Mois je dirais certains pays à la traine, alors pourquoi des pays bien placés géographiquement à 2 pas de l'Europe ont du mal à attirer les IDE et d'autres moins bien placés font mieux ?
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Une étude de l’Institut arabe pour la planification montre que la part des pays arabes dans le flux d’investissement étrangers était de 7,11% en 2009 et que ces mêmes pays représentent seulement 3,05% du stock d’IDe dans le monde, avec l’Arabie saoudite en tête, suivie du Qatar, de l’Egypte, du Liban et des Emirats Arabes Unis.
Ces chiffres ont été dévoilés dans le cadre d’une conférence dédiée aux déterminants de l’investissement direct à l’étranger dans les pays arabes au cours de laquelle Walid Abdel Mawla, un de membre du comité scientifique de l'Institut, a tenté d’expliquer la faible part des pays arabes dans les IDE.
Ses explications reposent une un modèle d’attractivité qui permet d’interpréter les données des IDE provenant d’une base de données de l’OCDE de 17 pays exportateurs d’IDE vers 63 pays importateurs d’IDE, dont 17 pays arabes, pour la période 2000-2009.
L’objectif est de tirer les conclusions adaptées en comparant chaque pays arabe à la Corée du Sud. Les déterminants des IDE dépendent de plusieurs facteurs, dont la taille de l’économie nationale, son ouverture commerciale, le taux de croissance du pays, l'environnement institutionnel, les infrastructures, la quantité de main-d’œuvre qualifiée ainsi que le taux d’imposition des entreprises.
Les résultats montrent que les pays arabes détiennent des éléments encourageants comparés à la Corée par rapport l’infrastructure existante, le taux d’imposition, l’ouverture commerciale, mais décourageants par rapport à la taille de leur économie et du faible taux d’échange avec les pays de l’OCDE.
Le facteur de la taille de l’économie est très important, il explique plus de 60% de l’écart entre les Emirats arabes unis et la Corée du Sud dans les IDE par exemple. Mais il reste une grande part non expliquée encore de l’écart des IDE entre les pays arabes et la Corée du Sud, qui varie selon chaque pays (20% pour le Yémen, l’Egypte et le Soudan et jusqu’à 60% pour le Bahreïn, l’Algérie ou la Mauritanie). C’est sur ce dernier point qu’il faudra adopter une série de réformes, préconise le chercheur.
source: Arab Planning Institute
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Une étude de l’Institut arabe pour la planification montre que la part des pays arabes dans le flux d’investissement étrangers était de 7,11% en 2009 et que ces mêmes pays représentent seulement 3,05% du stock d’IDe dans le monde, avec l’Arabie saoudite en tête, suivie du Qatar, de l’Egypte, du Liban et des Emirats Arabes Unis.
Ces chiffres ont été dévoilés dans le cadre d’une conférence dédiée aux déterminants de l’investissement direct à l’étranger dans les pays arabes au cours de laquelle Walid Abdel Mawla, un de membre du comité scientifique de l'Institut, a tenté d’expliquer la faible part des pays arabes dans les IDE.
Ses explications reposent une un modèle d’attractivité qui permet d’interpréter les données des IDE provenant d’une base de données de l’OCDE de 17 pays exportateurs d’IDE vers 63 pays importateurs d’IDE, dont 17 pays arabes, pour la période 2000-2009.
L’objectif est de tirer les conclusions adaptées en comparant chaque pays arabe à la Corée du Sud. Les déterminants des IDE dépendent de plusieurs facteurs, dont la taille de l’économie nationale, son ouverture commerciale, le taux de croissance du pays, l'environnement institutionnel, les infrastructures, la quantité de main-d’œuvre qualifiée ainsi que le taux d’imposition des entreprises.
Les résultats montrent que les pays arabes détiennent des éléments encourageants comparés à la Corée par rapport l’infrastructure existante, le taux d’imposition, l’ouverture commerciale, mais décourageants par rapport à la taille de leur économie et du faible taux d’échange avec les pays de l’OCDE.
Le facteur de la taille de l’économie est très important, il explique plus de 60% de l’écart entre les Emirats arabes unis et la Corée du Sud dans les IDE par exemple. Mais il reste une grande part non expliquée encore de l’écart des IDE entre les pays arabes et la Corée du Sud, qui varie selon chaque pays (20% pour le Yémen, l’Egypte et le Soudan et jusqu’à 60% pour le Bahreïn, l’Algérie ou la Mauritanie). C’est sur ce dernier point qu’il faudra adopter une série de réformes, préconise le chercheur.
source: Arab Planning Institute
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