bonjour, cette force est-elle l'incompétence ou une administration omniprésente ? J'avoue que je ne comprends pas. A moins que les réformes n'ont pas été faite dans l'ordre, ce qui complique le processus. Cette force n'est-elle pas l'anarchie tout simplement.
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Le ministre du Commerce, M. Hachemi Djaâboub, a estimé qu’il y avait une force économique et financière qui refuse la venue des investissements et qui est de son intérêt de les handicapait. Il a noté que l’Algérie avait échoué à attirer l’investissement Arabe et n’a réussi qu’a le faire fuir ces dernières années reconnaissant l’existence de plusieurs obstacles qui ont empêché la concrétisation de projets d’investissements Arabes en dépit de leur venue en Algérie.
M. Djaâboub qui était l’invité du forum hebdomadaire d’El Khabar, « Fatour Essabah », a estimé qu’ « investir en Algérie est une grande victoire vu les obstacles et les faux handicapes que rencontrent les investisseurs » il a ajouté que « ce qui fait mal au cœur est que d’autres pays qui n’ont pas la même envergure ont résolu depuis longtemps leur problèmes liés au climat d’investissement et des affaires et ont tracé une feuille de route claire ».
Le ministre du Commerce a déclaré « nous avons un problème d’immobilier industriel et nous ne savons pas qui fait quoi, le ministre des participations effectue un grand travail pour résoudre le problème de l’immobilier industriel ». Il a estimé que « les frères Arabes ont énormément souffert du fait qu’ils ne connaissaient pas bien l’Algérie il y a une différence dans les législations en plus du fait qu’il y a certains détails qui ont entravé des projets ».
Djaâboub a insisté sur le fait qu’il y avait des forces économiques et financières qui refusent la venue des investissements Arabes car elles croient que l’Algérie doit se mettre à genoux, et ces mêmes qui ne font pas des choses concrètes et des projets d’investissements, ils raffolent des théories mais en réalité on ne voit pas d’investissements directs ».
Le ministre du Commerce a affirmé « nous avons échoué à attirer l’investissement Arabe et nous avons réussi à le faire fuir » ajoutant « il y a une excellente opportunités d’attirer une partie des capitaux Arabes si on fournit les conditions ». Il a indiqué que « il faut réarranger les choses et il y a des décisions politiques qui sont prises pour être à nouveau performant et voir où réside le problème et pour preuve il y a aujourd’hui des capitaux Arabes et à un degré moindre des capitaux Turques ».
Par S. Hafid
2006-07-20 El Khabar
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Le ministre du Commerce, M. Hachemi Djaâboub, a estimé qu’il y avait une force économique et financière qui refuse la venue des investissements et qui est de son intérêt de les handicapait. Il a noté que l’Algérie avait échoué à attirer l’investissement Arabe et n’a réussi qu’a le faire fuir ces dernières années reconnaissant l’existence de plusieurs obstacles qui ont empêché la concrétisation de projets d’investissements Arabes en dépit de leur venue en Algérie.
M. Djaâboub qui était l’invité du forum hebdomadaire d’El Khabar, « Fatour Essabah », a estimé qu’ « investir en Algérie est une grande victoire vu les obstacles et les faux handicapes que rencontrent les investisseurs » il a ajouté que « ce qui fait mal au cœur est que d’autres pays qui n’ont pas la même envergure ont résolu depuis longtemps leur problèmes liés au climat d’investissement et des affaires et ont tracé une feuille de route claire ».
Le ministre du Commerce a déclaré « nous avons un problème d’immobilier industriel et nous ne savons pas qui fait quoi, le ministre des participations effectue un grand travail pour résoudre le problème de l’immobilier industriel ». Il a estimé que « les frères Arabes ont énormément souffert du fait qu’ils ne connaissaient pas bien l’Algérie il y a une différence dans les législations en plus du fait qu’il y a certains détails qui ont entravé des projets ».
Djaâboub a insisté sur le fait qu’il y avait des forces économiques et financières qui refusent la venue des investissements Arabes car elles croient que l’Algérie doit se mettre à genoux, et ces mêmes qui ne font pas des choses concrètes et des projets d’investissements, ils raffolent des théories mais en réalité on ne voit pas d’investissements directs ».
Le ministre du Commerce a affirmé « nous avons échoué à attirer l’investissement Arabe et nous avons réussi à le faire fuir » ajoutant « il y a une excellente opportunités d’attirer une partie des capitaux Arabes si on fournit les conditions ». Il a indiqué que « il faut réarranger les choses et il y a des décisions politiques qui sont prises pour être à nouveau performant et voir où réside le problème et pour preuve il y a aujourd’hui des capitaux Arabes et à un degré moindre des capitaux Turques ».
Par S. Hafid
2006-07-20 El Khabar
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