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Constantine, immense future ville universitaire Ali mendjeli 8 édifices sur 40 réceptionnés

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  • #16
    Il faut voir la problématique sous plusieurs angles à mon sens. Cette "grosse structure" pourra apporter plusieurs choses (pour en citer qq'unes) :

    - Crédibilité internationale de ce pôle universitaire,
    - Attirer des chercheurs venus de l'étranger en plus grand nombre,
    - Rapprocher (physiqument) les chercheurs afin faciliter leurs travaux,
    - Rapprocher et favoriser la création de nouvelles entreprises => emplois,
    - Faire une sorte de "Silicone Valley" à l'algérienne,
    - Créer une dynamique ...

    Par contre effectivement, ne pas tomber dans les pbs que rencontrent certaines universités aujourd'hui :

    - Quantitatif au détriment du qualitatif,
    - formation universitaire en grand décalage avec le monde de l'entreprise,
    - Manque de pratique flagrant ds certaines filières technologiques (manque de laboratoires, d'équipements) ...
    Dernière modification par Snickers, 07 janvier 2011, 15h25.
    " Les conseilleurs ne sont pas toujours les payeurs "

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    • #17
      Pour tout ceci il faut vouloir y mettre véritablement toute la volonté politique, tous les moyens financiers disponibles nécessaires à la hauteur de cet enjeu vital. Et pas du tout les sommes et les ressources dérisoires que l’Algérie compte débourser dans le domaine en question.



      Voir Lien Ancien post traitant de cela:


      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=191483









      Dernière modification par Adama, 07 janvier 2011, 16h49.

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      • #18
        tant que l on ne remettra pas en cause l arabisation du moins dans les filieres scientifiques se sera de l argent a fond perdu
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #19
          oui solas, il faut supprimer l'arabe pour l'enseignement des sciences par ex.

          la langue arabe et la science ca va pas ensemble.

          on doit généraliser le francais et l'anglais.dès l'enfance.

          si c'est pour avoir de jolis batiments et des têtes vides....a l'intérieur.....

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          • #20
            C'est une coquille vide, tant que la politique actuelle sera imposée. L'année dernière avec les grèves des enseignants, il y a du y avoir en tout et pour tout que trois Mois de cours, et le BAC a été "donné"!!! Et par pitié, pas de réponse sur la défensive, j'ai été là bas, j'ai parlé à tout ceux de ma famille qui sont étudiants, et c'est une catastrophe! Les profs sont à côté de la plaque quand ils ne sont pas absent!!!! Je ne comprend pas, un pays comme l'Algérie et un niveau si faible! Qu'ils arrêtent de faire des super bâtiments immense pour les yeux, et qu'ils paient les enseignants et qu'ile en fasse venir! Rien qu'à Annaba y a une méga université qui vient d'être construite, mais qu'est ce qu'il y a dedans?
            On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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            • #21
              nos universités c'est la cata.

              autant les profs que les étudiants c'est indigne d'un pays comme l'algérie.

              sans généraliser la plupart des profs ont la tête ailleurs (donner des cours au noir par ex, boucler fin de mois ect)
              et les élèves idem

              les profs sont mal formé, les cours inadaptés,et des diplômes au rabais.
              bienvenu dans l'algérie de 2011:22::22::22::22::22:

              et tout cela, c'est le futur de l'algérie....

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              • #22
                une tres bonne nouvelle pour constantine, ce nouveau pole universitaire sur le modele de ceux damerique du nord, regroupant toutes les structures en un seul site, pour donner un esprit de campus

                et bientot le tramway pour le relier au centre-ville

                vraiment un projet magnifique !

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                • #23
                  En ce moment la mode c'est les cours privé!!! En fait les prof ne foutent rien à l'école, pour obliger les gens à venir payer leur cours privés!!!
                  On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                  • #24
                    oui beaucoup de profs mettent la pression sur les parents pour payer a leurs enfants des cours privés.
                    et bien sur ils donnent de bonnes notes par la suite ou mauvaises selon leurs interets.

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                    • #25
                      les profs font bien plus avancer le pays que les Redrabs et autres barons milliardaires-parasites

                      les diplomés universitaires algeriens poursuivent sans problemes aucuns leur deuxieme cycle, ou leur troisieme cycle en europe ou en amerique du nord

                      le niveau academique algerien est tres honorable, et ceux qui ont été ne serait-ce qun seul jour dans leur vie a luniversité le savent deja !

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                      • #26
                        Il me semble que depuis quelques années il y a eu un nombre assez conséquent d'universités construites en algérie, d'ou est ce qu'on a ammener les profs-chercheurs?? il faut quand meme quelques années pour pouvoir former un bon nombre de nouveaux doctorants ds différentes filiéres qui vont enseigner dans cette université de constantine par exemple, donc ces chercheurs ils ont été ramener d'autres universités? ds chercheurs algériens de l'étranger je sais qu'il y en a en europe et aussi au canada? si quelqun qui connait bien la situation de la recherche en algérie pourrai me répondre merci.

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                        • #27


                          chapichapo à 19h38 le 7/01/2011


                          les profs font bien plus avancer le pays que les Redrabs et autres barons milliardaires-parasites

                          les diplomés universitaires algeriens poursuivent sans problemes aucuns leur deuxieme cycle, ou leur troisieme cycle en europe ou en amerique du nord

                          le niveau academique algerien est tres honorable, et ceux qui ont été ne serait-ce qun seul jour dans leur vie a luniversité le savent deja !

                          Tiens donc ! Curieux ???



                          Ben Tachefine à 10h28 le 23/08/2010

                          Les universités maghrébines dans le classement Shanghai


                          Au classement 2010 des meilleures universités au monde, réalisé annuellement par l’Université de Shanghai, l’Université de Sousse, la première en Tunisie, arrive à la… 6719e place. Ce classement n’est pas digne d’un pays qui a opté un modèle de développement porté par l’innovation et la technologie.

                          L’Université de Sousse est suivie par les universités Tunis El Manar (6729e), de Sfax (6996e), 7-Novembre de Carthage (7190e), de Monastir (7340e), de Tunis (7365e), de Gabès (7395e), La Manouba (7560e), Ez-Zitouna (7791e), de l’Université Libre de Tunis, le seul établissement privé figurant au classement (8408e), de Kairouan (8541e), de Gafsa (8645e) et de Jendouba (8887e), qui ferme la marche.


                          Les dernières au Maghreb ?

                          Autant que cette place peu honorable des universités tunisiennes, ce qui gêne également dans ce classement, ‘‘The 2010 Academic Ranking of World Universities (Arwu)’’, c’est le fait que la première université tunisienne, celle de Sousse en l’occurrence, soit précédée, en Afrique du Nord (pour ne prendre que cette entité géopolitique), par 22 universités égyptiennes, 14 marocaines, 23 algériennes, 3 soudanaises, 2 libyennes et 1 mauritanienne.

                          En effet, l’Egypte place 22 universités (sur les 32 que compte le pays) avant leurs homologues tunisiennes, les trois premières étant l’Université américaine du Caire (466e), l’Université du Caire (647e) et Mansoura University (975e).

                          Le Maroc, pour sa part, place 14 universités (sur 26) avant les Tunisiennes, la première étant Cadi Ayyad University (1359e).
                          Idem pour l’Algérie, qui place 23 universités (sur 46) avant les Tunisiennes, la 1ère étant l’Université Abou Bekr Belkaid de Tlemcen (3509e rang).

                          Il en est de même pour le Soudan, dont 3 universités précèdent les Tunisiennes, la première étant l’Université de Khartoum (3363e).

                          Pis encore: deux universités libyennes (sur 15) font de meilleurs scores que les Tunisiennes: l’Université de Garyounis (4389e) et Alfateh University (6298e). Et en Mauritanie, l’Université de Nouakchott, l’unique du pays, parvient à surclasser les Tunisiennes (5386e).


                          Des critères de recherche en sciences exactes

                          Ce classement, créé en 2003 pour établir une comparaison entre les universités chinoises et leurs homologues européennes et américaines, se fonde essentiellement sur des critères de recherche en sciences exactes. C’est la raison pour laquelle il reste écrasé par les universités américaines: Harvard conserve sa première place depuis 2003, Berkeley (University of California) a en revanche ravi la deuxième place à Stanford. Au-delà du trio de tête, les universités américaines confisquent 54 des 100 premières places (et 17 des 20 premières places).

                          Si, cependant, aucune université africaine ou arabe ne figure parmi les 200 premières du classement Shanghai, quatre établissements supérieurs du Moyen-Orient sont parmi les 500 meilleures. Il s’agit de l’Université du Roi Saoud à Riyad et l’Université du Roi Fahd du pétrole et des minéraux (Arabie Saoudite), de l’Université d’Istanbul (Turquie) et de l’Université de Téhéran (Iran).

                          Il convient cependant de souligner que ce classement de Shanghai est fortement critiqué, notamment en raison des critères de classement adoptés. Ces critères sont le nombre de prix Nobel et de médailles Fields parmi les anciens élèves (10%), le nombre de prix Nobel et de médailles Fields parmi les chercheurs (20%), le nombre de chercheurs les plus cités dans leurs disciplines (20%), les articles publiés dans ‘‘Nature et Science’’ entre 2000 et 2004 (20%), les articles indexés dans ‘‘Science Citation Index’’ et ‘‘Arts & Humanities Citation Index’’ (20%) et la performance académique au regard de la taille de l’institution (10%).

                          Dans ces critères n’apparaissent malheureusement pas certaines orientations jugées prioritaires dans certains pays comme la formation supérieure des cadres, des ingénieurs et des gestionnaires pour les milieux socio-économiques ou les sciences humaines et sociales. Les secteurs de l’ingénierie et du management, l’ouverture sociale et l’innovation technologique sont peu pris en compte dans ces critères. Les sciences humaines n’y trouvent pas encore leur place: c’est là d’ailleurs la première critique formulée à l’encontre de ce classement, qui braque ses regards sur les prix Nobel et les publications.

                          On comprend, dès lors, qu’un petit pays comme Israël parvienne à placer l’un de ses établissements, l’Université hébraïque de Jérusalem, à la 72e place. Les professeurs et les diplômés de cette université comprennent de nombreux prix Nobel en sciences et en économie.


                          Un classement très relatif

                          Nian Cai Liu, le concepteur du classement, admet d’ailleurs que celui-ci reste tout à fait relatif. «Un classement est juste une source d’information parmi d’autres. Les universités devraient toujours considérer d’autres types d’évaluation et d’analyses, dans la mesure du possible, comme les études de benchmark ou la réputation des pairs… et aussi des rankings constitués avec d’autres critères que le nôtre», a-t-il expliqué au site Educpros.

                          Mais une fois ces réserves faites, on doit néanmoins admettre que le classement des universités tunisiennes n’est pas acceptable. Au moment où le pays cherche à passer d’un modèle de développement porté par la production industrielle et le coût de la main d’œuvre à un modèle porté par l’innovation et la technologie, ce classement vient nous rappeler de manière brutale le chemin qui reste à faire pour mettre notre système éducatif en général et l’université en particulier au diapason des ambitions du pays.



                          Kapitalis



                          ...
                          Dernière modification par Adama, 07 janvier 2011, 20h29.

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                          • #28
                            les diplomés universitaires algeriens poursuivent sans problemes aucuns leur deuxieme cycle, ou leur troisieme cycle en europe ou en amerique du nord
                            il faudra que lon mexplique ce miracle !

                            comment des diplomés pareils peuvent exceller dans les universités occidentales, en anglais en plus !

                            bonjour les classements !

                            et bonjour a nos dizaines de milliers detudiants qui trustent les places de majors de promotion dans les universités occidentales...

                            a bon entendeur !

                            Commentaire


                            • #29
                              chapi on remet pas en cause les capacités de nos étudiants.
                              on le sait tous, quand tu donnes de l'importance a un algerien, tu le paye bien, tu le consideres quoi....il est parmi les meilleurs et excelle.

                              c'est le systeme qu'on critique.
                              la plus grosse erreur de l'algerie c'est d'avoir privilegié l'industrie au lieu du savoir dès l'indépendance.

                              mais sans savoir ton industrie et tout l'etat ca vaut zero.

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                              • #30
                                salam

                                Constantine a été vraiment délaissé ces 10 dernières années, dans le passé quand on aller de jijel,sétif, skikda a constantine on sentait le poids et la valeur culturelle de cette ville, comparant a nos petites villes, j'ai été la semaine passé, j'ai eu mal au cœur une ville triste, la seule chose qui m'a plu est la restauration de sa vieille ville (une petite partie)

                                Ya plus de loisir a constantine, c'est honteux, on peut dire la même chose pour annaba, la deuxième grande ville de l'est

                                J'espère que les autorités redonneront a ces 2 villes ce quelle méritent

                                Joli édifice, nchallah elle sera habiter par un bon esprit

                                Pour l'arabe, n'importe quoi, aucune filaire scientifique n'est enseigné en arabe, tout est en français, et c'est honteux , j'espère que cette université fera de l'arabe sa langue principale et de l'anglais sa deuxième langue
                                Dernière modification par naw08, 07 janvier 2011, 21h31.

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