risque de voler en éclat à tout moment ( comme en 1988) avec un prix du baril qui frise les 40 dollars.

          La junte n'est qu'un maillon du pouvoir...
          Tu as des choses à apprendre
          Tu plaisantes j’espère ?

          C'est "al koule fil koule" .

          Commentaire


          • #20
            Serpico re !

            C'est "al koule fil koule" .
            Si c'est Serpico qui le dit

            A+.
            La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
            De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
            .
            Merci.
            " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

            Commentaire


            • #21
              En tout cas, connaissant surtout les PME liées aux NTIC et aux services, un point positif au Maroc par rapport aux autres maghrébines : le Choix 1 revient toujours à des solutions marocaines alors qu'en Algérie les sociétés algériennes sont obligés à faire des alliances avec des françaises/suisses/autres pour gagner des marchés algériens.

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              • #22
                Si c'est Serpico qui le dit

                A+.

                arayzo
                n
                C'est une triste réalité qui dure depuis 1962 et il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir

                Commentaire


                • #23
                  En crise avec les.... grands !

                  Encore une fois les causes sont dues à ceci.

                  Citation:
                  La forte intégration du Royaume dans l’économie mondialisée implique forcément plus d’exposition aux perturbations internationales.
                  Il y a certes de la casse depuis l'adhesion à l'OMC mais au moins le Maroc s'ouvre ( et apprend ) de cette globalisation

                  Encore une fois la seule préoccupation qui devrait te "travailler" c'est pourquoi l’Algérie n'arrive pas à se mettre à niveau et oser adhérer à l'OMC .

                  Et ce n'est pas les périodes de vaches maigres à venir avec un prix du baril au plus bas ( et apparemment pour un certain temps) qui va permettre de subventionner la majorité des entreprises algériennes qui fonctionnent à perte


                  il faut imaginer que le retrait de pme pmi étrangères et la fermeture de petites entreprises marocaines qui travaillaient à l'export (textile, agrumes) suite aux chamboulements récents des rapports du royaume avec l'UE et la chine (M6 a annulé sa visite à Pékin) ont une influence directe sur ce chiffre qu'il faut espérer contextuel...

                  ps : benkirane ne semble pas non plus faire autre chose que la rhétorique...

                  Commentaire


                  • #24
                    Il y a certes de la casse depuis l'adhesion à l'OMC mais au moins le Maroc s'ouvre ( et apprend ) de cette globalisation
                    L'adhésion date de presque 30 ans. L'apprentissage prend beaucoup de temps ou c'est l'élève qui redouble ses classes

                    Le problème est que l'économie marocaine est bien trop fragile pour tenter l'aventure de l'ouverture béate. Il n'y a qu'à voir le bilan des ALE : déficit avec la Tunisie, les émirats, l'UE, les USA, la Jordanie, l'Égypte, la turquie ...

                    Pour la mortalité des entreprises, un accroissement de 10% par an signifie (presque) une espèce en voie de disparition.
                    Dernière modification par jawzia, 16 janvier 2015, 08h43.

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                    • #25
                      Serpico bonjour !

                      C'est une triste réalité qui dure depuis 1962


                      Serpico qui me donne des leçons d'Histoire Géo sur mon propre pays

                      A+.
                      La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                      De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                      .
                      Merci.
                      " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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                      • #26
                        De mal en pis

                        Délais de paiement: L’Etat rechute
                        BTP, électricité,… les délais peuvent aller jusqu’à 480 jours

                        Dans l’agriculture, des entreprises de services doivent attendre un an
                        ##img0##L’Etat est mauvais payeur. Les délais de paiement sont toujours longs et n’épargnent aucun secteur. Le problème ne porte pas uniquement sur la disponibilité des budgets, mais aussi sur les procédures, sur «l’excès de zèle» des responsables. Les audits et contrôles effectués par la Cour des comptes et les dysfonctionnements relevés font que les responsables demandent une paperasse jugée impressionnante. «Chacun interprète la situation à sa façon, ce qui bloque les dossiers. Certains vont jusqu’à* vérifier les points et virgules. Les rejets s’effectuent en cascade et les petites entreprises sont dans une situation difficile», souligne un opérateur. Pour Bouchaib Benhamida, président de la FNBTP, il s’agit d’un problème de culture à mettre en place: «La liquidation des marchés est longue ainsi que leur réception.* On a même l’impression que les maîtres d’ouvrage ne sont pas concernés».

                        Même les entreprises du secteur agricole sont touchées par le phénomène de délais de paiement. «Depuis début 2013, les délais se sont rallongés. Les entreprises de services sont aujourd’hui dans une situation délicate», note un opérateur sous couvert de l’anonymat. Par crainte de représailles, la majorité des opérateurs contactés ont préféré garder l’anonymat.

                        Celles qui opèrent dans l’irrigation doivent aujourd’hui attendre plus de 9 mois, voire 12 mois, avant de se faire payer. Une réunion sur ce dossier vient d’ailleurs de se tenir entre le Crédit Agricole, qui joue le rôle d’agent de paiement pour le compte de l’Etat,* et l’Association marocaine de l’irrigation par aspersion et goutte-à-goutte (Amiag).
                        ##img1##Pourtant, au lancement du plan Maroc Vert, les délais de décaissement des subventions aux agriculteurs ne dépassaient pas 3 mois et donc les entreprises de services se faisaient également payer dans des délais raisonnables. Car, si les grands exploitants financent les travaux avant de se tourner vers le département de l’Agriculture pour obtenir la subvention, les petits agriculteurs observent d’autres schémas. Dans la majorité des cas, ils se mettent d’accord avec les entreprises de services pour que le paiement n’intervienne qu’une fois la subvention versée par l’Etat. Ils leur accordent ainsi une* délégation de créance. Une pratique acceptée puisque, au départ, les délais de versement des subventions étaient corrects.
                        En principe, les travaux ne démarrent qu’une fois un PV d’approbation est établi par une commission technique provinciale relevant du ministère de l’Agriculture. Une fois achevé, le dossier est complété par le dépôt des factures de réalisation et la commission technique vérifie l’authenticité des déclarations avant d’accorder son approbation et de réorienter le dossier vers le guichet unique. Ce dernier saisit à son tour le Crédit Agricole pour l’établissement du chèque. «Si le Crédit Agricole ne paie pas à temps, c’est parce que l’Etat ne débloque pas les fonds», affirment des sources proches du dossier.
                        Le plan Maroc Vert prévoit une batterie de subventions dont celles relatives à l’irrigation et équipement en matériel agricole. A titre d’exemple, 11.000 dirhams sont accordés par hectare équipé pour les petits agriculteurs, soit ceux dont l’exploitation compte une superficie de 5 hectares et moins. Pour les autres, la subvention est de 7.000 dirhams l’hectare. D’ailleurs, la demande en aménagement hydro-agricole encouragé par les aides publiques a été à l’origine de la création d’entreprises spécialisées dans cette activité.
                        Si les grandes entreprises arrivent à gérer les retards de paiement, les petites structures ont du mal à se financer. «Les PME et TPE sont dans une situation difficile. Entre le discours politique qui se veut rassurant vers ces structures et la réalité du terrain, il existe un gap», accuse un opérateur dans le BTP. Abdelaziz Dahbi, président de l’Association marocaine des routes, reconnaît que «faute de paiement, certaines entreprises arrêtent les travaux».*
                        Le président de la fédération du BTP affirme que ce sont surtout les offices et établissements publics qui sont concernés par ce problème: «Les budgets d’investissement sont votés dans la loi de Finances. Donc ce n’est pas un problème de financement». Pour lui, l’évaluation des maîtres d’ouvrage devrait s’effectuer par rapport aux délais de paiement et à leur capacité à exécuter les budgets d’investissement.

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                        • #27
                          Délais de paiement: L’Etat rechute
                          meme pas surpris .

                          l'etat est un mauvais gestionnaire et un mauvais payeur , c'est connu ...

                          Ecoutes téléphoniques: Mobistar et Base assignent l'Etat belge en justice



                          La police fédérale aurait chez Mobistar une ardoise à huit chiffres. De sources concordantes, plus de 10 millions d’euros des factures impayées. Une situation tolérée jusqu’à ce jour. Mais le groupe télécom, assez préoccupé par les économies de coûts dans un secteur férocement concurrentiel, n’entend pas offrir de remise de dette.
                          L’heure est plutôt à l’action en justice, et non sans une certaine ironie. En vue du recouvrement des créances, Mobistar aurait ainsi assigné nos gardiens de la paix devant le Tribunal de première instance de Bruxelles.


                          source la Libre.be




                          La Wallonie a payé 800.000 € d’intérêts pour factures impayées en 2013



                          En matière de délai de paiement les pouvoirs publics n’ont pas vraiment bonne réputation. Les délais sont rarement respectés et les créanciers sont parfois confrontés à des situations difficiles lorsque certains paiements ne suivent pas.
                          Le député wallon Pierre-Yves Jeholet (MR) interrogeait récemment par écrit le ministre wallon en charge du Budget, Christophe Lacroix (PS) sur les délais en vigueur actuellement au sud du pays. "Les retards de paiement sont un véritable fléau pour de nombreuses entreprises, surtout les PME. Selon une étude de l’UCM menée en 2013, une faillite sur quatre serait due, du moins en partie, aux paiements tardifs. Ces difficultés sont également réelles pour les pouvoirs locaux qui sont de plus en plus confrontés à des difficultés financières."



                          et c'est pire dans le secteur de la construction ......
                          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                          • #28
                            Délais de paiement: L’Etat rechute

                            L'Etat n'est pas un bon payeur depuis longtemps ,sauf par moment , en général les entreprises qui travaillent avec l'Etat ,incluent dans leurs soumissions ces coûts de retards de paiement

                            Commentaire


                            • #29
                              en général les entreprises qui travaillent avec l'Etat ,incluent dans leurs soumissions ces coûts de retards de paiement
                              Et pourtant chaque année, il en meurent 10% de plus que l'année d'avant.

                              A ce rythme et en une decennie ...

                              Commentaire


                              • #30
                                A ce rythme et en une decennie

                                Chaque année 35 000 environ de sociétés sont crées

                                Commentaire

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