Rien ne va plus, en particulier pour les americains.
Le prix du baril de petrole s'approche des 100$....l'administration bush n'aura pas le choix de puiser dans les reserves....
La saison des ouragans va commencer, pourvu que les infrastructures petrolieres ne soient pas endommagées....et que l'hiver approche.
Sans exageration, ca va mal pour l'oncle SAM.
BP, par la fermeture du plus grans champ de petrole US, en Alaska, n'aide pas l'administration Bush, cette administration qui ne fini plus avec les problemes...
Pour les pays producteurs comme l'Algerie, pour le court et moyen terme, vont profiter de cette hausse du prix du baril....mais au long terme, les reserves vont etre vidée plus rapidement....les americains vont demander plus de petrole sur le marché.
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La série noire continue aux Etats-Unis pour la compagnie pétrolière britannique BP (London: BP.L - actualité) , qui a commencé à réduire la production du pays pour éviter une nouvelle pollution en Alaska, entraînant des risques pour l'approvisionnement sur la côte ouest et une nouvelle flambée des prix du brut.
Le gouvernement américain s'est dit prêt à ouvrir les vannes de ses réserves stratégiques de pétrole, si les raffineries devaient connaître des problèmes pour se fournir en brut.
BP, après avoir été victime d'une fuite d'un million de litres en Alaska en mars, dont il doit répondre devant la justice fédérale américaine, vient de découvrir "une importante corrosion inattendue" sur un oléoduc du champ de Prudoe Bay.
Aussi le groupe a-t-il décidé de fermer progressivement ce champ pour vérifier l'ensemble des conduits, ce qui devrait prendre "des jours jusqu'à la fermeture complète", selon Daren Beaudo, porte-parole du groupe interrogé par téléphone à Anchorage.
"Nous regrettons d'avoir à agir ainsi et nous présentons nos excuses aux Américains et à l'Etat de l'Alaska pour les conséquences de cette décision", a déclaré le président de BP aux Etats-Unis, Bob Malone, dans un communiqué.
"Cependant, la découverte de cette fuite et les résultats inattendus de la dernière opération de raclage des conduits ont mis en doute les conditions du transport de pétrole à Prudhoe Bay. Nous ne reprendrons pas la production sur le champ jusqu'à ce que nous et les agences fédérales soyons sûrs de le faire en toute sécurité et sans risque pour l'environnement", a-t-il ajouté.
La production sera réduite d'environ 400.000 barils par jour, a précisé le numéro deux mondial du secteur, ce qui a dopé les cours du brut.
A New York, le baril gagnait 1,74 dollar à 76,50 dollars vers 16H30 GMT.
A Londres, le Brent a frôlé son record historique en s'échangeant à 78,08 dollars, soit 10 cents de moins que son plus haut du 17 juillet.
Pour pallier toute interruption des flux de pétrole pour les raffineries américaines, le ministère de l'Energie a fait savoir qu'il "examinerait sérieusement toute demande" de puiser dans les réserves stratégiques de brut qui totalisent actuellement 688 millions de barils, qui serait faite par les sociétés de raffinage, selon un porte-parole interrogé lundi à Washington.
Toutefois, de l'avis de John Kilduff, de la maison de courtage Fimat, ces réserves stratégiques ne sont pas bien placées, car toutes situées autour du golfe du Mexique alors que le problème va surtout se poser sur la côte ouest.
Cette fermeture de champ pétrolier marque une nouvelle étape dans la série noire commencée en mars 2005 pour BP, avec une explosion à la raffinerie de Texas City qui avait fait 15 morts. BP avait été condamné à une amende de 21,3 millions de dollars. En avril, s'y ajoutait une nouvelle amende de 2,4 millions pour des problèmes dans une raffinerie de l'Ohio.
La compagnie a reçu peu après une assignation à comparaître pour la pollution de mars à Prudhoe Bay. En juin, elle était accusée de manipuler les prix du propane.
Puis l'Agence américaine de surveillance des installations pétrolières (PHMSA) avait imposé à la compagnie un examen approfondi des oléoducs avant le 12 juin.
Mais BP avait réussi à faire lever cette date butoir.
Depuis, la compagnie a précisé avoir procédé aux opérations de raclage réclamées sur environ 40% de son réseau de conduits et a promis d'accélérer la procédure.
BP, qui comme d'autres engrange actuellement des bénéfices record (12,9 milliards de dollars au premier semestre) grâce à la flambée de l'or noir, se voit reprocher depuis plusieurs années des négligences dans la sécurité des installations de Prudhoe Bay, également détenu par les groupes américains ConocoPhillips et Chevron.
AFP
Le prix du baril de petrole s'approche des 100$....l'administration bush n'aura pas le choix de puiser dans les reserves....
La saison des ouragans va commencer, pourvu que les infrastructures petrolieres ne soient pas endommagées....et que l'hiver approche.
Sans exageration, ca va mal pour l'oncle SAM.
BP, par la fermeture du plus grans champ de petrole US, en Alaska, n'aide pas l'administration Bush, cette administration qui ne fini plus avec les problemes...
Pour les pays producteurs comme l'Algerie, pour le court et moyen terme, vont profiter de cette hausse du prix du baril....mais au long terme, les reserves vont etre vidée plus rapidement....les americains vont demander plus de petrole sur le marché.
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La série noire continue aux Etats-Unis pour la compagnie pétrolière britannique BP (London: BP.L - actualité) , qui a commencé à réduire la production du pays pour éviter une nouvelle pollution en Alaska, entraînant des risques pour l'approvisionnement sur la côte ouest et une nouvelle flambée des prix du brut.
Le gouvernement américain s'est dit prêt à ouvrir les vannes de ses réserves stratégiques de pétrole, si les raffineries devaient connaître des problèmes pour se fournir en brut.
BP, après avoir été victime d'une fuite d'un million de litres en Alaska en mars, dont il doit répondre devant la justice fédérale américaine, vient de découvrir "une importante corrosion inattendue" sur un oléoduc du champ de Prudoe Bay.
Aussi le groupe a-t-il décidé de fermer progressivement ce champ pour vérifier l'ensemble des conduits, ce qui devrait prendre "des jours jusqu'à la fermeture complète", selon Daren Beaudo, porte-parole du groupe interrogé par téléphone à Anchorage.
"Nous regrettons d'avoir à agir ainsi et nous présentons nos excuses aux Américains et à l'Etat de l'Alaska pour les conséquences de cette décision", a déclaré le président de BP aux Etats-Unis, Bob Malone, dans un communiqué.
"Cependant, la découverte de cette fuite et les résultats inattendus de la dernière opération de raclage des conduits ont mis en doute les conditions du transport de pétrole à Prudhoe Bay. Nous ne reprendrons pas la production sur le champ jusqu'à ce que nous et les agences fédérales soyons sûrs de le faire en toute sécurité et sans risque pour l'environnement", a-t-il ajouté.
La production sera réduite d'environ 400.000 barils par jour, a précisé le numéro deux mondial du secteur, ce qui a dopé les cours du brut.
A New York, le baril gagnait 1,74 dollar à 76,50 dollars vers 16H30 GMT.
A Londres, le Brent a frôlé son record historique en s'échangeant à 78,08 dollars, soit 10 cents de moins que son plus haut du 17 juillet.
Pour pallier toute interruption des flux de pétrole pour les raffineries américaines, le ministère de l'Energie a fait savoir qu'il "examinerait sérieusement toute demande" de puiser dans les réserves stratégiques de brut qui totalisent actuellement 688 millions de barils, qui serait faite par les sociétés de raffinage, selon un porte-parole interrogé lundi à Washington.
Toutefois, de l'avis de John Kilduff, de la maison de courtage Fimat, ces réserves stratégiques ne sont pas bien placées, car toutes situées autour du golfe du Mexique alors que le problème va surtout se poser sur la côte ouest.
Cette fermeture de champ pétrolier marque une nouvelle étape dans la série noire commencée en mars 2005 pour BP, avec une explosion à la raffinerie de Texas City qui avait fait 15 morts. BP avait été condamné à une amende de 21,3 millions de dollars. En avril, s'y ajoutait une nouvelle amende de 2,4 millions pour des problèmes dans une raffinerie de l'Ohio.
La compagnie a reçu peu après une assignation à comparaître pour la pollution de mars à Prudhoe Bay. En juin, elle était accusée de manipuler les prix du propane.
Puis l'Agence américaine de surveillance des installations pétrolières (PHMSA) avait imposé à la compagnie un examen approfondi des oléoducs avant le 12 juin.
Mais BP avait réussi à faire lever cette date butoir.
Depuis, la compagnie a précisé avoir procédé aux opérations de raclage réclamées sur environ 40% de son réseau de conduits et a promis d'accélérer la procédure.
BP, qui comme d'autres engrange actuellement des bénéfices record (12,9 milliards de dollars au premier semestre) grâce à la flambée de l'or noir, se voit reprocher depuis plusieurs années des négligences dans la sécurité des installations de Prudhoe Bay, également détenu par les groupes américains ConocoPhillips et Chevron.
AFP
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