Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Plus de 8.000 entreprises menacées de faillite au maroc

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Plus de 8.000 entreprises menacées de faillite au maroc

    Plus de 8.000 entreprises menacées de faillite
    Par Ismail Benbaba le 13/01/2015

    Le cabinet Euler Hermès réitère ses mises en garde face aux risques de défaillance des entreprises marocaines de plus en plus élevés. Dans un récent rapport intitulé «Le ver est dans le fruit», Euler Hermès table sur 10% de défaillances pour 2015.
    Les secteurs du BTP, de l’immobilier (tous standing confondus) et de l’agriculture représentent les secteurs les plus menacés par les défaillances en 2015 selon le cabinet Euler Hermès. C’est notre confrère L’Economiste qui revient sur le sujet, dans son édition du mardi 13 janvier, précisant que* l’assureur-Crédit prévoit d’ailleurs 10% de défaillance concernant* les entreprises marocaines* cette année. Hicham Bensaid Alaoui, directeur des engagements chez Euler Hermès, explique dans une interview donnée au journal qu’il y a deux sources majeures de défaillance relevées dans l’économie marocaine. Il identifie, d’un côté, des éléments structurels notamment dans quelques secteurs en particulier* tels que la résilience de l’informel, le manque de structuration de certaines entreprises* comme étant des freins au développement. D’autre part, Bensaid Alaoui note des facteurs conjoncturels plus ou moins ponctuels comme la situation économique mondiale, la crise en Russie etc.

    Inverser la tendance
    L’Economiste précise que le Maroc est classé dans le même groupe que la France, la Norvège, l’Italie ou encore la Finlande. Un groupe de pays qui peine à sortir des risques de défaillances. Il faut dire que la forte intégration du Maroc dans l’économie globalisée accentue son exposition aux différents bouleversements sur le plan international. Selon les prévisions de l’assureur-Crédit le nombre des entreprises marocaines qui vont connaitre la faillite en 2015 devrait atteindre 8.374, soit 10% de plus qu’en 2014 où Euler Hermès avait* recensé pas moins de 7611 entreprises. Pour que le taux de faillite cesse d’augmenter, il faudrait que la croissance marocaine atteigne les 5% au lieu des 4,2% prévus en 2015, ont notamment souligné les consultants du cabinet lors* de la 2ème édition de l’Observatoire du commerce international: « Risques et opportunités à l’exportation », organisée le 4 novembre 2014 à Casablanca. Pour ce faire, le Maroc doit miser sur le renforcement du développement des pôles de compétitivité (Offshoring, tourisme, textile…) conclut le quotidien.

  • #2
    Je trouve que c'est normal quand on a accepté la mondialisation ,il y a un prix à payer ,surtout que le management de ces entreprises menacées laisse à désirer , il faut recruter des compétences et les restructurer pour pouvoir s'adapter

    Commentaire


    • #3
      dans la jungle, ça s'appelle selection naturelle

      Commentaire


      • #4
        L’Economiste précise que le Maroc est classé dans le même groupe que la France, la Norvège, l’Italie ou encore la Finlande.
        voilà le genre d'articles qu'il ne faut pas lire en diagonale .... sous peine de trés mal comprendre

        Les secteurs du BTP, de l’immobilier (tous standing confondus) et de l’agriculture représentent les secteurs les plus menacés
        Bof , le BTP et l'immobilier ont de tout temps été des secteurs térs volatile ..... ne serait ce que par le fait qu'on peut pas construire indefinniment et à un rythme effréné

        l'agriculture ...... je veux bien qu'on m'explique la notion d'une entreprise qui fait faillite dans un pays ou les entreprises agricoles sont exonérées d'impots et réalisent une bonne partie de leur chiffre ....... EN NOIR
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

        Commentaire


        • #5
          L’Economiste précise que le Maroc est classé dans le même groupe que la France, la Norvège, l’Italie ou encore la Finlande.

          nous pays développés, on a les mêmes problèmes....


          ok je sors ...

          Commentaire


          • #6
            Parmi les actions pour améliorer l'efficience d'une économie est de laisser mourir les entreprises les moins efficaces
            Celles qui détruisent la valeur au lieu de la créer
            en expulsant ces entreprises peu performantes on libère le marché aux entreprises performantes

            C'est la destruction créatrice telle que théorisé par Joseph Schumpeter

            La « destruction créatrice » désigne le processus continuellement à l'œuvre dans les économies et qui voit se produire de façon simultanée la disparition de secteurs d'activité économique conjointement à la création de nouvelles activités économiques.

            L'expression est associée à l'économiste Joseph Schumpeter (1883 ‑ 1950) qui en assure une large diffusion avec la parution de son livre Capitalisme, Socialisme et Démocratie publié en anglais aux États-Unis en 1942, traduit en français en 1951.
            .
            .
            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
            Napoléon III

            Commentaire


            • #7
              Parmi les actions pour améliorer l'efficience d'une économie est de laisser mourir les entreprises les moins efficaces
              Celles qui détruisent la valeur au lieu de la créer
              en expulsant ces entreprises peu performantes on libère le marché aux entreprises performantes

              C'est la destruction créatrice telle que théorisé par Joseph Schumpeter

              ca donne plus de qualité aussi...

              Commentaire


              • #8
                On se console comme on peut avec un baril qui frise les 40 $ et qui risque de mettre en faillite tout un pays.

                Pour le Maroc l'explication est donnée ici .

                Il faut dire que la forte intégration du Maroc dans l’économie globalisée accentue son exposition aux différents bouleversements sur le plan international.
                Parmi les actions pour améliorer l'efficience d'une économie est de laisser mourir les entreprises les moins efficaces
                Celles qui détruisent la valeur au lieu de la créer
                en expulsant ces entreprises peu performantes on libère le marché aux entreprises performantes

                C'est la destruction créatrice telle que théorisé par Joseph Schumpeter
                ET comme le monde est globalisé et qu'il n' y a pas de solution que de s'y frotter pour s'endurcir , c'est le prix à payer .

                C'est en tout cas mieux que de compter sur une seule béquille et on voit aujourd'hui ce qui en découle..
                Dernière modification par Serpico, 13 janvier 2015, 16h03.

                Commentaire


                • #9
                  On se console comme on peut avec un baril qui frise les 40 $ et qui risque de mettre en faillite tout un pays
                  Gallek "je suis d'un certain âge" Passons.

                  Ce n'est pas tant que des entreprises "meurent" pendant que d'autres naissent qui interpelle mais cet accroissement de leur "morbidité" (10% par an) qui ne semble pas être dans les standards.

                  Commentaire


                  • #10
                    Ce n'est pas tant que des entreprises "meurent" pendant que d'autres naissent qui interpelle mais cet accroissement de leur "morbidité" (10% par an) qui ne semble pas être dans les standards.
                    jawzia
                    Et quels sont ces standards ?

                    Les tiens j'imagine !

                    10% pour toi c'est la cata ?


                    Et si tu nous donnais la situation des entreprises algériennes ( supportées à perte par l’État) pour mieux apprécier ces standards ..

                    S'il y a une chose qui dois te préoccuper c'est cette VRAIE faillite surtout que les années de vaches grasses c'est apparemment finie...

                    Faillite du dispositif Ansej :50% des entreprises ont disparu

                    Malgré un dispositif légal et réglementaire jugé très favorable à la création de micro-entreprises en tant que moyen d’aide aux chômeurs, le manque de suivi et d’accompagnement des bénéficiaires induit, dans la majorité des cas, une mort certaine des entreprises.
                    Ainsi, selon M. Djerrad, commissaire aux comptes et président de l’Union des experts-comptables d’Algérie, « plus de 50% des entreprises créées dans le cadre des dispositifs du micro-crédit finissent par disparaître ». C’est une évaluation qui reste « mesurée » et « en deçà de la réalité », nous confie par ailleurs M. Djerrad. Ce dernier a laissé entendre que le chiffre réel de mortalité des entreprises relevant des mécanismes de soutien à la création d’emploi est beaucoup plus important. Outre le manque d’accompagnement des jeunes promoteurs, il existe également, selon l’orateur, un autre facteur qui induit le manque d’efficacité de ces dispositifs.
                    Il s’agit, selon M. Djerrad, de l’absence de contrôle des institutions en charge d’appliquer les dispositifs de création de micro-entreprises. « Les dispositifs sont extraordinaires sur le plan réglementaire, mais en pratique, il n’y a ni suivi ni contrôle de ces dispositifs et des entités qui les gèrent », a-t-il affirmé. « Celles-ci n’ont aucun compte à rendre, ce qui rend impossible toute évaluation crédible », insiste le commissaire aux comptes, qui pose aussi le problème « des taux dérisoires de remboursement des crédits alloués aux chômeurs et du manque flagrant de transparence ». M. Djerrad en veut pour preuve l’absence de bilans d’évaluation des dispositifs existants.
                    Il faut dire, en effet, que lors de la table ronde consacrée hier à la micro-finance, organisée dans le cadre du forum d’El Moudjahid, les intervenants étaient dans l’incapacité de fournir les bilans récents des dispositifs de micro-crédit. Ainsi, le représentant de l’Ansej s’est contenté de renvoyer la presse au seul bilan publié par son organisme et datant de 2005 ! Un bilan qui faisait ressortir alors un taux de mortalité de 20 à 25% des entreprises créées dans le cadre de l’Ansej.
                    Une évaluation qui est de toute façon dépassée et qui, de surcroît, ne semble pas du tout en phase avec la réalité. Sur le terrain, beaucoup d’entrepreneurs aidés par l’Ansej – ou par les autres dispositifs de micro-financement – échouent en cours de route, restent dans l’informel ou refusent de rembourser le crédit. « Le problème des crédits impayés est difficile à résoudre », nous dit M. Djerrad, soulignant que les bénéficiaires ont en général le sentiment que le crédit est « un droit », voire « un don de l’Etat ».
                    Les organismes se voient donc démunis face au faible taux de recouvrement, les procédures judiciaires sont longues et coûteuses par rapport au faible taux d’intérêt du micro-financement et les résultats des procédures incertains. Lors de la table ronde sur la micro-finance, les participants ont relevé également le problème de l’absence d’une institution spécialisée dans la gestion du micro-crédit (IMF).
                    Cette institution devrait pourtant permettre à l’Etat, selon les spécialistes, de se charger uniquement de la politique du micro-crédit en tant qu’outil de développement économique des populations défavorisées et du contrôle de l’activité de micro-finance pour éviter les abus et la corruption, laissant à l’IMF – qui travaille avec les ONG, les associations et des bureaux d’études spécialisés – le soin d’accorder et de rentabiliser les crédits en vue de créer une véritable dynamique de micro-finance.
                    .**********
                    Quant au Maroc depuis que tu lui prédis les pires scénarios ( depuis 2006) , on peut dire qu'il a vraiment la carapace dure et tout celà sans...pompage

                    Commentaire


                    • #11
                      Inchallah une dégringolade des prix de l'immobilier Meknès c'est plus cher qu'en Belgique c'était quoi cette logique de khoroto ils n'avaient qu'a pas spéculé c'est haram en plus....

                      C'est vrai que les délai sont dur mais c'est surtout un problème de mentalité...

                      Il faut éduqué les gens à une gestions saine à tous les niveaux....

                      Commentaire


                      • #12
                        Inchallah une dégringolade des prix de l'immobilier Meknès c'est plus cher qu'en Belgique
                        Très vrai j'ai personnellement visite des apparts de 100 m2. ....... dont le prix atteignait 150-180.000 €........ et à casa ranger ou rabat ... c encore pire .
                        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                        Commentaire


                        • #13
                          Et quels sont ces standards ?
                          Les tiens j'imagine !
                          Et si tu essayais une seule fois de te conduire en adulte ?

                          Lis cet article ou va directement au graphique si tu as la flemme.
                          Défaillances d’entreprises : Les mises en garde d’Euler Hermes
                          10% de défaillances d’entreprises prévues en 2015

                          Le Maroc classé dans le même groupe que la France, l’Italie, la Norvège

                          Problèmes de liquidité à court terme, lenteur des réformes structurelles, retards de paiement, méventes dans l’immobilier… Pour le cabinet Euler Hermes, bien que l’année 2014 ait apporté son lot de bonnes nouvelles pour l’économie mondiale, notamment une baisse des faillites de 12% ou encore une première baisse de près de 30% des retards de paiement depuis 2011, «le diable se cache dans les détails».

                          C’est en substance ce qui ressort d’un récent rapport intitulé: «Le ver est dans le fruit». Parmi les constats forts qui s’en dégagent: des disparités sur les plans sectoriel et régional. Sur ce registre, Euler Hermes prend l’exemple du «secteur des matières premières qui connaît d’importantes faillites vu que la baisse des prix du pétrole entraîne une chute rapide des marges». Globalement, le Maroc est classé dans le groupe 4, où les défaillances d’entreprises atteignent le «point haut et souvent historique» de 10%. Un groupe de pays qui peinent à sortir des risques de défaillances. Au même titre que le Maroc, la France, l’Italie, la Norvège, la Finlande… ou encore la Grèce font aussi partie du même groupe.

                          «Il y a deux sources majeures de défaillances relevées dans l’économie marocaine. D’un côté, la résilience de l’informel, les retards pris en R&D, le renouvellement de l’outil industriel… De l’autre, des facteurs conjoncturels plus au moins ponctuels tels que la situation économique mondiale, la crise en Russie, la menace terroriste…», explique Hicham Bensaid Alaoui, directeur Engagements chez Euler Hermes. La forte intégration du Royaume dans l’économie mondialisée implique forcément plus d’exposition aux perturbations internationales. Les secteurs du BTP, de l’immobilier (tous standings confondus) et de l’agriculture seraient les plus menacés par ces défaillances en 2015, selon les consultants. Plus encore, la baisse du baril est perçue comme un atout, puisqu’elle allège la facture énergétique des industriels.

                          Euler Hermes y perçoit aussi une contrainte, qui pourrait à terme faire des victimes collatérales spécialement au niveau des opérateurs ayant constitué des stocks importants de carburants au prix fort. Ces opérateurs (distributeurs en l’occurrence) se verront obligés de revendre à perte. Selon un consultant d’Euler Hermes, l’ajustement du solde budgétaire sera toujours d’actualité en 2015, pour un déficit public de 4,6% du PIB, qui se situait à 5% l’année dernière. Le renforcement du développement des pôles de compétitivité (offshoring, tourisme, textile…), constituerait un atout à même d’inverser la tendance.
                          Dernière modification par jawzia, 14 janvier 2015, 09h46.

                          Commentaire


                          • #14
                            Très vrai j'ai personnellement visite des apparts de 100 m2. ....... dont le prix atteignait 150-180.000 €........
                            Cell
                            T'es sur ?

                            Car ça me parait un peu excessif .

                            D"après un document en ma possession que je t'envoie en MP si tu veux ( pour éviter la pub) le prix moyen à Meknès est le suivant pour les trois derniers mois...

                            Prix moyen par m2: 3211 Dh | Prix moyen par logement : 770617 Dh
                            Dernière modification par Serpico, 14 janvier 2015, 21h53.

                            Commentaire


                            • #15
                              Serpico bonsoir !

                              S'il y a une chose qui dois te préoccuper c'est cette VRAIE faillite surtout que les années de vaches grasses c'est apparemment finie...
                              Je ne te savais pas devin

                              Sinon en ce qui concerne ces micro-entreprises, comme leur nom l'indique sont justes des amuse-gueule pour calmer des jeunes,une sorte de perte et profit au prix de la "paix sociale".

                              Donc rassures-toi ce n'est pas la moitié de l'économie qui est en faillite

                              Tu as compris la nuance?

                              A+.
                              La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                              De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                              .
                              Merci.
                              " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X