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Bonsoir, malgré le pessimisme et la jalousie, l'Algérie avance, les projets tant privés que publiques se concrétisent, il suffit de lever la tête.
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Il a été procédé, hier, au siège du ministère de l’Energie et des Mines en Algérie à l’ouverture des plis techniques des trois projets de réalisation d’unités de dessalement d’eaux de mer, qui concernent Ettaref, Cap Blanc à Oran et Ténès.
Cette opération a connue une forte participation des compagnies espagnoles, en plus des compagnies françaises, américaine, britannique et singapourienne. La capacité de chaque unité de dessalement atteint 200 mille m3 sauf celle d’Ettaref qui est estimée à 50 mille m3/jour.
Selon un responsable de l’Algérienne de l’Energie, la moyenne du coût de réalisation de stations de dessalement d’eau de mer varie de 120 à 140 millions de dollars pour les unités ayant une capacité de 100 mille m3.
Ce qui a obligé le gouvernement algérien à avoir recours à l’investissement étranger pour réaliser d’aussi importants investissements, dans l’Ouest Algérien actuellement, région qui connaît une pénurie d’eau.
En ce qui concerne un projet de réalisation d’une station à Ettaref, quatre compagnies ont présenté des offres techniques qui à savoir "Hyflux" (Singapour), "Actiona" et "Enima-Aqualia" (Espagne) en plus d’un complexe composé de la compagnie Turque "Byter" et une Coréenne "Doosa". Pour ce qui est du projet de "Cap Blanc" à Oran et celui de Ténès, sept compagnies ont présenté des offres techniques.
Il s’agit de la compagnie américaine "Ionix", un complexe espagnol "Befesa-Cobra", la compagnie anglaise "BI Water", qui n’a pas présenté de soumission pour Ténès, les deux compagnies espagnoles "Actiona" et "Enima-Aqualia" et pour terminer le complexe canadien-français "SNC Lavalin-Degrement".
S. Yousfi - El-khaber 7 avril 2006
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Il a été procédé, hier, au siège du ministère de l’Energie et des Mines en Algérie à l’ouverture des plis techniques des trois projets de réalisation d’unités de dessalement d’eaux de mer, qui concernent Ettaref, Cap Blanc à Oran et Ténès.
Cette opération a connue une forte participation des compagnies espagnoles, en plus des compagnies françaises, américaine, britannique et singapourienne. La capacité de chaque unité de dessalement atteint 200 mille m3 sauf celle d’Ettaref qui est estimée à 50 mille m3/jour.
Selon un responsable de l’Algérienne de l’Energie, la moyenne du coût de réalisation de stations de dessalement d’eau de mer varie de 120 à 140 millions de dollars pour les unités ayant une capacité de 100 mille m3.
Ce qui a obligé le gouvernement algérien à avoir recours à l’investissement étranger pour réaliser d’aussi importants investissements, dans l’Ouest Algérien actuellement, région qui connaît une pénurie d’eau.
En ce qui concerne un projet de réalisation d’une station à Ettaref, quatre compagnies ont présenté des offres techniques qui à savoir "Hyflux" (Singapour), "Actiona" et "Enima-Aqualia" (Espagne) en plus d’un complexe composé de la compagnie Turque "Byter" et une Coréenne "Doosa". Pour ce qui est du projet de "Cap Blanc" à Oran et celui de Ténès, sept compagnies ont présenté des offres techniques.
Il s’agit de la compagnie américaine "Ionix", un complexe espagnol "Befesa-Cobra", la compagnie anglaise "BI Water", qui n’a pas présenté de soumission pour Ténès, les deux compagnies espagnoles "Actiona" et "Enima-Aqualia" et pour terminer le complexe canadien-français "SNC Lavalin-Degrement".
S. Yousfi - El-khaber 7 avril 2006