C'est trop peu comparé a d'autre pays..Des statistiques en dessous des ratios consommés par exemple par le Japonais estimé à 80 kg de poisson par an, encore par l’Espagnol qui en consomme 45 kg/an.
En visite de travail ce jeudi à Oran, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, M. Ismaïl Mimoune, estime que le taux de 5,10 kg/an pour l’Algérien est très faible et en appelle par la même occasion les opérateurs privés en concertation avec les pêcheurs à développer la production halieutique. La véritable question est celle d’en connaître la raison d’un tel taux, qui n’est autre que le prix exorbitant du poisson.
Amel B. - Oran (Le Soir) Durant sa visite de travail, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques s’est rendu à l’usine d’import-export (privée) Agromar, située dans la zone industrielle Nedjma, de même qu’il s’est rendu au niveau du futur siège de la direction de la pêche et à l’Institut de la pêche au port d’Oran. Ce fut l’occasion pour le ministre d’aborder un sujet assez important qui relève de la lutte contre la pêche illicite avec utilisation de la dynamite et d’équipements prohibés. Une surveillance qui relève, dit-il, des prérogatives des gardes côtes, suivant la réglementation du 3 juillet 2001 qui interdit la pêche illicite. Cette lutte sera également appuyée par la création d’un centre national de contrôle des navires en mer. Son fonctionnement consistera à relier le système de réseaux avec les centres régionaux en rapport avec les gardes côtes, dès que l’information leur parvient ils interviennent immédiatement. En plus de ce centre, le ministre a de nouveau abordé “l’idée” déjà émise quant à la création de la police de la pêche qui pourra, a priori enfin voire le jour à travers la promulgation du statut de la Fonction publique qui sera suivie du statut particulier de la pêche qui permettra la création de cette police. Parmi les nouveaux acquis dont jouissent à présent les professionnels de la pêche en vue de développer la production halieutique, la nouvelle cartographie marine des côtes algériennes. Elle permet de délimiter chaque zone de pêche avec ses espèces de poissons et les quantités à pêcher. Avant, dira le ministre, le stock à pêcher était de 160 000 tonnes de poissons, grâce à cette cartographie une nouvelle réévaluation avance le chiffre de 220 000 tonnes, dont 187 000 tonnes de poisson bleu et 30 000 tonnes de crustacés. L’occasion pour le ministre d’exhorter les opérateurs privés à se concerter avec les pêcheurs afin de développer la production en diversifiant également l’offre, à l’exemple de la poulpe qui ne fait pas partie des habitudes culinaires de l’Algérien. pour sa part le ministère s’occupera de la réglementation, de la formation et des appuis financiers.
- Le Soir d'Algerie
En visite de travail ce jeudi à Oran, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, M. Ismaïl Mimoune, estime que le taux de 5,10 kg/an pour l’Algérien est très faible et en appelle par la même occasion les opérateurs privés en concertation avec les pêcheurs à développer la production halieutique. La véritable question est celle d’en connaître la raison d’un tel taux, qui n’est autre que le prix exorbitant du poisson.
Amel B. - Oran (Le Soir) Durant sa visite de travail, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques s’est rendu à l’usine d’import-export (privée) Agromar, située dans la zone industrielle Nedjma, de même qu’il s’est rendu au niveau du futur siège de la direction de la pêche et à l’Institut de la pêche au port d’Oran. Ce fut l’occasion pour le ministre d’aborder un sujet assez important qui relève de la lutte contre la pêche illicite avec utilisation de la dynamite et d’équipements prohibés. Une surveillance qui relève, dit-il, des prérogatives des gardes côtes, suivant la réglementation du 3 juillet 2001 qui interdit la pêche illicite. Cette lutte sera également appuyée par la création d’un centre national de contrôle des navires en mer. Son fonctionnement consistera à relier le système de réseaux avec les centres régionaux en rapport avec les gardes côtes, dès que l’information leur parvient ils interviennent immédiatement. En plus de ce centre, le ministre a de nouveau abordé “l’idée” déjà émise quant à la création de la police de la pêche qui pourra, a priori enfin voire le jour à travers la promulgation du statut de la Fonction publique qui sera suivie du statut particulier de la pêche qui permettra la création de cette police. Parmi les nouveaux acquis dont jouissent à présent les professionnels de la pêche en vue de développer la production halieutique, la nouvelle cartographie marine des côtes algériennes. Elle permet de délimiter chaque zone de pêche avec ses espèces de poissons et les quantités à pêcher. Avant, dira le ministre, le stock à pêcher était de 160 000 tonnes de poissons, grâce à cette cartographie une nouvelle réévaluation avance le chiffre de 220 000 tonnes, dont 187 000 tonnes de poisson bleu et 30 000 tonnes de crustacés. L’occasion pour le ministre d’exhorter les opérateurs privés à se concerter avec les pêcheurs afin de développer la production en diversifiant également l’offre, à l’exemple de la poulpe qui ne fait pas partie des habitudes culinaires de l’Algérien. pour sa part le ministère s’occupera de la réglementation, de la formation et des appuis financiers.
- Le Soir d'Algerie
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