Nouvelle usine Sanofi - Un projet français aux couleurs de l’Algérie
Six hectares de terrain, en plein cœur de Sidi Abdellah... Il n’en fallait pas moins à Sanofi pour accueillir son nouveau site industriel, le plus important de tout le continent africain.
« Cette usine, c’est la consécration d’un engagement en Algérie de plus de 20 ans » s’est félicité Chris Viehbacher, directeur général de Sanofi, lors de la cérémonie de pose de la première pierre en présence du ministre Amara Benyounès.
Un investissement de 70 millions d’euros
Ce projet mûri de longue date, qui s’inscrit dans la stratégie internationale du groupe français, répond aussi à de nombreuses attentes algériennes.
Un accroissement de l’investissement d’abord, puisque cette usine représente une somme de 70 millions d’euros (6,6 milliards de dinars). Mais également la création d’emplois, avec 133 nouvelles embauches prévues.
Enfin, le développement des capacités de production locales : le complexe de Sidi Abdellah fournira aux Algériens 100 millions de médicaments par an. Un chiffre qui représente 80% des volumes distribués jusqu’ici par le laboratoire français en Algérie.
Une clinique mobile en appui
Le projet de Sanofi ne se limite pas à satisfaire aux exigences du marché algérien : il s’accompagne d’un engagement concret au service de l’amélioration des services médicaux en Algérie. L’entreprise a en effet signé un protocole d’accord avec Abdelmalek Boudiaf, ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière. L’ambition est double : promouvoir les actions de sensibilisation à l’attention du public algérien, grâce à l’appui d’une unité clinique mobile médicalisée, mais aussi contribuer à la formation des professionnels de santé algériens.
Six hectares de terrain, en plein cœur de Sidi Abdellah... Il n’en fallait pas moins à Sanofi pour accueillir son nouveau site industriel, le plus important de tout le continent africain.
« Cette usine, c’est la consécration d’un engagement en Algérie de plus de 20 ans » s’est félicité Chris Viehbacher, directeur général de Sanofi, lors de la cérémonie de pose de la première pierre en présence du ministre Amara Benyounès.
Un investissement de 70 millions d’euros
Ce projet mûri de longue date, qui s’inscrit dans la stratégie internationale du groupe français, répond aussi à de nombreuses attentes algériennes.
Un accroissement de l’investissement d’abord, puisque cette usine représente une somme de 70 millions d’euros (6,6 milliards de dinars). Mais également la création d’emplois, avec 133 nouvelles embauches prévues.
Enfin, le développement des capacités de production locales : le complexe de Sidi Abdellah fournira aux Algériens 100 millions de médicaments par an. Un chiffre qui représente 80% des volumes distribués jusqu’ici par le laboratoire français en Algérie.
Une clinique mobile en appui
Le projet de Sanofi ne se limite pas à satisfaire aux exigences du marché algérien : il s’accompagne d’un engagement concret au service de l’amélioration des services médicaux en Algérie. L’entreprise a en effet signé un protocole d’accord avec Abdelmalek Boudiaf, ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière. L’ambition est double : promouvoir les actions de sensibilisation à l’attention du public algérien, grâce à l’appui d’une unité clinique mobile médicalisée, mais aussi contribuer à la formation des professionnels de santé algériens.
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