Les iles Canaries fascine par le professionnalisme de ses opérateurs dans le secteur du tourisme, par l’implication de ses élus au développement du tourisme et par le dynamisme économique des membres de son gouvernement autonome qui avaient tous compris depuis longtemps, que le secteur du tourisme est un vrai vecteur de développement socio économique. L’archipel n’excède pas 7 400 km2 et pourtant il reçoit 12 millions de touristes, possède une capacité de 430 000 lits.
Aux Canaries, tout gravite atour du tourisme, d’une manière directe ou indirecte. Industrie importante qui alimente les autres notamment, le raffinage du pétrole et l’agro industrie. Dans l’Archipel canarien, une population de 2 millions d’habitants reçoit 12 millions de tourismes par an, soit 6 fois la population locale. Les îles de Tenerife avec ses 5 millions de touristes est en tête de liste, suivi de Las Palmas / Maspalomas, et les environs, de Lanzarote, puis par l’île Fuerteventura. En parallèle des hôtels, de milliers de résidences touristiques meubles les îles, bien appréciés par les Anglais ( 50 % du contingent touristique) ; Allemands, et les Scandinaves ; suivent forment le gros de la clientèle, principalement en hiver. En été, les Canaries sont une destination familiale et individuelle de marque.
En effet les principales destinations touristiques sont réputées d’abriter une diversité et une richesse en matière d’animation exceptionnelle, aussi bien le jour (avec les parcs à thèmes, aquaparc, parcs naturels etc…) comme de nuit où chacun y trouve son compte jusqu’à la le ver du soleil. IL faut se rappeler qu’il s’agit d’une destination européenne à 100%, dans sa gestion, ses mentalités, son savoir faire, ses connections économiques, ses infrastructures autoroutières, portuaires, aéroportuaires, médicales, de communication, entre autres, de premier ordre. C’est qui fait d’ailleurs qu’on ne peut la comparer au Maroc, ni aux autres destinations arabes.
On est dans une autre dimension, dans une autre échelle de valeurs. D’ailleurs s’entêter à comparer le Maroc, par exemple aux Iles Canaries tourne au ridicule.
Un archipel de 7 400 km2, composé exclusivement par les îles volcaniques, reçoit 12 de millions de touristes, dispose d’une capacité de plus 430 000 lits dont plus de 230 000 lits hôteliers, et desservi par huit aéroports. L’île de Tenerife, à titre d’exemple qui mesure 45 km sur 45, reçoit à elle seule 5 millions de touristes. Le Souss Massa Draa, avec ses 74 000 km, avec toutes ses destinations : Agadir, capitale du balnéaire, Ouarzazate, Zagora, Tiznit et Taroudant, n’arrive pas au million de touristes par an, pour un exercice touristique qui durent depuis 1970. Alors, il faut arrêter de faire des comparaisons qui n’avancent à rien. Sauf pour parler de l’exemple des Canaries, qu’il faudra adapter au maroc.
les Iles Canaries sont un bon exemple pour le Maroc, en ce qui concerne la gestion et le développement touristique, vécu en tant que levier de développement socio économique, qui intègre la dimension de la préservation de l’Environnement, dans le cadre d’une gestion régionale et une implication réelle des opérateurs, des élus, et de l’administration dans le développement touristique, dans toutes ces dimensions et ces composantes, dont celle de l’aérien incontournable pour la progression du tourisme. Le cas de la création de la compagnie aérien Binter Canarias est révélateur à ce sujet.
Source: THR Magazine
Aux Canaries, tout gravite atour du tourisme, d’une manière directe ou indirecte. Industrie importante qui alimente les autres notamment, le raffinage du pétrole et l’agro industrie. Dans l’Archipel canarien, une population de 2 millions d’habitants reçoit 12 millions de tourismes par an, soit 6 fois la population locale. Les îles de Tenerife avec ses 5 millions de touristes est en tête de liste, suivi de Las Palmas / Maspalomas, et les environs, de Lanzarote, puis par l’île Fuerteventura. En parallèle des hôtels, de milliers de résidences touristiques meubles les îles, bien appréciés par les Anglais ( 50 % du contingent touristique) ; Allemands, et les Scandinaves ; suivent forment le gros de la clientèle, principalement en hiver. En été, les Canaries sont une destination familiale et individuelle de marque.
En effet les principales destinations touristiques sont réputées d’abriter une diversité et une richesse en matière d’animation exceptionnelle, aussi bien le jour (avec les parcs à thèmes, aquaparc, parcs naturels etc…) comme de nuit où chacun y trouve son compte jusqu’à la le ver du soleil. IL faut se rappeler qu’il s’agit d’une destination européenne à 100%, dans sa gestion, ses mentalités, son savoir faire, ses connections économiques, ses infrastructures autoroutières, portuaires, aéroportuaires, médicales, de communication, entre autres, de premier ordre. C’est qui fait d’ailleurs qu’on ne peut la comparer au Maroc, ni aux autres destinations arabes.
On est dans une autre dimension, dans une autre échelle de valeurs. D’ailleurs s’entêter à comparer le Maroc, par exemple aux Iles Canaries tourne au ridicule.
Un archipel de 7 400 km2, composé exclusivement par les îles volcaniques, reçoit 12 de millions de touristes, dispose d’une capacité de plus 430 000 lits dont plus de 230 000 lits hôteliers, et desservi par huit aéroports. L’île de Tenerife, à titre d’exemple qui mesure 45 km sur 45, reçoit à elle seule 5 millions de touristes. Le Souss Massa Draa, avec ses 74 000 km, avec toutes ses destinations : Agadir, capitale du balnéaire, Ouarzazate, Zagora, Tiznit et Taroudant, n’arrive pas au million de touristes par an, pour un exercice touristique qui durent depuis 1970. Alors, il faut arrêter de faire des comparaisons qui n’avancent à rien. Sauf pour parler de l’exemple des Canaries, qu’il faudra adapter au maroc.
les Iles Canaries sont un bon exemple pour le Maroc, en ce qui concerne la gestion et le développement touristique, vécu en tant que levier de développement socio économique, qui intègre la dimension de la préservation de l’Environnement, dans le cadre d’une gestion régionale et une implication réelle des opérateurs, des élus, et de l’administration dans le développement touristique, dans toutes ces dimensions et ces composantes, dont celle de l’aérien incontournable pour la progression du tourisme. Le cas de la création de la compagnie aérien Binter Canarias est révélateur à ce sujet.
Source: THR Magazine
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