La société d’investissement et de développement immobilier émirati Al Maabar va lancer, début 2010, la construction du plus grand projet touristique jamais mené en Jordanie, Marsa Zayed, d’une superficie de 3,2 kilomètres carrés, dont 6 millions de m2 constructibles.
Avec un coût estimé à 10 mds$ (6,84 mds€), ce projet sera situé sur le front de mer de la ville d’Aqaba.
Il comprendra un complexe de tours résidentielles, des aires commerciales et de loisirs mais aussi des quartiers d’affaires et des hôtels de luxe. Plusieurs marinas devraient également voir le jour, avec l’objectif affiché de faire du port d’Aqaba la première destination de yachting avec un terminal de croisière dernier cri.
En 2008, la société Al Maabar avait acheté 3,2 km2 de terrain à Aqaba, au gouvernement jordanien, pour une valeur de 500M$ (342,46M€).
Al Maabar est une joint-venture de six entreprises d’investissements émiraties, Al Dar properties, Sorouh Real Estate, Reem Investments, Reem International et Al Qudra Holdings. Elle mène de nombreux projets dans la région du Golfe, du Moyen-Orient et en Afrique du Nord, notamment
au Maroc, en Tunisie et en Libye.
Jenny Saleh, à Beyrouth
Econostrum
Avec un coût estimé à 10 mds$ (6,84 mds€), ce projet sera situé sur le front de mer de la ville d’Aqaba.
Il comprendra un complexe de tours résidentielles, des aires commerciales et de loisirs mais aussi des quartiers d’affaires et des hôtels de luxe. Plusieurs marinas devraient également voir le jour, avec l’objectif affiché de faire du port d’Aqaba la première destination de yachting avec un terminal de croisière dernier cri.
En 2008, la société Al Maabar avait acheté 3,2 km2 de terrain à Aqaba, au gouvernement jordanien, pour une valeur de 500M$ (342,46M€).
Al Maabar est une joint-venture de six entreprises d’investissements émiraties, Al Dar properties, Sorouh Real Estate, Reem Investments, Reem International et Al Qudra Holdings. Elle mène de nombreux projets dans la région du Golfe, du Moyen-Orient et en Afrique du Nord, notamment
au Maroc, en Tunisie et en Libye.
Jenny Saleh, à Beyrouth
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