L’Algérie, le 2ème pays africain le plus vaste et riche en hydrocarbures, dépend pour ses besoins alimentaires, des marchés internationaux, sa facture alimentaire pour le 1er semestre de 2013, s’est encore alourdie.
5.05 milliards de dollars est le prix que l’Algérie a dû débourser au profit des marchands étrangers de nourriture, pour pouvoir assurer l’alimentation de sa population et s’acheter son calme.
Selon les chiffres de la douane algérienne, les importations de produits alimentaires ont progressé de près de 15% à la première moitié de 2013.
Les produits alimentaires, qui représentent 17,8% de la structure globale des importations algériennes, ont coûté au pays 5,05 milliards de dollars contre 4,4 milliards de dollars durant la même période en 2012.
Ses importations venant pallier aux déficits locaux de production, à l’archaïsme de l’agriculture algérienne et à la très mauvaise qualité de ses moissons, ont concerné les achats à l’étranger des légumes secs (64,4%), les sucres (42%) et les céréales, semoules et farines (6,95%).
Selon l’agence d’orientation et d’information APS, la valeur des importations des légumes secs est passée de 147,7 millions usd les six premiers mois de 2012 à 242,97 millions usd à la même période en 2013, soit une hausse de 64,45%.
Le poste légumes secs est tiré à la hausse notamment par les achats de pois chiche, qui ont progressé de 70% afin de stabiliser localement le prix de ce produit aux alentours de 150 DA/kg, contre un pic de 300 DA/kg atteint l’année dernière.
Le même schéma est observé pour les importations des sucres qui ont atteint durant le 1er semestre de cette année 602,62 millions usd contre 424,52 à la même période en 2012, en hausse de près de 42%.
Les importations algériennes de céréales, semoules et farines ont aussi connu une augmentation, mais de moindre importance, soit près de 7% à 1,72 milliard usd contre 1,61 milliard durant la même période de référence.
lemag.ma
5.05 milliards de dollars est le prix que l’Algérie a dû débourser au profit des marchands étrangers de nourriture, pour pouvoir assurer l’alimentation de sa population et s’acheter son calme.
Selon les chiffres de la douane algérienne, les importations de produits alimentaires ont progressé de près de 15% à la première moitié de 2013.
Les produits alimentaires, qui représentent 17,8% de la structure globale des importations algériennes, ont coûté au pays 5,05 milliards de dollars contre 4,4 milliards de dollars durant la même période en 2012.
Ses importations venant pallier aux déficits locaux de production, à l’archaïsme de l’agriculture algérienne et à la très mauvaise qualité de ses moissons, ont concerné les achats à l’étranger des légumes secs (64,4%), les sucres (42%) et les céréales, semoules et farines (6,95%).
Selon l’agence d’orientation et d’information APS, la valeur des importations des légumes secs est passée de 147,7 millions usd les six premiers mois de 2012 à 242,97 millions usd à la même période en 2013, soit une hausse de 64,45%.
Le poste légumes secs est tiré à la hausse notamment par les achats de pois chiche, qui ont progressé de 70% afin de stabiliser localement le prix de ce produit aux alentours de 150 DA/kg, contre un pic de 300 DA/kg atteint l’année dernière.
Le même schéma est observé pour les importations des sucres qui ont atteint durant le 1er semestre de cette année 602,62 millions usd contre 424,52 à la même période en 2012, en hausse de près de 42%.
Les importations algériennes de céréales, semoules et farines ont aussi connu une augmentation, mais de moindre importance, soit près de 7% à 1,72 milliard usd contre 1,61 milliard durant la même période de référence.
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