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Electricité : Sonelgaz investira 30 milliards de dollars d’ici à 2020

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  • Electricité : Sonelgaz investira 30 milliards de dollars d’ici à 2020

    L’Algérie va investir 30 milliards de dollars pour produire 1.200 MW électricité supplémentaires par an d’ici à 2020, a indiqué lundi à Alger le PDG de Sonelgaz, M. Nourredine Boutarfa.

    "Pour répondre à une demande croissante en électricité, d’environ 10%, notamment en été, Sonelgaz va allouer près de 30 milliards de dollars pour la mise en oeuvre de 1.200 MW par an d’ici à 2020", a déclaré M. Boutarfa lors de la 16ème semaine de l’énergie.

    Une part de cette capacité sera réservée aux énergies renouvelables, a précisé le dirigeant de Sonelgaz qui rappelle les objectifs de son groupe de produire 40% d’électricité à partir des énergies alternatives en 2030.

    "Nous croyons fermement que la croissance et le développement de notre pays ne peuvent être envisagés sans un investissement massif dans le renouvelable, notamment le solaire. L’Algérie a l’ambition de devenir un acteur majeur", promet-il.

    La production d’électricité devrait se situer entre 75 et 80 TWh en 2020 et entre 130 et 150 TWh en 2030, selon des prévisions communiquées lors de cette rencontre par la direction de la prospective du groupe Sonelgaz.

    M. Boutarfa rappelle aussi que le programme de 80 milliards de dollars, dont les deux tiers ont été affectés au développement des énergies renouvelables et un tiers pour la promotion de l’efficacité énergétique permettra d’installer une puissance d’origine renouvelable de près de 21.000 MW entre 2011 et 2030.

    En complément à cette capacité, 10.000 MW seront dédiés à l’exportation pour autant que l’accès aux marchés européens sera rendu possible, que les financements extérieurs puissent être disponibles et que les risques de commercialisation soient partagés.

    APS
    veni vidi vici .

  • #2
    il parait qu'il y a une erreur quelque part,3O milliards de dollars pour seulement 1200 MW

    Commentaire


    • #3
      30 milliards $ voila qui fait serieux

      ca va permettre d'en finir definitivement avec les delestages, en esperant que les factures Sonelgaz soient desormais payées en temps et en heure, mais c'est une autre histoire

      en 2020 le solaire servira pour 40% de la production

      L'Algérie affiche de fortes ambitions dans les énergies renouvelables tout en maintenant le flou sur sa participation au projet allemand Desertec. Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a dévoilé cette semaine un plan gouvernemental prévoyant de produire 40 % des besoins nationaux en électricité à partir du solaire et de l'éolien à l'horizon 2020.

      « Nous avons identifié 60 projets qui nous permettront de produire entre 2.500 et 3.000 MW d'électricité à partir du solaire et de l'éolien », a-t-il précisé. Actuellement, l'Algérie produit son électricité essentiellement à partir de gaz naturel.

      Le plan de Youcef Yousfi prévoit aussi d'exporter vers l'Europe, en partenariat avec des investisseurs européens, 2.000 MW d'électricité « propre » à l'horizon 2020, puis 10.000 MW en 2030.

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      • #4
        30M$ c'est beaucoup quand même, ça sera financé comment ? c'est l'état ou Sonalgaz ?



        J'ai jamais compris pourquoi les investissement sont toujours annoncé par des chiffres faramineux comme si c'est çàa qui réglerai le problème ...
        شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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        • #5
          La production et les réseaux vétustes.

          Vous savez, on avance trop de chiffres pour l’investissement au niveau de SONELGAZ qu’il faut peut être prendre avec des pincettes. Il faut rappeler que dans le grand sud, les firmes étrangères qui s’implantent produisent leur propre énergie.
          Au vu de ces centrales grandioses, celles de sonelgaz jusqu'à l’heure fonctionnent au diesel et suffisent à peine à la population des petites localités.
          Aussi, peut on parler aujourd’hui de cette interconnexion du réseau haute tension qui s’avère inefficace pour incriminer la production.
          A mon sens cette production d’énergie par des turbines à gaz dont l’Algérie détient une grande réserve ne recense aucune insuffisance.
          Au contraire il faut peut être la développer davantage avant de projeter le solaire et l’éolienne.
          Ces premiers responsables, nous parlent de la production à l’horizon 2020 alors que les grandes difficultés recensées par cet organisme ont généralement pour cause les réseaux saturés et vétustes.
          Inutile de réagir par des camouflages car le citoyen Algérien est en mesure de comprendre qu’une charge appelée supérieure à celle que peut supporter un réseaux ne peut être qu’à l’origine de grandes perturbations .
          C’est là le véritable problème Messieurs les responsables. Pensez à rénover, à moderniser et à créer des schémas de secours avant de parler d'une production adéquate.

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          • #6
            il parait qu'il y a une erreur quelque part,3O milliards de dollars pour seulement 1200 MW
            30 milliards de dollars pour la mise en oeuvre de 1.200 MW par an d’ici à 2020
            La production d’électricité devrait se situer entre 75 et 80 TWh en 2020
            10.000 MW seront dédiés à l’exportation

            30M$ c'est beaucoup quand même
            pas vraiment non, 30 milliards de dollars d’ici à 2020
            ça fait environs 3,5 milliards de dollars par an d'investissement
            veni vidi vici .

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            • #7
              pas vraiment non, 30 milliards de dollars d’ici à 2020
              ça fait environs 3,5 milliards de dollars par an d'investissement
              ce qui me semble vraiment un montant raisonnable, car il y a vraiment encore enormement a faire dans ce domaine



              Le réseau de transport algérien est en phase d’expansion, car il doit répondre à la forte augmentation de la demande en électricité (+ 5 à 7% par an). Les principaux besoins en électricité sont domestiques, liés :
              • à l’accroissement de la population (celle-ci a plus que triplé en 50 ans, et son taux de croissance est actuellement estimé à 1,2% par an)
              • au changement des habitudes de consommation avec l’usage des appareils électriques modernes (climatiseurs, équipements multimédia et ménagers…).
              En outre, dans les années 1990, peu d’investissements ont été entrepris sur le réseau électrique, et celui-ci s’est dégradé.

              L’Algérie dispose de ressources en hydrocarbures importantes, et les centrales au gaz naturel représentent environ 95% de sa puissance électrique installée. Aujourd’hui, il faut développer les lignes et les postes électriques, qui raccordent les centrales de production aux lieux de consommation
              • Est-Ouest (interconnexions internationales avec le Maroc et la Tunisie)
              • Nord-Sud (raccordement des réseaux du Sud, jusqu’alors trop isolés du réseau national

              Il faut adapter la construction du réseau de transport à la variabilité du climat. En Algérie, elle est beaucoup plus grande qu’ailleurs. Il suffit de voir le désert du Sahara, le plus chaud du monde, et les hauts plateaux enneigés l’hiver ! Les postes électriques n’aiment ni le sable, ni la poussière, ni le soleil… ni le givre, et il faut les protéger.
              En outre, tout l’enjeu est de mieux organiser les études, fournitures et travaux de construction du réseau. Pour cela, depuis 2010, la direction du groupe SONELGAZ réorganise sa politique achat. Elle durcit notamment ses exigences de qualité envers ses fournisseurs.
              Les attentes de la population sont très fortes pour améliorer leur quotidien. 97% de la population a accès à l’électricité, mais en raison d’un réseau non-suffisamment dimensionné aux besoins, les Algériens souffrent encore régulièrement de coupures d’électricité. Principalement dans les campagnes et parfois, avec des conséquences sur l’alimentation en eau.

              Au début des années 2000, le gouvernement a lancé de grands programmes de construction d’infrastructures : routières, ferroviaires, électriques… Aujourd’hui, l’Algérie est au milieu du chemin, et les projets de développement du réseau de transport d’électricité font partie des priorités :
              • Réseau de transport : 17 290 lignes (versus 100 000 km de lignes en France)
              • GRTE est le gestionnaire de réseau de transport d’Algérie : responsable de l’exploitation, de la maintenance et du développement des lignes de plus de 60 000 Volts (60, 90, 150, 220, 400 000 Volts)
              • Ces 4 acteurs (GRTE, OS, CEEG, OM) sont des filiales du groupe SONELGAZ (100% Etat algérien), responsable de la production, du transport et de la distribution, de l’électricité et du gaz en Algérie.

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              • #8
                Entre la production et le transport.

                Je réitère qu’il faut prendre ces chiffres avec des pincettes à partir du moment ou SONELGAZ peut avancer n’importe quel prévisionnel sans pour autant le justifier par des arguments convaincants.
                Je crois que la meilleure façon de refléter les consistances physiques énumérées c’est de faire ressortir en parallèle les ratios des incidents et sa répercussion sur l’énergie non vendu.
                Vous vous rendrez compte dés lors qu’il y a tellement d’instabilité qui fait perdre à SONELGAZ des clients importants à l’image de SONATRACH par exemple.
                Personne ne peut nier que cette société prend en charge désormais la production de ses besoins en énergie électrique à travers tout le Sud.
                Des clients potentiels et pas des moindres ne comptent plus sur les alimentations SONELGAZ mais construisent leurs propres Centrales pour leur besoin.
                Probablement et selon cette hypothèse le besoin d’investissement de 30 milliards de dollars est exorbitant car les capacités prévisionnelles de production ne sont pas aussi importantes qu’on veut le faire croire.
                Convenez que l’énergie est disponible en Algérie et c’est son transport qui est défaillant.
                Dernière modification par Belaidsla, 17 avril 2012, 23h59. Motif: Graisser phrase.

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                • #9
                  le besoin d’investissement de 30 milliards de dollars est exorbitant car les capacités prévisionnelles de production ne sont pas aussi importantes qu’on veut le faire croire
                  peux-tu developper un peu ?!?

                  Commentaire


                  • #10
                    Votre imbroglio.

                    C'est à vous de développer ces 30 milliards de dollars notamment dans la production et de donner une synthèse convaincante. A moins que cet écrit ne soit rédigé sur un canevas de propos officieux.

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                    • #11
                      je n'ai rien a expliquer, la consommation augmente de plus de 7% par an, et en plus le pays veut faire passer le taux d'electricité renouvelable a 40% dans moins de 15 ans ...

                      je ne sais meme pas si 30 milliards $ suffiront ...

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                      • #12
                        Objectifs clairs.

                        Il convient d'assigner à vos 30 milliards des objectifs clairs et pas des tâtonnements démunis d'arguments valables. Votre (prévisionnel) doit avoir un sens découlant d'une analyse correcte.

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                        • #13
                          je ne saurais mieux dire !

                          on n'est jamais mieux servi que par soi-meme !

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                          • #14
                            La poudre aux yeux.

                            En effet, tout autre complément ou explication ne fera que contredire vos propos. Navré de constater cette rigueur de gestion de sonelgaz d’antan qui se dissipe de plus en plus. Je vous rappelle seulement les indicateurs relevés sur la revue trimestrielle « NOOR » de cette société :
                            Rapport de capacité installée (SPE) entre 2008 et 2003 = - 5 ,49%.
                            Rapport de production installée (SPE) entre 2008 et 2003= 99,24 % alors que la production tiers (hors sonelgaz) atteint entre 2008 et 2005 un taux = 3330,21%.
                            en chiffres Sonelgaz à 2008 atteint une production =28970 GWh alors que celle des tiers est de 11023 GWh à compter seulement de 2005
                            Convenez donc que les chiffres et l’investissement avancé n’est que de la poudre aux yeux.
                            Dernière modification par Belaidsla, 19 avril 2012, 01h14. Motif: Ajout de la production en chiffres

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                            • #15
                              primo : nous sommes actuellement en ... 2012, les chiffres de 2003 ou 2005, c'est du passé

                              secundo : la revue trimestrielle « NOUR » est une revue qui a une histoire tres particuliere, publiée par le departement d'etat americain ... et je ne suis pas etonné qu'elle serve de sainte-parole pour denigrer les inconstestables avancées de l'Algerie

                              tertio : la Sonelgaz est un géant, et elle est en train de muer pour devenir un colosse

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