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Extension du métro d’Alger : Le tronçon Haï El-Badr - El-Harrach dans 23 mois
Très satisfait des travaux d’extension du métro d’Alger sur le tronçon Haï El-Badr - El-Harrach-Centre, le ministre des Transports M. Amar Tou, qui a effectué hier après-midi une visite de travail et d’inspection au niveau du chantierrès satisfait des travaux d’extension du métro d’Alger sur le tronçon Haï El-Badr - El-Harrach-Centre, le ministre des Transports M. Amar Tou, qui a effectué hier après-midi une visite de travail et d’inspection au niveau du chantier, a qualifié les travaux de génie civil de ce tronçon, long de 4 km effectués dans les délais prescrits, de «remarquables».
Entamés en août 2008, les travaux de réalisation de l’extension du métro d’Alger de Haï El-Badr à El-Harrach sont achevés, et l’exploitation commerciale est prévue à fin 2014. Cette extension, longue de 4 kilomètres, compte quatre stations implantées dans les communes de Bachdjarah et d’El-Harrach traversant l’Oued El -Harrach à une profondeur de 12 m. Ces stations, construites selon les normes internationales, seront équipées d’ascenseurs pour handicapés, une nouveauté introduite par le métro d’Alger qui n’existe pas dans les stations de la première ligne en service.
«Nous avons tiré profit de l’expérience de la première ligne dans la réalisation de cette extension. Les stations sont plus vastes et plus conformes aux normes concernant le service pour handicapés», a expliqué M. Tou. Conçues selon un modèle architectural artistique, les stations de Bachdjarah-1 et Bachdjarah-2 sont dotées d’espaces destinés aux activités commerciales, alors que la troisième station sera reliée à la gare ferroviaire d’El-Harrach.
Selon le directeur général de l’Entreprise du métro d’Alger (EMA), la réalisation de cette extension qui a duré 33 mois a été entravée par des difficultés liées à l’accès au foncier et à la gestion des réseaux utilitaires (eau, gaz, électricité, assainissement... ), dont la vétusté avait imposé un surcroît de travail. La ligne Haï El-Badr - El-Harrach entrera en service dans un délai de 23 mois. Les travaux sont pris en charge par la société algérienne KouGC, en collaboration avec la société française Colas Rail. Ce travail se fait, selon le responsable de Colas Rail, avec «une organisation totalement systématique».
Parmi les prestations inscrites dans ces travaux de la deuxième tranche, on notera le début des travaux en tunnel et l’aménagement extérieur qui se fera sur quatre mois, le début du montage des voies qui interviendra au bout du dixième mois et la fin de cette opération qui aura lieu au dix-septième mois. Par contre, l’achèvement des travaux du tunnel interviendra au 18e mois du délai réparti. Le 19e mois sera consacré aux premiers essais et enfin le 23e mois à la réception provisoire.
S. SOFI
Le ticket unifié est envisagé entre le métro, le tramway et l’ETUSA
Entre métro, tramway, le ticket unifié est envisagé par les pouvoirs publics. C’est ce qui a été annoncé par M. Amar Tou en marge de sa visite d’inspection. «Nous avons deux systèmes en parallèle, seulement nos attendons le coup de sifflet de tous les tronçons les plus urgents du métro et du tramway. Nous envisageons la possibilité d’intégrer l’UTUSA dans la question.» Pour ce qui est du prix du ticket, M. Tou a précisé que «le prix de revient du métro est de 84 dinars. Il est vendu actuellement à 35 dinars pour les abonnés et 50 dinars pour les non-abonnés. L’État apporte un soutien de l’ordre de 44 dinars». S. S.
elmoudjahid
Entamés en août 2008, les travaux de réalisation de l’extension du métro d’Alger de Haï El-Badr à El-Harrach sont achevés, et l’exploitation commerciale est prévue à fin 2014. Cette extension, longue de 4 kilomètres, compte quatre stations implantées dans les communes de Bachdjarah et d’El-Harrach traversant l’Oued El -Harrach à une profondeur de 12 m. Ces stations, construites selon les normes internationales, seront équipées d’ascenseurs pour handicapés, une nouveauté introduite par le métro d’Alger qui n’existe pas dans les stations de la première ligne en service.
«Nous avons tiré profit de l’expérience de la première ligne dans la réalisation de cette extension. Les stations sont plus vastes et plus conformes aux normes concernant le service pour handicapés», a expliqué M. Tou. Conçues selon un modèle architectural artistique, les stations de Bachdjarah-1 et Bachdjarah-2 sont dotées d’espaces destinés aux activités commerciales, alors que la troisième station sera reliée à la gare ferroviaire d’El-Harrach.
Selon le directeur général de l’Entreprise du métro d’Alger (EMA), la réalisation de cette extension qui a duré 33 mois a été entravée par des difficultés liées à l’accès au foncier et à la gestion des réseaux utilitaires (eau, gaz, électricité, assainissement... ), dont la vétusté avait imposé un surcroît de travail. La ligne Haï El-Badr - El-Harrach entrera en service dans un délai de 23 mois. Les travaux sont pris en charge par la société algérienne KouGC, en collaboration avec la société française Colas Rail. Ce travail se fait, selon le responsable de Colas Rail, avec «une organisation totalement systématique».
Parmi les prestations inscrites dans ces travaux de la deuxième tranche, on notera le début des travaux en tunnel et l’aménagement extérieur qui se fera sur quatre mois, le début du montage des voies qui interviendra au bout du dixième mois et la fin de cette opération qui aura lieu au dix-septième mois. Par contre, l’achèvement des travaux du tunnel interviendra au 18e mois du délai réparti. Le 19e mois sera consacré aux premiers essais et enfin le 23e mois à la réception provisoire.
S. SOFI
Le ticket unifié est envisagé entre le métro, le tramway et l’ETUSA
Entre métro, tramway, le ticket unifié est envisagé par les pouvoirs publics. C’est ce qui a été annoncé par M. Amar Tou en marge de sa visite d’inspection. «Nous avons deux systèmes en parallèle, seulement nos attendons le coup de sifflet de tous les tronçons les plus urgents du métro et du tramway. Nous envisageons la possibilité d’intégrer l’UTUSA dans la question.» Pour ce qui est du prix du ticket, M. Tou a précisé que «le prix de revient du métro est de 84 dinars. Il est vendu actuellement à 35 dinars pour les abonnés et 50 dinars pour les non-abonnés. L’État apporte un soutien de l’ordre de 44 dinars». S. S.
elmoudjahid
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