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L’Institut méditerranéen des énergies renouvelables veut contribuer au développement d’une industrie algérienn

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    L’Institut méditerranéen des énergies renouvelables veut contribuer au développement d’une industrie algérienne des énergies vertes

    Mercredi 23 novembre 2011
    Le président de l’Institut méditerranéen des énergies renouvelables (IMEDER), Bernard Fourcade, a affirmé que l’institut veut contribuer au développement d’une industrie algérienne des "énergies vertes". L’action de cette institution, créée pour le développement de la coopération dans le domaine des énergies renouvelables entre les rives nord et sud de la Méditerranée, pourrait être notamment portée sur le soutien technique et l’accompagnement auprès des bailleurs de fonds des PME algériennes porteuses de projets de petite et moyenne taille, a précisé M. Fourcade lors d’un point presse organisé à l’issue d’une mission de l’IMEDER à Alger. La conception et la fabrication de chauffe-eau solaires et de kits de climatisation solaires, ainsi que le stockage sous froid de produits agricoles seraient les créneaux les plus favorisés dans le cadre de cette coopération, précise M. Fourcade. Dans ce sens, un projet de partenariat avec des opérateurs des wilayas de Mostaganem et de Relizane, portant sur la mise en place de chaînes de froid alimentées par le solaire pour le stockage de produits agricoles, a été proposé par les autorités de ces deux wilayas.
    "Ce projet sera soumis à la prochaine réunion du conseil d’administration de l’Institut", prévue pour le mois prochain, a-t-il ajouté.
    A une question relative à la possibilité pour l’IMEDER de participer à la réalisation des projets contenus dans le programme algérien de développement des énergies renouvelables, M. Fourcade a précisé que l’envergure de ces projets est au-dessus des capacités techniques et financières des sociétés encadrées par cet Institut, même si elles se constituent en consortiums.
    "Les projets initiés par l’IMEDER sont modestes par rapport à ce programme ou aux autres projets régionaux comme DESERTEC ou le PSM (Plan solaire méditerranéen)", explique-t-il.
    M. Fourcade a, d’autre part, affirmé que l’Algérie, malgré son retard relatif par rapport à ses voisins, dispose d’importantes potentialités pour mener son programme des énergies renouvelables.
    "A la faveur de son important gisement solaire et son aisance financière, l’Algérie pourrait être le premier pays de la région Maghreb dans ce domaine".
    Créé dans l’objectif de développer la collaboration méditerranéenne dans les énergies renouvelables, l’IMEDER agit, particulièrement, par le biais de projets collaboratifs, c’est-à-dire montés par des PME des deux rives.
    Pour la zone Maghreb, six projets sont déjà en cours de réalisation ou de maturation au Maroc et en Tunisie.
    Sept sociétés de la région de Perpignan font partie de la délégation de l’IMEDER et qui a eu des rencontres avec des responsables au ministère de l’Energie et des Mines, de Sonelgaz, de NEAL (New energy algeria) et du CDER (Centre de développement des énergies renouvelables)
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