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La production pétrolière de la Libye a chuté à 390 mille barils/jour, soit une baisse de 70 mille barils/jour par rapport à la production de la semaine dernière, à cause de l'arrêt partiel de la fourniture du champ d'Al-Charara dû aux troubles, a annoncé le porte-parole de la compagnie nationale libyenne du pétrole (NOC), Mohamed Al-Hariri.
Selon M. Al-Hariri dont les déclarations ont été rendues publiques, lundi à Tripoli, la production est estimée aujourd'hui à 390 mille barils/jour, contre 460 mille barils/jour, jeudi dernier.
Le champ pétrolier d'Al-Charara, a-t-il expliqué, produit actuellement en dessous de sa capacité normale qui est de 340 mille barils/jour à cause des troubles qui ont amené à la fermeture partielle du pipeline près de la ville de Zenten, à l'Ouest du pays. 'Nous espérons que le gouvernement va résoudre le problème au niveau du champ pétrolier d'Al-Charara', a espéré M. Al-Hariri, précisant que la production du même champ était estimée, mercredi dernier, à 301 mille barils/jour.
Les groupes armés et les ex-rebelles, ainsi que des hommes appartenant à des tribus, rappelle-t-on, procèdent fréquemment à la fermeture des pipelines pétroliers pour faire pression sur l'Etat afin de l'obliger à satisfaire leurs revendications.
Ces troubles interviennent, note-t-on, au moment où la Libye tente de restaurer la stabilité, trois ans après la révolution à l'origine de la chute de l'ex-dictateur, Mouammar Kadhafi.
La NOC, indique-t-on, avait annoncé, il y a quelques jours, que les pertes enregistrées par le pays suite à la fermeture des sites pétroliers sont estimées à 10 milliards de dollars en 2013
Maghreb dz
Selon M. Al-Hariri dont les déclarations ont été rendues publiques, lundi à Tripoli, la production est estimée aujourd'hui à 390 mille barils/jour, contre 460 mille barils/jour, jeudi dernier.
Le champ pétrolier d'Al-Charara, a-t-il expliqué, produit actuellement en dessous de sa capacité normale qui est de 340 mille barils/jour à cause des troubles qui ont amené à la fermeture partielle du pipeline près de la ville de Zenten, à l'Ouest du pays. 'Nous espérons que le gouvernement va résoudre le problème au niveau du champ pétrolier d'Al-Charara', a espéré M. Al-Hariri, précisant que la production du même champ était estimée, mercredi dernier, à 301 mille barils/jour.
Les groupes armés et les ex-rebelles, ainsi que des hommes appartenant à des tribus, rappelle-t-on, procèdent fréquemment à la fermeture des pipelines pétroliers pour faire pression sur l'Etat afin de l'obliger à satisfaire leurs revendications.
Ces troubles interviennent, note-t-on, au moment où la Libye tente de restaurer la stabilité, trois ans après la révolution à l'origine de la chute de l'ex-dictateur, Mouammar Kadhafi.
La NOC, indique-t-on, avait annoncé, il y a quelques jours, que les pertes enregistrées par le pays suite à la fermeture des sites pétroliers sont estimées à 10 milliards de dollars en 2013
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