Le site de kompass du maroc (annuaire economique) révéle l afflux des produits algériens sur le marché marocain. Il ne s'agit plus de carburants ni de cheptel mais bien des produits issus de l'industrie agroalimentaire Algérienne.
extrait:
Outre les produits de contrebande habituels provenant de l’Espagne, l’exception cette année, c’est le déferlement de produits algériens qui arrivent en force, lesquels annoncent le coup de massue pour certaines variétés de produits nationaux. Tel est le cas pour les fromages de la société Bel Algérie qui se vendent à des prix défiant toute concurrence, frais de transport en sus. Le paquet La Vache qui rit algérien de 16 portions est vendu à 14 DH contre 17,30 chez l’épicier. Parfois, le prix est même estampillé en dinar (95 dinars, sachant que 100 dinars 9,20 DH). “Quel que soit le pays d’origine, à produit similaire, j’opterai pour le moins cher”, souligne un client. Pour un autre jeune l’ayant déjà acheté, “le goût n’est pas le même, le volume et la qualité de l’emballage non plus”.
Selon un responsable à la Centrale Laitière, la contrebande des fromages en provenance d’Algérie représentait 2% de parts de marché en 2003.
Globalement, le marché des fromages au Maroc est estimé à 15.000 tonnes par an. En 2004, les effets de la contrebande algérienne ont été ressentis plus fortement. Les professionnels parlent de 5,6% de parts de marché détenues uniquement sur la variété des fromages en provenance d’Algérie. Par ailleurs, d’autres variétés de fromages provenant de France, de Hollande et d’Espagne sont également commercialisées.
Autres produits du voisin de l’Est, via Oujda, le lait en poudre et le café soluble, mais aussi les biscuits et les yaourts. Depuis bientôt deux mois, le phénomène a pris des proportions alarmantes dans l’Oriental, souligne le président d’une coopérative laitière. “Même les yaourts algériens sont vendus en vrac par des marchands ambulants à 1,20 DH sans aucun respect de la chaîne de froid”. Selon des coopératives d’Oujda, les professionnels du lait accusent un manque à gagner évalué à 20% dans la région.
http://www.kompass.ma/actualite/deta...1&niveau=1
extrait:
Outre les produits de contrebande habituels provenant de l’Espagne, l’exception cette année, c’est le déferlement de produits algériens qui arrivent en force, lesquels annoncent le coup de massue pour certaines variétés de produits nationaux. Tel est le cas pour les fromages de la société Bel Algérie qui se vendent à des prix défiant toute concurrence, frais de transport en sus. Le paquet La Vache qui rit algérien de 16 portions est vendu à 14 DH contre 17,30 chez l’épicier. Parfois, le prix est même estampillé en dinar (95 dinars, sachant que 100 dinars 9,20 DH). “Quel que soit le pays d’origine, à produit similaire, j’opterai pour le moins cher”, souligne un client. Pour un autre jeune l’ayant déjà acheté, “le goût n’est pas le même, le volume et la qualité de l’emballage non plus”.
Selon un responsable à la Centrale Laitière, la contrebande des fromages en provenance d’Algérie représentait 2% de parts de marché en 2003.
Globalement, le marché des fromages au Maroc est estimé à 15.000 tonnes par an. En 2004, les effets de la contrebande algérienne ont été ressentis plus fortement. Les professionnels parlent de 5,6% de parts de marché détenues uniquement sur la variété des fromages en provenance d’Algérie. Par ailleurs, d’autres variétés de fromages provenant de France, de Hollande et d’Espagne sont également commercialisées.
Autres produits du voisin de l’Est, via Oujda, le lait en poudre et le café soluble, mais aussi les biscuits et les yaourts. Depuis bientôt deux mois, le phénomène a pris des proportions alarmantes dans l’Oriental, souligne le président d’une coopérative laitière. “Même les yaourts algériens sont vendus en vrac par des marchands ambulants à 1,20 DH sans aucun respect de la chaîne de froid”. Selon des coopératives d’Oujda, les professionnels du lait accusent un manque à gagner évalué à 20% dans la région.
http://www.kompass.ma/actualite/deta...1&niveau=1
Commentaire