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Une zone industrielle moderne à Sidi Bel-Abbès en 2011 : L’Aniref se met à niveau

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  • Une zone industrielle moderne à Sidi Bel-Abbès en 2011 : L’Aniref se met à niveau

    Une zone industrielle «pilote» sera réalisée cette année à Sidi Bel-Abbès par l’Agence nationale d’intermédiation et de régulation foncière (Aniref), a annoncé, hier à Alger, lors d’une conférence à Alger la directrice générale de l’agence, Mme Mokraoui Hassiba. «Nous comptons réaliser une zone industrielle moderne, pilote, sur un terrain de 63 hectares qui a été récupéré en novembre 2010 par le Conseil des participations de l’Etat. Ce terrain est une extension non exploité de l’actuelle zone industrielle de Sidi Bel-Abbès», a expliqué Mme Mokraoui lors d’une conférence de presse tenue au siège de l’Aniref.
    Pour sa première expérience dans ce domaine, l’Aniref compte réaliser une zone industrielle conforme aux normes internationales. Il sera question de construire une zone comprenant des hangars modulables, des routes spacieuses, des services d’appuis (banques, hôtels) et des stations d’épuration des eaux rejetées par les unités industrielles. «Le dossier de ce projet est ficelé et se trouve actuellement au niveau du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, pour être présenté, par la suite, au CPE», a-t-elle précisé. Interrogé sur le financement de ce projet, Mme Mokraoui n’a donné aucun montant, précisant que «l’Aniref est devant plusieurs propositions: soit c’est l’Etat qui financera en totalité le projet ou bien il le sera en partenariat entre l’Aniref et un ou plusieurs opérateurs privés. Mme Mokraoui, a indiqué que l’Aniref « a finalisé et présenté en Conseil d’administration de l’agence un dossier relatif à l’aménagement de 3.880 ha». Dans ce cadre, L’Aniref compte « réaliser, au cours de cette année, une zone industrielle moderne, pilote, à Sidi Bel-Abbès, sur un terrain de 63 hectares récupéré en novembre de l’année passée par le Conseil des participations de l’Etat.
    «Ce terrain est une extension non achevée de l’actuelle zone industrielle» précise la directrice de l’Aniref. Consciente qu’il faut agir sur l’offre pour tirer les prix vers le bas, Mme Mokraoui Hassiba, a fait état de «plusieurs actions» de l’agence. En 2010, le morcellement de 7 actifs, dont les superficies sont jugées importantes, a donné naissance à 24 biens, plus attractifs en termes de taille et de mise à prix. Des lots de terrains, appartenant aux anciens organes aménageurs (URBA et CNERU), situés dans les zones industrielles et non encore attribués, ont été remis à l’Aniref, à la faveur d’une résolution du Conseil des participations de l’Etat, prise lors de sa 107ème session du 11 novembre 2010. Ainsi, 948 lots de terrains, représentant une superficie globale de plus de 600 hectares, répartis sur 25 zones industrielles, intégreront le portefeuille de l’agence.
    Toujours dans le cadre de l’amélioration de l’offre, l’Aniref s’attelle à finaliser un dossier pendant pour récupérer des biens immobiliers détenus par les entreprises publiques économiques, «non objectivement nécessaire à leurs activités». «La superficie globale de ces actifs excédentaires dépasse, selon les premières estimations, les 740 ha » indique Mme Mokraoui Hassiba. Évoquant le bilan des opérations de mise en concession, par voies d’enchères publiques, Mme Mokraoui, relève qu’en 2010, l’Aniref a réalisé 55 opérations, couvrant 28 wilayas. Elles ont permis de proposer à destination des investisseurs 172 actifs totalisant une superficie globale de 210 ha. 117 biens, d’une superficie globale de 145 ha, ont été concédés, soit un taux de réalisation de 68%. En termes d’impact, cette offre foncière représente un engagement d’investissement de l’ordre de 38,1 milliards de dinars et une prévision de création de plus de 9.750 emplois directs.
    La directrice générale de l’Aniref, considère « important » l’attrait des investisseurs pour ces opérations. 956 cahiers de charges ont retirés par les postulants, soit une moyenne de plus de 5,56 cahiers de charge par actif proposé. 381 cautionnements ont été déposés par les participants, soit une moyenne de 3,26 participants pour chaque actif concédé. L’examen du statut juridique des concessionnaires fait ressortir que 74% sont des personnes morales et 26% sont des personnes physiques.
    En matière de projets d’investissement, les matériaux de construction dominent. Mais, l’étude des fiches descriptives de projets prévus, fait ressortir une diversification des branches d’activités. Ces projets, s’ils sont concrétisés, permettrons la mise sur le marché, entre autre, de brides hydrauliques et pétrolières, panneaux solaires, gants chirurgicaux, remorques, etc. Depuis le lancement des opérations de concession, en octobre 2009, se sont 61 opérations que l’agence a organisées, dans 29 wilayas. L’Agence a mis en concession 200 actifs, et concédé 138. Cette offre foncière représente un engagement d’investissement de l’ordre de 41,4 milliards de dinars et une prévision de création de plus de 10.907 emplois directs. Ces chiffres traduisent les efforts déployés pour la libération et la valorisation d’une offre foncière dormante.
    « L’engouement, «très intéressant», des investisseurs à participer à ces opérations ainsi que les résultats obtenus, sont la conjugaison de plusieurs facteurs », souligne Mme Mokraoui Hassiba. En effet, l’agence a constamment œuvré pour se rapprocher des investisseurs à travers la mise en place d’un nombre d’actions. La directrice générale de l’agence cite, entre autre, la publication sur le site web de l’agence, suffisamment à temps, des plannings des mises en concession pour permettre aux investisseurs intéressés de s’y préparer. L’agence a par ailleurs conçu des CD interactifs, diffusés gratuitement, présentant les caractéristiques des biens immobiliers proposés en concession ainsi que les atouts des régions concernées.

    le financier

  • #2
    je ne comprend pas ces habitude de l'état algerien de faire tout en cachette....une chose apreille doitetre débatue en publique universiatire artisant artiste financier politique etc...sans aetre pessimiste ce projet est cosue sur mesure pour une categorie de speculateurs....
    mis soayant optimiste il faut retourner aux vieille habitudes de la regions...
    sidi bel abbes a part les casernes la polulations est majoriteremnrt du sud donc genetiquement elle est porter vers la laine, la teinture et l'agropastoralisme et en fond sur le tribalisme.....
    donc l'industrie sera axée sur le textile et le tapis et la teinture.
    vous n'allez pas donner a un nomade la construction d'un engin mécanique ou éléctronique bien qu'il pourra le faire ça ne le chatouilles pas...son interieur est rythmé...

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    • #3
      je ne comprend pas ces habitude de l'état algerien de faire tout en cachette....une chose apreille doitetre débatue en publique universiatire artisant artiste financier politique etc...sans aetre pessimiste ce projet est cosue sur mesure pour une categorie de speculateurs....
      c'est pas nouveaux !! ça sera tous comme les zones d'extension touristiques


      n'empêche que l'industrie profitera bien plus a l'algerie et aux algeriens que l'import , donc c'est un pas a saluer

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