Bonjour, je dirais qu'ils ont raté le premier train et qu'ils rateront le deuxiéme, les entrepreneurs français se contentent du marché européens et encore, mais comme beaucoup de cadres originaire du Magrheb et du Moyen Orient ont été systématiquement mis hors circuit dans le management et la hiérarchie, on ne peut s'en prendre qu'a la politque discrminatoire de ces 30 derniéres années.
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Les monarchies du Golfe ont des pétrodollars... et de grandes ambitions. Une aubaine pour les entreprises françaises qui rêvent de débouchés en or.
Abou Dhabi, le 4 avril... Christine Lagarde plonge dans les eaux bleutées de la piscine du Beach Rotana Hotel. Un moment volé dans l'agenda ministériel, entre six et sept heures du matin, mais ô combien savoureux pour cette ancienne championne de France de natation, désormais plus habituée aux marathons officiels qu'aux joies de la nage synchronisée ! Il y a seulement un mois, Madame la ministre déléguée au Commerce extérieur était en visite en Arabie saoudite, aux côtés de Jacques Chirac. En retournant dans cette région du Golfe à l'occasion d'un périple éclair (Arabie saoudite, Koweït, Abou Dhabi, Dubaï en quatre jours), Christine Lagarde avait une ambition : «Traduire en termes économiques l'excellence des relations politiques de la France avec ces pays amis.» En clair, plaider la cause des entreprises françaises (une tâche parfaitement dans les cordes de cette avocate de renom) et les aider à décrocher des contrats ! Alstom, Areva, Amec Spie, Bouygues, Société générale, Suez, Technip, Thales, Veolia ou encore l'architecte Jean-Pierre Buffi étaient du voyage, entre autres représentants (une trentaine, au total) du savoir-faire français, emmenés par Medef International.
Objectif : convaincre les «rois du pétrole» qu'ils ne pourront se passer des Français pour écrire l'avenir de leurs monarchies plus que jamais bénies d'Allah, alors que le prix du baril atteint des sommets, à plus de 68 dollars ces jours-ci. Fin 1998, il valait 11 dollars. La hausse est vertigineuse... A tel point qu'un pays comme l'Arabie saoudite, doté des premières réserves de pétrole au monde, a enregistré des excédents commerciaux de 84,6 milliards de dollars au cours de l'année passée... Guère moins que ceux de la Chine : 105 milliards !
La suite...
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Les monarchies du Golfe ont des pétrodollars... et de grandes ambitions. Une aubaine pour les entreprises françaises qui rêvent de débouchés en or.
Abou Dhabi, le 4 avril... Christine Lagarde plonge dans les eaux bleutées de la piscine du Beach Rotana Hotel. Un moment volé dans l'agenda ministériel, entre six et sept heures du matin, mais ô combien savoureux pour cette ancienne championne de France de natation, désormais plus habituée aux marathons officiels qu'aux joies de la nage synchronisée ! Il y a seulement un mois, Madame la ministre déléguée au Commerce extérieur était en visite en Arabie saoudite, aux côtés de Jacques Chirac. En retournant dans cette région du Golfe à l'occasion d'un périple éclair (Arabie saoudite, Koweït, Abou Dhabi, Dubaï en quatre jours), Christine Lagarde avait une ambition : «Traduire en termes économiques l'excellence des relations politiques de la France avec ces pays amis.» En clair, plaider la cause des entreprises françaises (une tâche parfaitement dans les cordes de cette avocate de renom) et les aider à décrocher des contrats ! Alstom, Areva, Amec Spie, Bouygues, Société générale, Suez, Technip, Thales, Veolia ou encore l'architecte Jean-Pierre Buffi étaient du voyage, entre autres représentants (une trentaine, au total) du savoir-faire français, emmenés par Medef International.
Objectif : convaincre les «rois du pétrole» qu'ils ne pourront se passer des Français pour écrire l'avenir de leurs monarchies plus que jamais bénies d'Allah, alors que le prix du baril atteint des sommets, à plus de 68 dollars ces jours-ci. Fin 1998, il valait 11 dollars. La hausse est vertigineuse... A tel point qu'un pays comme l'Arabie saoudite, doté des premières réserves de pétrole au monde, a enregistré des excédents commerciaux de 84,6 milliards de dollars au cours de l'année passée... Guère moins que ceux de la Chine : 105 milliards !
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