Dans son nouveau rapport intitulé “Global Financial Development Report 2014 », la Banque Mondiale incite les décideurs à encourager les produits qui profitent essentiellement aux pauvres, aux femmes et aux autres groupes vulnérables.
Ces produits consistent en des services de microcrédit et de micro-assurance tels que les comptes d’épargne et de paiement automatique sans superflu permettant de conserver et de transférer l’argent en toute sécurité afin de maintenir un niveau de vie relativement stable.
Selon la Banque Mondiale, le microcrédit et la micro finance constituent un potentiel énorme pour éradiquer la pauvreté en aidant les pauvres à sortir de la pauvreté et à subvenir à leurs besoins.
Le microcrédit contribue à la croissance du secteur agricole en multipliant les possibilités commerciales et en lui donnant les moyens de passer progressivement de la production de cultures de subsistance à la production à grande échelle. L’accès au crédit permet également aux populations de choisir diverses options, telles que créer une entreprise, inscrire les enfants à l’école ou accéder au système de soins de santé, y compris les divers services qui contribuent à la qualité de la vie.
Un avantage avéré du microcrédit est qu’il réduit le nombre de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté. En se lançant dans des activités commerciales, les entrepreneurs peuvent investir, ce qui leur permet d’agrandir et de stabiliser leur entreprise ou même d’entreprendre des activités plus productives, de sortir ainsi de la pauvreté. De plus, le chômage diminue et la capacité de travail augmente alors que le nombre d’emploi progresse, ce qui contribue à la croissance économique du pays.
Rappelons, à titre d’exemple, que la Grameen Bank fondée en 1974 par Mohamed Yunus au Bangladesh, dont l’exemple est largement suivi dans le monde entier, fournit des crédits aux personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Environ 94 % des prêts sont accordés aux femmes et 98 % sont remboursés. Depuis cette date, la Grameen Bank prête 30 millions de dollars par mois à 1,8 million d’emprunteurs démunis
- l'économiste maghrébin
Ces produits consistent en des services de microcrédit et de micro-assurance tels que les comptes d’épargne et de paiement automatique sans superflu permettant de conserver et de transférer l’argent en toute sécurité afin de maintenir un niveau de vie relativement stable.
Selon la Banque Mondiale, le microcrédit et la micro finance constituent un potentiel énorme pour éradiquer la pauvreté en aidant les pauvres à sortir de la pauvreté et à subvenir à leurs besoins.
Le microcrédit contribue à la croissance du secteur agricole en multipliant les possibilités commerciales et en lui donnant les moyens de passer progressivement de la production de cultures de subsistance à la production à grande échelle. L’accès au crédit permet également aux populations de choisir diverses options, telles que créer une entreprise, inscrire les enfants à l’école ou accéder au système de soins de santé, y compris les divers services qui contribuent à la qualité de la vie.
Un avantage avéré du microcrédit est qu’il réduit le nombre de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté. En se lançant dans des activités commerciales, les entrepreneurs peuvent investir, ce qui leur permet d’agrandir et de stabiliser leur entreprise ou même d’entreprendre des activités plus productives, de sortir ainsi de la pauvreté. De plus, le chômage diminue et la capacité de travail augmente alors que le nombre d’emploi progresse, ce qui contribue à la croissance économique du pays.
Rappelons, à titre d’exemple, que la Grameen Bank fondée en 1974 par Mohamed Yunus au Bangladesh, dont l’exemple est largement suivi dans le monde entier, fournit des crédits aux personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Environ 94 % des prêts sont accordés aux femmes et 98 % sont remboursés. Depuis cette date, la Grameen Bank prête 30 millions de dollars par mois à 1,8 million d’emprunteurs démunis
- l'économiste maghrébin