Bonjour, un documentaire sur Al Waleed et sa réussite sur M6 ce Dimanche à 18h10
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Son Altesse Royale le prince Al Waleed bin Talal bin Abdelaziz Al Saud appartient au club très fermé des hommes les plus riches de la planète. Membre de la famille royale saoudienne, sa fortune est estimée à 20 milliards de dollars. A 57 ans, marié et divorcé 3 fois, père de 2 enfants, le prince est un des ténors du capitalisme mondial. Pendant trois semaines, nous l'avons suivi en France et au Moyen-Orient.
A quoi ressemble la vie de cet homme d'affaires hors du commun ? Quels sont les secrets de sa réussite ? Comment travaille-t-il et quels sont ses loisirs ? Ce portrait exceptionnel nous transporte à bord de ses jets privés et de son yacht, l'un des plus beaux du monde, mais aussi dans son palais de 130 pièces à Riyadh et dans un grand palace parisien qui lui appartient. Le prince Al Waleed roule sur l'or, mais contrairement aux rois du pétrole, il a bâti sa fortune sur ses seuls talents d'investisseur. Lancé dans les affaires très jeune avec un don familial estimé à 15.000 euros, il a vite appris à faire fructifier son argent. A Riyadh, du haut de la plus haute tour de la ville, qu'il a fait construire, il gère son empire financier. Sa stratégie : acheter à bas prix des actions de grandes compagnies en difficulté et attendre qu'elles retrouvent leur place naturelle sur le marché .
Il réalise en 1991 l'un de ses plus beaux coups en entrant dans Citicorp, aujourd'hui la plus grande banque du monde. Il est propriétaire des plus prestigieux hôtels de la planète : le Georges V à Paris, le Plaza à New York, le Savoy et le Four Seasons à Londres. Il possède aussi près de 10% du parc Disneyland Paris. Mais cet homme richissime sait faire profiter les autres de ses largesses. Il consacre chaque année environ 100 millions d'euros au mécénat ou à des ouvres caritatives. Nous l'avons suivi dans les quartiers populaire de Riyadh, où il distribue luimême régulièrement des enveloppes de billets à des familles pauvres. Le 26 juillet 2005, cet amoureux de la France a remis au Musée du Louvre un chèque de 17 millions d'euros pour la création du département des arts de l'Islam. Riche et généreux, le prince Al Waleed est d'autant plus courtisé qu'il appartient à la famille royale d'Arabie Saoudite. C'est son oncle Abdallah qui est monté sur le trône. Dans le carnet d'adresses du prince se côtoient les chefs d'état et de gouvernement du monde entier.
Avec eux, il parle affaires, mais aussi politique. Depuis le 11 septembre 2001, il s'emploie à améliorer les relations entre l'Occident et l'Arabie Saoudite. Respectueux de l'islam traditionnel saoudien, celui que l'on appelle " le prince du désert " tient régulièrement des assemblées sous la tente et passe une nuit par semaine dans le désert. Mais il est aussi un dirigeant éclairé, favorable à l'ouverture de la société et en particulier à l'émancipation des femmes dans son pays. Il n'hésite pas à donner l'exemple : dans sa compagnie, Kingdom Holding, les femmes travaillent avec des hommes et elles ne sont pas voilées..
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Son Altesse Royale le prince Al Waleed bin Talal bin Abdelaziz Al Saud appartient au club très fermé des hommes les plus riches de la planète. Membre de la famille royale saoudienne, sa fortune est estimée à 20 milliards de dollars. A 57 ans, marié et divorcé 3 fois, père de 2 enfants, le prince est un des ténors du capitalisme mondial. Pendant trois semaines, nous l'avons suivi en France et au Moyen-Orient.
A quoi ressemble la vie de cet homme d'affaires hors du commun ? Quels sont les secrets de sa réussite ? Comment travaille-t-il et quels sont ses loisirs ? Ce portrait exceptionnel nous transporte à bord de ses jets privés et de son yacht, l'un des plus beaux du monde, mais aussi dans son palais de 130 pièces à Riyadh et dans un grand palace parisien qui lui appartient. Le prince Al Waleed roule sur l'or, mais contrairement aux rois du pétrole, il a bâti sa fortune sur ses seuls talents d'investisseur. Lancé dans les affaires très jeune avec un don familial estimé à 15.000 euros, il a vite appris à faire fructifier son argent. A Riyadh, du haut de la plus haute tour de la ville, qu'il a fait construire, il gère son empire financier. Sa stratégie : acheter à bas prix des actions de grandes compagnies en difficulté et attendre qu'elles retrouvent leur place naturelle sur le marché .
Il réalise en 1991 l'un de ses plus beaux coups en entrant dans Citicorp, aujourd'hui la plus grande banque du monde. Il est propriétaire des plus prestigieux hôtels de la planète : le Georges V à Paris, le Plaza à New York, le Savoy et le Four Seasons à Londres. Il possède aussi près de 10% du parc Disneyland Paris. Mais cet homme richissime sait faire profiter les autres de ses largesses. Il consacre chaque année environ 100 millions d'euros au mécénat ou à des ouvres caritatives. Nous l'avons suivi dans les quartiers populaire de Riyadh, où il distribue luimême régulièrement des enveloppes de billets à des familles pauvres. Le 26 juillet 2005, cet amoureux de la France a remis au Musée du Louvre un chèque de 17 millions d'euros pour la création du département des arts de l'Islam. Riche et généreux, le prince Al Waleed est d'autant plus courtisé qu'il appartient à la famille royale d'Arabie Saoudite. C'est son oncle Abdallah qui est monté sur le trône. Dans le carnet d'adresses du prince se côtoient les chefs d'état et de gouvernement du monde entier.
Avec eux, il parle affaires, mais aussi politique. Depuis le 11 septembre 2001, il s'emploie à améliorer les relations entre l'Occident et l'Arabie Saoudite. Respectueux de l'islam traditionnel saoudien, celui que l'on appelle " le prince du désert " tient régulièrement des assemblées sous la tente et passe une nuit par semaine dans le désert. Mais il est aussi un dirigeant éclairé, favorable à l'ouverture de la société et en particulier à l'émancipation des femmes dans son pays. Il n'hésite pas à donner l'exemple : dans sa compagnie, Kingdom Holding, les femmes travaillent avec des hommes et elles ne sont pas voilées..
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