Au Maroc, pour avoir un marché public, il faut corrompre ! C’est ce qu’ont affirmé 63% des entreprises questionnées pour une étude menée à la demande du Conseil de la Concurrence.
Le processus d’adjudication des marchés publics est semé d’embûches pour les entreprises qui participent aux appels d’offres émis par l’Etat au Maroc
Ainsi, 54% des entreprises affirment que dans ce domaine le clientélisme est monnaie courante, alors que 44% ont du mal à obtenir les informations relatives aux marchés publics, d’où la nécessité d’après elles de recourir à la corruption ou aux réseaux professionnels.
Toujours d’après cette étude, 36% des entreprises ayant répondu à des appels d’offres pour des marchés publics, indiquent avoir été soit exclues, soit soumises à des procédures et des règles injustes. Le reste, soit 64%, affirme au contraire que l’adjudication de marchés publics se fait équitablement.
alm
Le processus d’adjudication des marchés publics est semé d’embûches pour les entreprises qui participent aux appels d’offres émis par l’Etat au Maroc
Ainsi, 54% des entreprises affirment que dans ce domaine le clientélisme est monnaie courante, alors que 44% ont du mal à obtenir les informations relatives aux marchés publics, d’où la nécessité d’après elles de recourir à la corruption ou aux réseaux professionnels.
Toujours d’après cette étude, 36% des entreprises ayant répondu à des appels d’offres pour des marchés publics, indiquent avoir été soit exclues, soit soumises à des procédures et des règles injustes. Le reste, soit 64%, affirme au contraire que l’adjudication de marchés publics se fait équitablement.
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