Casablanca en passe de devenir un hub financier leader en Afrique

[Hibiscus]

Merci Amine Sadeq de l' "Algerie Patriotique"

Et pourquoi, tu montes sur tes grands chevaux lorsque, sans explicitement parler de faillite, on évoque les grosses (très grosses) difficultés du Maroc ? Une question d'ego ? ça te passera avec l'âge !

Parce que les chiffres, quand ils ne sont pas expressement tronques, concernant le solde commercial par exemple, montre qu'il y a une evolution positive d'annee en annee. C'est tout Je ne suis pas contre les chiffres, je suis uniquement contre quand il s'agit de les sortir de leur contexte, pour nous expliquer que... le Maroc est en faillite. D'ailleurs le fait que tu rebondisses sur le sujet des chiffres qu'on a traite en long et en large sur un sujet parallelle montre que ton argument sur "bourse qui affiche une baisse est incompatible avec un hub financier" commence a lacher du lest.

Je repete donc: lier le dynamisme conjoncturel d'une bourse a un projet financier long terme de dimension continental est risible. Cest une question de perspective et de manque (refus?) de comprehension.

Devoir trouver un article d' "Algerie Patriotique" pour nous expliquer ton point de vue ne fait que le prouver encore plus.

je ne sais pas si tu as vu les videos ci-haut, les premieres entreprises financieres ont deja tape aux portes de CFC pour s'implementer. Tu es en retard d'un argument

One last point: si j'avais de l'ego ou un quelconque complexe, je ne participerais qu'aux sujets qui parlent de la situation economique de l'algerie en ignorant mon pays le Maroc... Je ne fais pas de fixation... Par exemple, je ne te vois jamais donner ton avis sur des sujets economiques qui parlent de la crise en Algerie:
http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=295409

[Hibiscus]

CASABLANCA FINANCE CITY CONCLUT UN PARTENARIAT AVEC LA CITY DE LONDRES

Paru le 04/10/2012


Londres, Royaume-Uni (4 Octobre 2012) -Le Moroccan Financial Board et TheCityUK, l’agence responsable de la promotion des services financiers de la place financière de Londres, ont signé un protocole d’accord scellant un partenariat d’envergure entre les deux institutions.


La conclusion de ce partenariat a eu lieu à l’occasion de la visite à Londres d’une délégation marocaine, menée par le Moroccan Financial Board et composée de dirigeants des principales institutions et acteurs financiers du Royaume. La cérémonie de signature du partenariat s’est déroulée à Mansion House, et a été marquée par la présence de son Altesse la Princesse Lalla Joumala, Ambassadeur de Sa Majesté au Royaume-Uni, et David Wootton, le Lord Mayor de Londres.


Le protocole d’accord, signé par M. Chris Cummings, CEO de TheCityUK, et M. Said Ibrahimi, CEO du Moroccan Financial Board exprime la volonté des deux institutions de coopérer pour faire émerger les synergies potentielles entre les places financières de Londres et de Casablanca (Casablanca Finance City).
S’exprimant à cette occasion, son Altesse la Princesse Lalla Joumala a rappelé que "la relation économique florissante entre le Maroc et le Royaume-Uni, que nous célébrons aujourd'hui, a été favorisée par un contexte plus large de transformation sociale et politique positive, qui nous offre une base de valeurs et principes partagés sur lesquelles nous construisons un partenariat solide".


"Depuis son indépendance en 1956, le Maroc s'est lancé dans un processus de réformes globales, fondé sur un ensemble de fondamentaux constants, à savoir le pluralisme politique, la tolérance, la libre initiative et l'ouverture sur le monde extérieur."
"Sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, le Maroc a approfondi et accéléré d'une manière significative ce processus de réformes pour consolider les normes démocratiques et l'Etat de droit, élargir les droits et libertés, régler les disparités sociales et promouvoir l'économie. Une attention particulière a été accordée, dans le cadre de cette vision, à l'économie, en tant que levier du développement humain."


"Le Maroc a travaillé sans relâche pour promouvoir la compétitivité, améliorer les réseaux d'infrastructures, promouvoir le climat des affaires et renforcer l'ouverture de son marché sur le monde extérieur"


M. Ibrahimi, CEO du Moroccan Financial Board, a souligné lors de son allocution que cet accord vient renforcer et diversifier les liens de coopération globale unissant le Royaume-Uni et le Royaume du Maroc. Il a ensuite rappelé la position historique et unique qu’occupe Londres dans l’échiquier financier international, et a exprimé sa grande satisfaction de signer ce partenariat qui, selon lui, matérialise la confiance et le soutien de la place financière de Londres pour Casablanca Finance City. Il a enfin remercié son Altesse Royale la Princesse Lalla Joumala ainsi que les membres de la délégation marocaine de leur précieux soutien.


Pour conclure, M. Cummings Directeur Général de CityUk, a pour sa part , déclaré : « la croissance du Maroc en tant que plateforme pour les services financiers et les services professionnels en Afrique du Nord et en Afrique de l'Ouest francophone permet la reconnaissance de Casablanca comme hub financier international. CityUk et Moroccan Financial Board partagent des objectifs communs afin que la regulation des services financiers marocains continue à être transparente et compétitive dans un marche mondial ».


« Cet accord renforcera davantage nos relations et permettra d exporter les opportunités business pour nos deux pays. En tant que hub financier leader, Casablanca permettra également d offrir des opportunités de business pour l ensemble des pays de l Afrique du Nord ».


En plus des domaines de coopération traditionnels, notamment l’échange mutuel d’information, l’organisation conjointe de séminaires et l’accueil mutuel de délégations dans les deux pays, le partenariat prévoit un volet important de coopération relatif au partage de l’expertise de TheCityUK et de l’expérience inégalée de la place financière historique de Londres avec Casablanca Finance City sur les aspects suivants :

1. Développement du marché des dérivés à Casablanca, y compris la mise en place de produits dérivés et l’établissement d’un cadre juridique adapté à ces produits et attractif pour les investisseurs
2. Mise en place de programmes de formation et de qualifications professionnelles reconnus à l’échelle mondiale
3. Renforcement de la compétitivité du marché marocain des assurances pour jouer le rôle de hub dans ce domaine au niveau des marchés africains

Consciente de l’importance de sa connectivité aux centres financiers du monde, Casablanca Finance City, dont la vocation est d’être un hub financier régional vers l’Afrique du Nord, de l’Ouest et Centrale, réaffirme à travers ce troisième partenariat de place sa ferme volonté de se hisser aux meilleurs standards dans les domaines financiers ayant forgé la renommée de la City de Londres dans le monde.


Pour TheCityUK, cet accord représente la première coopération de l’institution avec un centre financier africain. Dans ce cadre, Casablanca Finance City offrira aux investisseurs et institutions de services financiers et professionnels basés au Royaume-Uni un accès facilité et l’opportunité de développer leurs relations dans la région.


A propos de TheCityUK
TheCityUK, est un acteur indépendant portant la voix multisectorielle de l’industrie des services financiers et professionnels à Londres. TheCityUK soutient le secteur financier et celui des services professionnels liés à la finance de manière globale, et assure sa promotion à la fois localement et à l’international. Il fournit un conseil constructif et représente la voix des professionnels dans la politique commerciale et tous les aspects relatifs à la fiscalité, la réglementation et autres questions d’ordre légal susceptibles d’impacter la compétitivité du secteur à Londres.
www.thecityuk.com

A propos du Moroccan Financial Board
Le Moroccan Financial Board, société issue d’un partenariat public-privé entre les principaux acteurs du secteur financier, est chargé du pilotage global et de la promotion institutionnelle de Casablanca Finance City (CFC)
CFC vise à faire de Casablanca un hub régional pour les institutions financières, les services professionnels et les multinationales. Casablanca Finance City est une porte d’entrée privilégiée vers les pays d’Afrique et en particulier la région d’Afrique du Nord, de l’Ouest et Centrale.
www.mfboard.com

[Hibiscus]

-----------------------

[Hibiscus]

Pour encore plus d' "explications" :

http://www.france24.com/fr/20120203-...-city-economie

[barthez]

La Bourse d’Alger prend la leçon à Casablanca

28 novembre 2012

(Agence Ecofin) - Du 19 au 23 novembre, la bourse de Casablanca a reçu 13 principaux opérateurs du marché boursier algérien. Selon la bourse de Casablanca, « cette visite s'inscrit dans le cadre du projet de reforme que mène actuellement le marché boursier algérien avec le soutien du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD).»
Dans le cadre du renforcement de la coopération des deux bourses maghrébines, « la Bourse de Casa a organisé des rencontres avec les différents opérateurs et intervenants du marché marocain dans le but de faire bénéficier cette délégation de toute l'expérience du marché marocain. »
En fonctionnement depuis 1997, la bourse d’Alger côte 3 entreprises (Alliance Assurances, Egh El Aurassi, Saidal) et 2 titres de créances (Spa Dahli, Sonelgaz). La capitalisation boursière moyenne est de 160 millions $ pour un PIB 2011 de 184 milliards $. La bourse de Casa a été crée en 1929. 17 sociétés de bourse interviennent sur le marché qui cote 77 entreprises et 47 titres de créances. La capitalisation boursière moyenne est de 41 milliards $ pour un PIB 2011 de 100 milliards $.
agenceecofin.com

[AARROU]

barthez

La Bourse d’Alger prend la leçon à Casablanca

Comme exemple a ne pas suivre

On recense 77 valeurs cotées dont certaines font de la simple figuration au niveau de la corbeille casablancaise. Ainsi, sur le volume enregistré au niveau du marché actions, les 5 valeurs les plus liquides –Attijariwafa bank, Maroc Telecom, CGI, BCP et Addoha- ont généré à elles seules 15,5 milliards de dirhams de chiffre d’affaires soit 52,17 % du volume global. Outre l’étroitesse du marché, certaines grosses capitalisations, notamment les valeurs du secteur agroalimentaire sont globalement illiquides. C’est le cas de Centrale Laitière, Société des Brasseries du Maroc, de Cosumar, etc. La rotation des titres de ces valeurs est très faible voire négligeable pour certaines du fait de la faiblesse de leur flottant en Bourse, mais aussi parce que les détenteurs des actions de ces valeurs ne souhaitent pas s’en dessaisir à cause de l’attractivité et des rendements que procurent ces titres. C’est particulièrement le cas de Centrale Laitière dont le flottant ressort à 5,08 % de son capital pour un ratio de liquidité qui tourne autour de 2 % !

Ainsi, hormis une quinzaine de valeurs, la corbeille est constituée essentiellement de valeurs illiquides. Or, avec un nombre aussi important de valeurs faiblement liquides, il est plus facile de procéder à des manipulations de cours qui sont sources de volatilité accrue faisant accroître la méfiance des investisseurs, notamment étrangers.

Cette faible liquidité de la place commence à inquiéter sérieusement les professionnels et investisseurs. Pour beaucoup d’investisseurs, notamment les investisseurs étrangers, l’attractivité d’un marché est fonction de son ratio de liquidité, car, s’il est bon d’investir dans une valeur, il est fondamental de pouvoir en sortir sans être obligé de supporter un coût.

Le déclassement pointe

Et dans ce contexte de détérioration de la liquidité du marché, la menace du déclassement du Maroc de «pays émergent» à «pays frontière» de l’indice Morgan Stanley Capital International Emerging Market -MSCI EM-, qui mesure la performance du marché des actions au niveau des pays émergents, dans le cadre de la révision de la composition de l’indice prévue en juin 2013, ne peut être écartée si, d’ici là, rien n’est entrepris pour inverser la tendance de baisse de la liquidité du marché boursier casablancais.

[Hibiscus]

Comme exemple a ne pas suivre

Ah parce que vous suivez quelque chose? La Bourse d'Alger, est loin, tres tres loin d'arriver a ce que la bourse de Casablanca a accompli. Deuxio, CFC n'est pas tributaire de la performance conjoncturelle de la place casablancaise. Tertio, juste relaxez, les premieres boites ont deja eu le statut CFC de la place de casa, les locaux sont en construction. Patience...

[AARROU]

Hibiscus

. Tertio, juste relaxez, les premieres boites ont deja eu le statut CFC de la place de casa, les locaux sont en construction. Patience...

Plutôt vite vite ça urge

Le déclassement pointe

Et dans ce contexte de détérioration de la liquidité du marché, la menace du déclassement du Maroc de «pays émergent» à «pays frontière» de l’indice Morgan Stanley Capital International Emerging Market -MSCI EM-, qui mesure la performance du marché des actions au niveau des pays émergents, dans le cadre de la révision de la composition de l’indice prévue en juin 2013, ne peut être écartée si, d’ici là, rien n’est entrepris pour inverser la tendance de baisse de la liquidité du marché boursier casablancais.

[Hibiscus]

Le declassement a ete deja fait, et les boites qui ont demande le statut CFC l'ont fait apres ce declassement... Tu vois maintenant pourquoi la conjoncture d'une bourse n'a rien a voir avec la viabilite d'un projet comme CFC? Comme je t'ai dit ghir koune merta7... Ne te fais pas trop de soucis, quand on met en place des projets, ils sont reflechis, on fait des etudes, on chiffre le realiste et on aligne les competences et le travail necessaire.

[Hibiscus]

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression de discuter avec une ancienne generation. A chaque fois il faut que ca revienne 50 ans en arriere pour donner un contre argument

[upup]

Hibiscus,


Ca doit etre l age des personnes avec lesquelles tu discutes !

[haddou]

le but recherché par la création de la CFC c'est profiter de la réussite des banques et assurances marocaines sur le continent Africain , pour accompagner ces pays par le financement , l'Afrique dispose de deux places financières Johannesburg et l’île Maurice qui sont tournées vers les pays anglophones , d'ou un besoin pour les pays francophones d'avoir leur place financière , c'est CFC qui s'en chargera
Pour réussir cette opération d'envergure , il fallait s'inspirer d'autres places financières avec qui sont passées des accords de partenariats et de jumelages , mais , sur le plan local la CFC a pour objectif :

" Le développement du marché financier marocain passe incontestablement par la création d’un hub financier régional. C’est d’ailleurs l’ambition de Casablanca Finance City qui vise à ériger la capitale économique comme plaque tournante des métiers de la finance et des services y afférents. Objectif: «Générer du revenu, des recettes fiscales, de l’emploi et des activités commerciales dépassant les besoins de l’économie». D’ailleurs CFC aspire, à terme, à faire croître le PIB de 2 points et à créer 20.000 emplois directs et 50.000 indirects. Pour y parvenir, Wayne Evans, directeur de la stratégie internationale à «TheCityUK» l’organe de promotion de l’industrie financière du Royaume-Uni, propose quelques pistes. «Les nouveaux centres financiers doivent développer en premier lieu un point de vente unique», suggère-t-il."


l'économiste


Pour y arriver des textes de lois on été promulgués et une ACADEMY CFC pour la formation des ressources humaines est mise en place , déjà plusieurs cabinets ( financiers et d'avocats d'affaires ) internationaux ont pris place à casa

[jawzia]

si j'avais de l'ego ou un quelconque complexe, je ne participerais qu'aux sujets qui parlent de la situation economique de l'algerie en ignorant mon pays le Maroc...

S'il n'y avait que le maroc qui t'intéressait, y a pas mieux qu'un forum ... marocain. Ceci démontrant donc cela !!!

Mais ça te passera avec l'âge.

Parce que les chiffres, quand ils ne sont pas expressement tronques, concernant le solde commercial par exemple, montre qu'il y a une evolution positive d'annee en annee.

D'année en année ???!!!!

Si le déficit est passé de -148 milliards de Dh à -147 milliards, il n'y a rien positif. Le petit milliard est simplement du aux investissements annulés dans la loi de finance 2013 et donc aà la baisse du chapitre d'importation d'équipements correspondant. C'est donc encore plus grave que les années précédentes.

• Déficit commercial abyssal
• Déficit balance de paiement
• Avoirs extérieurs en chute libre
• Manque de liquidités étouffant
• Pays sous plan d'ajustement structurel
• ....

Gallek Hub.

[salmane]

la caravane avance, et .........................

certains ne font rien et n'ont aucune vision pour l'avenir de leur bled, mais leur grand problème c'est qu'ils ne peuvent pas imaginer que juste à coté, il y a un peuple bosseur qui sait ce qu'il veut et qui bouge sur tous les fronts..

[Hibiscus]

Mais ça te passera avec l'âge.

Meskine...

S'il n'y avait que le maroc qui t'intéressait, y a pas mieux qu'un forum ... marocain. Ceci démontrant donc cela !!!

Tout est la, les forumistes ne te lisent jamais lorsqu'il s'agit d'articles economiques negatifs sur l'Algerie. Ca en dit long sur ta credibilite et ton honnetete intellectuelle.

Si le déficit est passé de -148 milliards de Dh à -147 milliards, il n'y a rien positif.

Cours de maths d'urgence!