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Les dernières mesures pour booster l'industrie et juguler la bureaucratie : l'Etat lève les barrières

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  • Les dernières mesures pour booster l'industrie et juguler la bureaucratie : l'Etat lève les barrières

    L'invitation des Tchadiens lancée aux Algériens pour venir investir dans leur pays, se présente comme le véritable coup de starter du virage important que compte entreprendre le gouvernement en matière d'investissement à l'extérieur.


    C'est dans ce sens que le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb a présenté lors de la réunion restreinte du gouvernement avec le président de la République un nouveau plan d'investissement qui vise à améliorer le climat des affaires en Algérie et à encourager les investissements algériens à l'étranger. Dans cette présentation faite lors du Conseil des ministres restreint le 24 décembre dernier, le ministre de l'Industrie et des Mines Abdessalem Bouchouareb a tenu à rappeler que l'Algérie a signé un accord d'assistance technique avec la Banque mondiale le 24 novembre 2014. Le ministre s'inspire du rapport 2014 Doing Business de la Banque mondiale sur l'Algérie pour améliorer le climat d'affaires.
    M.Bouchouareb souligne que ce classement est loin de constituer un élément de l'appréciation de l'image de l'Algérie.

    Le classement Doing Business, même s'il n'est pas une fin en soi, aidera à améliorer le climat des affaires dans les domaines couverts par les indicateurs, avait préconisé M.Bouchouareb lors d'une séance de travail tenue au siège de la Banque mondiale à Washington DC avec le directeur des opérations Mena au sein de l'institution internationale, Gerard Byam. La BM a classé l'Algérie parmi les 11 pays de la région Afrique du Nord et du Moyen-Orient (Mena) ayant engagé des réformes pour améliorer l'environnement des affaires. Dans sa présentation la semaine dernière, M.Bouchouareb a affirmé que l'amélioration du climat des affaires est un critère important pour attirer les capitaux étrangers devant la raréfaction des capitaux et de la forte concurrence.

    C'est dans ce sens que le Premier ministre Sellal a installé un comité de suivi du climat des affaires composé du ministre de l'Industrie et des Mines, du ministre des Finances et du ministre de l'Intérieur. Le gouvernement Sellal a préconisé une série de mesures à prendre rapidement avant le prochain rapport de la Banque mondiale. Pour cela, le gouvernement appelle à une forte coordination intersectorielle et des avancées significatives en matière de TIC. «Désormais, l'acte d'investir est un acte libre.

    Le Premier ministre ordonne la levée des obstacles bureaucratiques pour les investisseurs étrangers et algériens», s'efforce-t-on de déclarer. L'Etat sera néanmoins chargé de la régulation et du contrôle. «Nous devons nous adapter aux standards internationaux à travers une réforme législative et réglementaire de nos modes de gestion et d'intervention dans la sphère économique» a souhaité M.Bouchouareb. Dans cette optique, le Premier ministre a demandé à chaque ministre de prendre en charge les mesures adéquates pour améliorer l'indicateur de son secteur. Il a demandé à ce que l'administration ne s'immisce plus dans les décisions de l'investisseur et doit l'accompagner dans son projet.

    L'administration doit libérer les initiatives et lever la bureaucratie, a t-il insisté. L'Algérie, l'une des plus puissantes économies d'Afrique, est désormais lancée dans la prospection de nouvelles niches économiques rentables dans des petits pays d'Afrique. Le gouvernement algérien qui s'est longtemps reposé sur les lauriers, pense à rattraper les marchés qu'il a perdus en Afrique. Notre pays qui possède la plus grande superficie du continent africain, partage sa frontière avec ses pays d'Afrique.

    En économie, ses pays peuvent servir de marché pour écouler ses produits locaux et un espace pour les investissements dans des opérations extra-muros. Si l'Algérie exportait vers la Tunisie une grande partie de ses produits, elle a néanmoins négligé des marchés de grande consommation comme la Libye, la Mauritanie, le Mali, le Niger ou encore le Maroc, le Sénégal ou le Tchad.

    Hormis la Sonatrach, la puissante entreprise pétrolière nationale qui est présente et opère dans plusieurs régions en Afrique (au Mali, en Tunisie, au Niger, en Libye, en Égypte et Mauritanie), aucune autre entreprise nationale y est présente. La Sonatrach est présente par le biais de sa filiale Sipex (Sonatrach International Production and Exploration Corporation). Mais cette présence dans le pétrole est infime par rapport à celle des Marocains, Français et maintenant Chinois dans certains pays d'Afrique.

    Le gouvernement devra encourager l'investissement des grandes entreprises publiques algériennes en Afrique. A côté des hydrocarbures, il y a également l'agroalimentaire, les télécoms (le Maroc est présent dans plus de six grâce aux investissements de Maroc Télécom). L'Algérie qui s'apprête à construire cinq centrales électriques peut également exporter l'électricité aux pays africains voisins. Enfin, l'un des points importants pour l'investissement à l'étranger c'est la mise en place de lignes aériennes nouvelles avec l'Afrique. Le Maroc a pu investir au Sénégal, au Gabon au Burkina Faso et au Mali grâce à ses ponts aériens avec l'Afrique subsaharienne et sahélienne.


    Source : lexpressiondz.com
    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
    .
    Merci.
    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

  • #2
    Bonsoir tout le monde !

    L'administration doit libérer les initiatives et lever la bureaucratie, a t-il insisté. L'Algérie, l'une des plus puissantes économies d'Afrique, est désormais lancée dans la prospection de nouvelles niches économiques rentables dans des petits pays d'Afrique. Le gouvernement algérien qui s'est longtemps reposé sur les lauriers, pense à rattraper les marchés qu'il a perdus en Afrique. Notre pays qui possède la plus grande superficie du continent africain, partage sa frontière avec ses pays d'Afrique.

    En économie, ses pays peuvent servir de marché pour écouler ses produits locaux et un espace pour les investissements dans des opérations extra-muros. Si l'Algérie exportait vers la Tunisie une grande partie de ses produits, elle a néanmoins négligé des marchés de grande consommation comme la Libye, la Mauritanie, le Mali, le Niger ou encore le Maroc, le Sénégal ou le Tchad.
    Ce que j'ai toujours dis !

    http://www.algerie-dz.com/forums//sh...9&postcount=28

    La coopération sud-sud !

    Mais tout d'abord investir dans la micro entreprise pour développer l’artisanat, une niche surabondante d'emplois.
    Faciliter les crédits bancaire avec une agence de suivit, entité qui englobera des économistes, des banquiers des professeurs des artisans privés et publiques qui garantiront la bonne gouvernance de ces petits artisans.
    Ensuite se concentrer sur les pme/pmi suivant le meme shéma ci-dessus.

    A+.
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    • #3
      Belle initiative mais qui doit absolument aboutir à une série de reformes structurelles et non pas de réformettes ou des effets d'annonce.

      Arayzon,

      Ce que tu proposes est inadéquat!!!

      Mais tout d'abord investir dans la micro entreprise pour développer l’artisanat, une niche surabondante d'emplois.
      Faciliter les crédits bancaire avec une agence de suivit, entité qui englobera des économistes, des banquiers des professeurs des artisans privés et publiques qui garantiront la bonne gouvernance de ces petits artisans.
      Ensuite se concentrer sur les pme/pmi suivant le meme shéma ci-dessus.
      Qui doit investir dans la micro-entreprise?
      C'est plutôt à l'Etat d'encourager la création de micro et petites sociétés en offrant des incubateurs, zones d'activité, formations à entrepreneuriat, facilités administratives, juridiques et fiscales pour encourager les jeunes à monter leurs affaires dans tous les secteurs d'activité.

      Faciliter l'octroi de crédit?!!!! La banque ne doit pas faire de la philanthropie. Tous les projets non éligibles au financement bancaire mais qui s'inscrivent dans le programme de développement de l'Etat, ce dernier doit intervenir via une agence de développement, fonds de garantie ou des sociétés de micro-financement pour les aider loin des considérations sociales, politiques ou politiciennes.

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      • #4
        Boubena bonsoir !

        en offrant des incubateurs, zones d'activité
        D'accord avec toi sur ce point !

        formations à entrepreneuriat, facilités administratives, juridiques et fiscales
        Cela doit se faire en synergie avec et l'état et une entité comme je l'ai cité au post précédent.

        Faciliter l'octroi de crédit?!!!!
        Les banques devraient en principe ,dans le cadre du financement de l'économie nationale.
        Le marché de la micro entreprise pour ce qu'il représente comme demandeurs potentiels,est une aubaine pour nos banques nationales ,mais malheureusement elles ne savent pas s'adapter alors que des banques en Tunisie par exemple, ont introduit ce produit parmi leurs services.

        Est-ce qu'un diplôme est une garantie suffisante pour avoir un prêt bancaire chez nous?
        La réponse est non, bien évidement mais c'est le cas dans des pays comme la Malaisie ou la Turquie à ma connaissance.Aux États-Unis c'est une évidence,mais bon.

        Tous les projets non éligibles au financement bancaire mais qui s'inscrivent dans le programme de développement de l'Etat, ce dernier doit intervenir via une agence de développement, fonds de garantie ou des sociétés de micro-financement pour les aider loin des considérations sociales, politiques ou politiciennes.
        L'Ansej et l'Andi ont joué ce rôle mais ont montré leurs limites jusqu'à présent.
        L'état doit revoir certains instruments et impliquer l'Ansej et l'Andi à devenir un trait d'union entre le porteur de projet et les banques d'un coté et de l'autre jouer le rôle de conseiller et d'intervenant durant le processus de développement de la micro entreprise (démarches administratives,comptabilité etc) au moins les 12 premiers mois le temps qu'il s'adapte.

        A+.
        La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
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        • #5
          Bonsoir Arayzon,

          Les banques ne doivent rien. Elles ne doivent financer que des projets viables et "bancables"...Les banques sont aussi des entreprises qui sont censées avoir comme objectif une meilleure rentabilité avec un minimum de risque.

          L'ANDI s'adresse à des projets qui sont "moyens ou grands".
          L'ANSEJ et l'ANEM est plus un guichet de distribution d'aide dans un but politique ou sociétalo-politique. L'économie n'est pas prise en compte.

          Dans tous les pays que tu as cités, ils ont commencé par des sociétés de micro-crédits avant d'intégrer un certains nombre de projets viabilisés et sécurisés dans le circuit normal de l'économie pour laisser les banques jouer leur rôle.

          Il y a aussi les sociétés de capital risque, capital investissement ou Business angles....Enfin, le sujet est trop important pour l'aborder dans ces termes simples.

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          • #6
            Les dernières mesures pour booster l'industrie et juguler la bureaucratie : l'Etat lève les barrières
            Avec le choc du pétrole divisé par deux, l’État commence à se réveiller mais ne vaut-il pas mieux faire les bonnes réformes lorsque tout va bien ?
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #7
              Trop de retard dans les mentalités politiques !!!!!

              Il y a un état d'esprit dans notre pays qui ne peut ni moderniser ni booster notre économie!!!
              Quant on a des gens qui pense qu'une allocation touristique devise ne peut pas dépasser 150€ par an et par personne, quant le plafond des Dinars exportables pour un résident est fixé à 3.000 DA (28€) par voyage et par personne, quant tout ou presque se paye en espèce et que la carte bleue ou carte de payement ne fonctionne pas, quant la carte verte auto (assurance auto internationale) n'est pas admise ou reconnue en Algérie, quant les DAB se font rare ou très souvent vide quant ............; On n'est pas a jour et on ne peut pas créée de dynamique économique dans une belle Nation comme la notre.
              En 2015 nous avons encore des barrages routiers sur autoroute, les seniors de plus de 60 ans renouvellent leurs permis de conduire tous les deux ans et attendent près de trois mois pour l'obtenir, et l'administration nous demande encore un certificat de résidence au lieu d'un simple justificatif de résidence !!!???
              Il regrettable de constater encore qu'il y a donc une mentalité et une démarche qui ne favorise pas la modernité et l'innovation.
              Le Sage

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              • #8
                la bonne économie keynésienne conseille d'économiser quand tout va bien et de réformer le pays et au contraire booster la croissance par le crédit (nottament) quand ça va mal.

                l'algérie de boutef fait tout le contraire.on gaspille l'argent du peuple dans des projets sans queue ni tête alors qu'on savaient tous qu'un baril a plus de 100 dollars n'allait pas tenir sur long terme.c'était quand le baril était a 150 dollars qu'il fallait faire les réformes les plus importantes pour anticiper une chute des prix du brent. et ne pas se retrouver a mendier une baisse de production a l'arabie saoudite (cette dernière ne pense qu'a ses intêrets et un peu aux américains) l'arabie n'a que faire de ses alliés de l'opep qui souffrent.

                on sait tous quels sont les chantiers prioritaires pour l'algérie.mais pourquoi ça n'évolue pas ? l'excuse des barrons de l'import qui bloquent tout ne peut expliquer tous ces blocages.

                tant que l'algérie n'a pas un système bancaire efficient,notre économie restera étatiste et corsetée.

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                • #9
                  Samarkand,

                  C'est quoi, selon toi, un système bancaire efficient?

                  Commentaire


                  • #10
                    lol l'industrie
                    ça serait mieux de s’intéresser à l'agriculture et à l’industrie agroalimentaire, mais on sait bien que ça , n'arrange pas les affaires des mafieux , qui importent tout
                    Avant tout il faut libéré le marché et instaurer une justice libre

                    Commentaire


                    • #11
                      boubena pour moi un système bancaire moderne et éfficace c'est avant tout des banques ouvertes sur l'économie du pays et sur le monde.nos banques sont incapables de partir a l'assaut de l'afrique comme l'ont fait les banques marocaines car elles sont mal gérées tout simplement.il y a un problème de formation manifestement.les plus gros cerveaux préfèrent s'exiler a la city ou paris que de rester dans un banque d'état algérienne et ne pouvant prendre de décision.sans parler des salaires.. les banques dz sont étatiques (pour les plus grosses) et gérées a la façon soviétique et ou l'ordinateur n'a été introduit qu'il y a peu. c'est adopter les meilleurs systèmes qui se font de par le monde pour augmenter leur capacités a irriguer toute l'économie du pays.
                      quand on compare avec les pays voisins,on voit bien que l'algérie a au moins 10 ans de retard (taux de bancarisation, dab par habitant etc) .

                      les textes de loi existent mais le législateur te met un paquet d'entraves qui au lieu d'aider a l'essor il la bloque.c'est un grand mal algérien. aidé en cela par une bureaucratie corrompue et sous éduquée.

                      la bourse a un grand rôle a jouer pour la modernisation du pays et l'afflux des capitaux.tu trouves normal qu'en 2015 l'algérien lambda ne peut même pas investir(acheter des cations) des quelques entreprises dz qui affichent de belles perspectives ?
                      la bourse existe mais les lois qui l'entourent la rendent de facto obsolète.on veut tout contrôler, c'est cela le vrai problème.

                      je ne parle même pas des crédits ansej donné a perte a des milliers de jeunes qui se sont payés des voitures et qui continuent de tenir les murs....sois disant des patrons
                      on aurait pu faire autrement. je préfère prêter a 100 jeunes avec des projets solides qu'a 10 000 farfelus dont les 3/4 ne rembourseront jamais.tu me diras que c'est l'état qui a obligé les banques étatiques a prêter aux jeunes, c'est vrai mais c'était le rôles des banques de contrôler le sérieux ou non des postulants.
                      donc la solution c'est de libéraliser l'économie.l'état n'a pas a se mêler de l'économie du pays.il doit être un facilitateur au maximum.

                      si l'algérie s'etait ouverte a l'économie monde en même temps que les pays voisins, on auraient pas un rebab mais 5 ou 6 voir plus vu les potentialités du pays.
                      Dernière modification par samarkand777, 03 janvier 2015, 15h05.

                      Commentaire


                      • #12
                        Envoyé par Dr es éCONomie
                        pour moi un système bancaire moderne et efficace c'est avant tout des banques ouvertes sur l'économie du pays et sur le monde
                        C'est très vague!!! En sommes, l'ouverture des banques sur l'économie d'un pays n'entre pas dans le jargon des banques. Si par ouverture tu veux parler de financement, je pourrai t'en dire des choses.
                        Idem pour l'ouverture sur le monde. Que souhaites-tu? que les banques algériennes financent des projets à l'étranger ou accompagner le financement des entreprises algériennes à l'étranger? ou spéculer sur les devises, titres et produits dérivés sur les places financières internationales?

                        nos banques sont incapables de partir a l'assaut de l'afrique comme l'ont fait les banques marocaines car elles sont mal gérées tout simplement.il y a un problème de formation manifestement.les plus gros cerveaux préfèrent s'exiler a la city ou paris que de rester dans un banque d'état algérienne et ne pouvant prendre de décision.sans parler des salaires.. les banques dz sont étatiques (pour les plus grosses) et gérées a la façon soviétique et ou l'ordinateur n'a été introduit qu'il y a peu. c'est adopter les meilleurs systèmes qui se font de par le monde pour augmenter leur capacités a irriguer toute l'économie du pays.
                        quand on compare avec les pays voisins,on voit bien que l'algérie a au moins 10 ans de retard (taux de bancarisation, dab par habitant etc) .
                        Tu tires sur tout sauf à mettre la main sur le plus grand problème des banques étatiques et du métier de gestion en Algérie. Le problème premier est les effectifs pléthoriques et la pénalisation des actes de gestion. En Algérie, les banques publiques, à l'image de toutes les entreprises publiques d'ailleurs, font du social. Les gens ne peuvent pas être licenciés car ils ont des enfants et des familles à nourrir. Les 5 banques publiques peuvent fonctionner avec moins de 10% de leur effectifs actuels mais aucun gouvernement ou décideur ne peut prendre la décision de faire de l’amaigrissement.
                        De même que les responsables des banques ont souvent du mal à prendre des décisions courageuses et innovantes car tout acte de gestion est passible d'emprisonnement. J'ai connu trois PDG de banques publiques qui ont passé des nuits au cachot en pyjamas.
                        Tu compares les banques algériennes avec les banques marocaines car tu sembles plus au fait que les autres mais tu oublies que les banques marocaines qui s'attaquent au marché africain sont privées (Attijari et BMCE)...Tu compares deux choses qui sont complètement incomparables.

                        Tu as épuisé tes argument sur le système bancaire pour sauter vers la bourse. Le sujet est très différent. L'économie se finance par deux moyens: crédit bancaire assuré par les banques et l'appel à l'épargne publique assuré via la bourse..


                        Enfin, il me semble que discuter avec toi est une peine perdue. Il faut que tu refasses une passe sur tes cours d'économie et bien maitriser tes concepts avant de venir jouer au coq ici. Bonne chance et sans rancune.

                        Commentaire


                        • #13
                          boubenna t'as fait que répéter ce que j'ai dit mais avec d'autres mots.ça fait des années que je dénonce les effectifs pléthoriques dans l'administration algérienne. mais tu oublies de parler comme par hasard du niveau de tous ces gestionnaires....a moins que tu en soit une toi aussi et donc tout naturellement tu défends ta corporation....

                          désolé mais beaucoup méritent le cachot car quand tu vois comment sont gérées les entreprises publiques....tu te demandes si tous ces gens ont fait des études ou pas ? voyagent-ils a l'étranger ?


                          c'est facile de tout rejeter sur le politique mais pour moi les élites en général sont autant responsable de la gabegie depuis tant d'années.

                          quand la révolution a commencé en tunisie, on a vu leur élite (avocats,médecins,intellectuels etc) manifester mais quand il y a un mouvement social en algérie....il n'y a que des casseurs et hitistes.jamais on ne voit d'avocats ou de médecins sur le devant de la scène.

                          donc continue a faire ta belle mais épargne nous tes leçons car si les gens comme toi en algérie étaient compétents, ça se saurait mais surtout l'état du pays serait tout autre.

                          tu me rappelle tous ces anciens politiques ou commis de l'état qui viennent donner des leçons alors qu'ils ont mené la barque a la dérive....(ex l'ancien directeur de la banque d'algérie)

                          donc voila, si tu constates des erreurs dans nos coms bah tu peux nous corriger mais poliment. t'es pas obligée de te la jouer .

                          Commentaire


                          • #14
                            On t'attend ici Monsieur Samarkand...Faire des constats derrière sur ordinateur même ma grand-mère peut le faire.

                            Commentaire


                            • #15
                              ça sert a quoi les forums si ce n'est discuter et échanger nos points de vue ?

                              selon toi celui qui n'est pas économiste ne doit pas donner son avis sur l'économie de l'algérie...car il va raconter n'importe quoi.bah éclaire nous de tes idées alors !

                              j'ai toujours dit içi que les meilleurs compétences algériennes ont toutes fuis a l'étranger (surtout en france). il ne reste que des chyatines, des voleurs ,des loosers qui se disent économistes,managers,médecins etc (bien entendu loin de moi l'idée d'extrapoler) mais il y a beaucoup de vrai dans ce que je dis.

                              les meilleurs médecins algériens travaillent tous dans la région parisienne et non en algérie.souvent dévalorisés et sous payés mais il préfèrent cette vie de chien car ils ont une éspérance que demain leur vie sera meilleure.

                              un économiste très qualifié ira a londres ou ailleurs et on peut le comprendre car vu l'état de l'économie dz il n'aura aucun avenir et son salaire sera ridicule comparé a ce qu'il va toucher ailleurs. de plus, tu veux qu'il travaille ou ? a la bourse d'alger ? pour rester sur une chaise toute la journée a squatter forum algérie et regarder les films pornos ? je connais pas mal d'algériens qui veulent acheter des actions cevital par exemple mais personne ne sait si c'est possible et surtout comment faire.t'appelles ça une bourse ? (j'ai pris cevital car elle est la plus connue et prospère)

                              l'économie algérienne est moribonde et ne fait que 3% de croissance moyenne (sur 10 ans) alors qu'elle a tout pour faire 7/8% par an et sortir les algériens de la misère.

                              c'est a toi qui vit en algérie de te bouger et non a moi qui n'y vit pas.je ne fait que donner mon avis.(qui peut-être faux)
                              Dernière modification par samarkand777, 04 janvier 2015, 15h42.

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