En Inde, Le Rafale joue la finale
La nouvelle mérite d’être mentionnée : le Rafale fait partie des deux derniers avions de combat en lice pour un contrat d’armement de 12 milliards de dollars (8 milliards d’euros) destiné à équiper les forces armées indiennes de 126 avions de combat. Bon, on ne s’affole pas, le faux-vrai contrat brésilien est là pour rappeler à Dassault la dure réalité des négoces commerciaux. Mais le Rafale a quand même évincé le F-18 Super Hornet et le F-16 des Américains Boeing et Lockheed Martin, ainsi que le Gripen du suédois Saab, ce qui n’est pas rien. Ce qui est sûr, c’est que le prochain avion de combat indien comblera au moins en partie les intérêts français : le Rafale reste en lice avec l’Eurofighter, construit par un consortium formé par l’Européen EADS (46 %), dont le siège est à Paris, le Britannique BAE Systems (33 %) et l’Italien Finmeccanica (21 %). L’Inde doit acheter directement 18 appareils d’ici à 2012 tandis que les 108 autres seront construits en Inde. Tout va donc se jouer sur les transferts de technologies. Pour Dassault en tout cas, ça urge, car le plan de charge militaire est très très vide.
liberation.fr
La nouvelle mérite d’être mentionnée : le Rafale fait partie des deux derniers avions de combat en lice pour un contrat d’armement de 12 milliards de dollars (8 milliards d’euros) destiné à équiper les forces armées indiennes de 126 avions de combat. Bon, on ne s’affole pas, le faux-vrai contrat brésilien est là pour rappeler à Dassault la dure réalité des négoces commerciaux. Mais le Rafale a quand même évincé le F-18 Super Hornet et le F-16 des Américains Boeing et Lockheed Martin, ainsi que le Gripen du suédois Saab, ce qui n’est pas rien. Ce qui est sûr, c’est que le prochain avion de combat indien comblera au moins en partie les intérêts français : le Rafale reste en lice avec l’Eurofighter, construit par un consortium formé par l’Européen EADS (46 %), dont le siège est à Paris, le Britannique BAE Systems (33 %) et l’Italien Finmeccanica (21 %). L’Inde doit acheter directement 18 appareils d’ici à 2012 tandis que les 108 autres seront construits en Inde. Tout va donc se jouer sur les transferts de technologies. Pour Dassault en tout cas, ça urge, car le plan de charge militaire est très très vide.
liberation.fr
Commentaire