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  • Salam

    les insultes encore et encore décidemment tu dois avoir des séquelles de ta difficile enfance, je t'ai déjà dit que cela ne fait pas parti de mon mode d'expression.

    Mon nom est ZA qui sont les initiales de mon nom et non ZAZA, cela doit être famillier chez vous à Marrakech lors de la gay pride mais pas chez moi.

    Donc il est important de faire cet aparté afin que les choses soient claires.

    Alors au fait game over que penses tu des 80000 de tes coppatriotes chez nous dont deux travaillent dans notre call.

    Tu ne m'as pas répondu.

    A bon entendeur

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    • les insultes encore et encore décidemment tu dois avoir des séquelles de ta difficile enfance, je t'ai déjà dit que cela ne fait pas parti de mon mode d'expression.

      mais t'aurais pas quelque chose de marrant non....ca devient lourd...


      Mon nom est ZA qui sont les initiales de mon nom et non ZAZA, cela doit être famillier chez vous à Marrakech lors de la gay pride mais pas chez moi.
      c'est quoi ce mélange d'inepties ?

      Alors au fait game over que penses tu des 80000 de tes coppatriotes chez nous dont deux travaillent dans notre call.

      et alors, t'as travaillé chez l'ancien colonisateur non?

      que a oujda il y a dans les 300000 algériens, il est ou le problèmes....

      à berkane aussi, il y en a plein....


      mais n’empêche t'as tjr pas fourni de chiffre....

      tu t'es aventuré sur un terrain que tu ne maîtrise pas, et tu n'arretes pas de prendre des coups mais tu continues dans tes conneries.....ya ZA

      Commentaire


      • Salam

        un terrain que je ne maîtrise pas, je pense que tu voulais faire une figure de style là.

        Demande aux marocaines que je coach chez nous, elles infirmeront tes propos.


        Mais c'est bien continuez ainsi, vous allez dégoûter tous les français des Call marocains à vouloir privilégier les pépètes aux professionnalisme.

        A bon entendeur

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        • Le secteur des call-center a pris un tel essor au Maroc car il apportait des avantages aux deux parties (client étranger et Maroc).

          Il y a eu quelques ratés mais on y remédie. L'avantage qu'a le Maroc par rapport à l'Algérie c'est un cadre légal clair et avantageux, une main d'oeuvre qualifiée et polyglotte. On peut avoir des clients Francophones et hispanophones (Atento à Tanger).

          Aujourd'hui on passe à un autre niveau avec des activités de back-office pour les banques, hôpitaux, comptabilité d'entreprise....

          Commentaire


          • Salam

            les avantages que tu cites ne sont pas des avantages comparés à l'algérie slougi à l'exception d'un cadre clair dès le départ.

            La taxe de 100 000€ qui a été demandé dès le départ par le gouvernement algérien a effectivement été une abbération et beaucoup de clients se sont tournés par dépit vers le Maroc je te le concède.

            Mais si toi tu appelles les TC qui te répondent sur Free ou Orange professionnels avec à ton sens une maîtrise de la langue française j'en déduis que ta perception de la qualité est un critère qui te reste à parfaire.

            je conseille effectivement à beaucoup de call marocains de se tourner vers du back office cela évitera la relation client et l'abérration d'entendre un mouloud avec un accent blédard se faire appelé Eric

            D'ailleurs je ne manque pas au passage de leur prodiguer ce conseil en les invitant à en parler à leur superviseur, mieux vaut prendre un prénom à deux syllabes à consonance arabe que de perdre dès la prise de contact avec le client toute crédibilité. Un mehdi ou un rayan vait mieux qu'un Eric joffroy avec un accent de blédard et surtout de n'utiliser qu'une trame avec le maximum de naturel plutôt que de réciter un argumentaire mot à mot sans intonnation sans empathie. Mais la responsabilité incombe plus aux managers qu'à ces pauvres TC qui se retrouvent démunis. La maîtrise des fondamentaux est essentielle pour faire ce métier.




            A bon entendeur

            Commentaire


            • 11 pages et pas un seul chiffre! ZA t'es à coté de la plaque:
              le maroc est N°1 dans l'offshoring en general en Afrique avec 32 000 emplois directs, suivi de loin par l'egypte avec 16 000 emplois, vient ensuite Maurice avec 9000 emplois suivi de la Tunisie 8000 emplois. En 2009, le maroc a dégagé un CA de 500 mil. d'euro dont 400 mil. d'euro pour les centres d'appels.. L'algerie ne figures pas encore dans le palmares.. pour denigrer trouves un autre secteur ou la Maroc n'est pas N°1 en Afrique, celui la n'est pas le bon..
              A bon entendeur,

              Commentaire


              • salam

                mais je suis entièrement d'accord avec toi sur la valeur des prestations que vous offrez, vous êtes effectivement les plus gros voleurs, il est inconcevable de payer pour avoir de telles prestations, je souligne de nouveau qu'ils sont venus chez vous pas dépit donc oui vous avez le plus grand nombre de positions de tc ne sachant pas maitriser un argumentaire téléphonique.

                je te le concède KHO, je dénigre pas je jette un regard de professionnel, vous etes des diléttantes vous avez fait du tort au métier en proposant des tarifs horaires <10€, on appelle cela la politique de la terre brûlée



                A bon entendeur

                Commentaire


                • salam ZA,
                  tu traites toute une profession de voleurs!! sans arguments à part sa compétitivité je n'ai pas grand chose à échanger avec toi.. tu as le discours de qq d'aigri qui ne peut être compétitif et qui insulte ses concurrents.. ce n'est donc pas rationnel..

                  Commentaire


                  • mais je suis entièrement d'accord avec toi sur la valeur des prestations que vous offrez, vous êtes effectivement les plus gros voleurs, il est inconcevable de payer pour avoir de telles prestations, je souligne de nouveau qu'ils sont venus chez vous pas dépit donc oui vous avez le plus grand nombre de positions de tc ne sachant pas maitriser un argumentaire téléphonique.

                    je te le concède KHO, je dénigre pas je jette un regard de professionnel, vous etes des diléttantes vous avez fait du tort au métier en proposant des tarifs horaires <10€, on appelle cela la politique de la terre brûlée

                    ehhh ben , t'en a fait du chemin en 15 pages , tu est passé de professionnel du secteur donnant son avis , à insulteur en chef . piétre evolution pour un mec de 40 ans
                    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                    Commentaire


                    • j'aime ta persévérance dans la connerie.....

                      tout tes messages sont du même gabarie......


                      tu mélanges quelque termes...tu n'apportes aucun mais aucun chiffres, et tu finis par ce réflexe pavlovien...les insultes....

                      t'es triste, tu t'es fait ridiculisé mais tu continues...
                      Salam Over tu as raison, tu as touché en plein dans le mille.

                      _ 1ére étape: ZA commence par raconter des anecdotes invérifiables,
                      _ Ensuite il fait une grosse bouillie syntaxique en mélangeant plein de termes entre eux,
                      _ Il ne donne aucun chiffre pour justifier ce qu'il dit,
                      _ Quand il est sous pression il craque et il insulte,
                      _ Pour se justifier il continue à te raconter encore d'autres histoires imaginaires, en te disant que tout les prestataires installés au Maroc sont évidemment des cons qui se font avoir par ces gros vicelards de marocains sans fois ni lois. (Bon pour une fois que ce ne sont pas les marocains qui se font avoir on peut dire qu'avec ZA c'est quand même positif... )
                      Dernière modification par Black, 29 décembre 2010, 14h23.

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                      • mais je suis entièrement d'accord avec toi sur la valeur des prestations que vous offrez, vous êtes effectivement les plus gros voleurs, il est inconcevable de payer pour avoir de telles prestations, je souligne de nouveau qu'ils sont venus chez vous pas dépit donc oui vous avez le plus grand nombre de positions de tc ne sachant pas maitriser un argumentaire téléphonique.
                        soub7an ALLAH, ya que toi qui l'a remarqué, notre niveau faible attire tjr et votre niveau haut plus vos salaires de miseres n'attirent personne....

                        je te le concède KHO, je dénigre pas je jette un regard de professionnel, vous etes des diléttantes vous avez fait du tort au métier en proposant des tarifs horaires <10€, on appelle cela la politique de la terre brûlée
                        mais non encore...pas les salaires, tu glisses tjr vers des trucs que tu ne maitrises pas.vous avez les salaires les plus bas du maghreb...mais personne ne vient...

                        Commentaire


                        • Voila pour tailler en pièces les arguments de notre ami ZA: Article de jeune afrique:

                          Première destination africaine pour la délocalisation de services, le pays veut concurrencer l’Europe de l’Est. À condition d’investir dans la formation et les langues.

                          Inauguré le 7 juin, le centre d’appels casablancais de Dell est une Babel des temps modernes. À chaque étage, casque téléphonique vissé sur les oreilles, de jeunes salariés conversent avec leurs interlocuteurs. Les bureaux sont organisés en immenses « open spaces » divisés en zones linguistiques délimitées par des drapeaux accrochés au plafond. Ici on parle en français, là en espagnol, de l’autre côté en anglais. Le grand fabricant américain d’ordinateurs, qui en vend la majorité à distance, a choisi le Maroc pour gérer, avec 1 800 employés (10 % sont des Subsahariens), l’ensemble des appels vers ses clients de l’Europe du Sud.

                          L’État marocain, interpellé par la réussite des premiers centres d’appels de Casablanca, a voulu dès 2000 devenir un pôle de la délocalisation de services en prenant exemple sur les deux champions asiatiques, l’Inde et les Philippines. Une décennie après, le royaume peut se targuer d’être le leader africain de l’offshoring. À Casanearshore, la zone de la capitale économique dédiée au secteur, Dell mais aussi Capgemini ont rejoint le mois dernier le britannique Logica, le français Webhelp ou encore les marocains Outsourcia et Omnishore.

                          Selon l’institut de conseil américain Everest, le Maroc a réussi à créer environ 32 000 emplois dans l’off shoring, ce qui place le pays en pole position en Afrique, loin devant l’Égypte (16 000 salariés), Maurice (9 000) et la Tunisie (8 000). Dans ce secteur, le royaume chérifien a dégagé un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros en 2009, dont 400 millions issus des centres d’appels, 72 millions du développement informatique et le reste d’autres fonctions support (comptabilité et achat notamment). Le pays est encore loin des performances du mastodonte indien (39 milliards d’euros de revenus), mais veut désormais concurrencer les pays d’Europe de l’Est, la Roumanie notamment (1 milliard d’euros de chiffre d’affaires), qui, comme lui, a comme clients principaux les entreprises d’Europe de l’Ouest.



                          Pour attirer des investisseurs dans l’offshoring, le Maroc ne se base pas que sur les coûts : l’Inde, les Philippines et même Maurice sont des destinations moins chères (le sous-continent indien est 43 % moins onéreux pour un même projet informatique). Mais il mise sur la proximité culturelle et géographique avec l’Europe, d’où l’expression « near shoring », pour la délocalisation proche de projets de taille moyenne. Cette proximité est d’abord linguistique. « Parmi toutes les destinations offshore, c’est l’une des meilleures pour la maîtrise du français, à égalité avec la Tunisie. C’est un avantage comparatif que le pays a su utiliser pour attirer les centres d’appels », juge Frédéric Lasnier, blogueur et PDG de Pentalog, une société de services franco-allemande qui a des centres en Roumanie et au Vietnam et étudie actuellement une implantation au Maghreb.

                          Manque de profils qualifiés

                          Autre avantage : « Casanearshore et Technopolis, les zones économiques dédiées à l’offshore [respectivement à Casablanca et Rabat, NDLR], sont sans égales sur le continent. Seul le Smart Village du Caire est aussi bien équipé. La redondance des fibres optiques permet un niveau de sécurité télécom conforme aux normes européennes et supérieur à celui de la Tunisie », explique Shyan Mukerjee, analyste à l’institut Everest.

                          Le Maroc peine cependant à monter en compétence sur les segments à forte valeur ajoutée : « Très compétitif pour les centres d’appels francophones, le pays est moins attractif pour le développement informatique, explique Frédéric Lasnier. Il y a de bons programmeurs au Maroc, mais les spécialistes pointus sont difficiles à trouver et plus chers qu’en Europe de l’Est. Quant à l’encadrement, c’est encore plus ardu. Du coup, un certain nombre d’entreprises étrangères opèrent au Maroc avec des cadres expatriés, ce qui alourdit les coûts, alors qu’en Roumanie l’ensemble de mon management est local et donc moins cher. » Le plan « émergence » mis en place par le gouvernement marocain prévoit un accroissement de la formation, mais les profils les plus qualifiés manquent toujours.

                          Et si la maîtrise de la langue française a été un atout pour lancer l’offre marocaine, le pays pèche aujourd’hui par monolinguisme. La Roumanie, la Russie et la Pologne ont su développer un multilinguisme qui leur permet de séduire des clients internationaux (qui ont les plus gros budgets), alors que les Marocains travaillent à 90 % pour des entreprises françaises.

                          Le lion africain de l’offshoring a donc encore du chemin à faire avant de croquer ses concurrents est-européens. Le développement des formations informatiques, linguistiques et managériales est plus que jamais à l’ordre du jour pour éviter une hausse artificielle des salaires sur certains profils. C’est quitte ou double : l’implantation d’entreprises de délocalisation de services est en effet beaucoup plus fragile qu’une installation industrielle, et le Maroc ne peut oublier que Dell a, en janvier 2009, délocalisé brutalement en Pologne son centre d’appels de Limerick, devenu trop cher à son goût, laissant exsangue l’économie de la ville irlandaise. Le marché de l’offshoring (78 milliards d’euros en 2009) fait légitimement envie au Maroc, mais ses règles sont impitoyables.

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                          • Salam Over tu as raison, tu as touché en plein dans le mille.

                            _ 1ére étape: ZA commence par raconter des anecdotes invérifiables,
                            _ Ensuite il fait une grosse bouillie syntaxique en mélangeant plein de termes entre eux,
                            _ Il ne donne aucun chiffre pour justifier ce qu'il dit,
                            _ Quand il est sous pression il craque et il insulte,
                            _ Pour se justifier il continue à te raconter encore d'autres histoires imaginaires.
                            salam Black,

                            je lui ai demandé dés le début les chiffres de 2010, combien de sociétés sont venus au Maroc et combien en Algérie...

                            walou, il a continué et mtn la nouvelle trouvaille, chaque post est une tchekchouka....

                            Commentaire


                            • Première destination africaine pour la délocalisation de services, le pays veut concurrencer l’Europe de l’Est. À condition d’investir dans la formation et les langues.

                              Inauguré le 7 juin, le centre d’appels casablancais de Dell est une Babel des temps modernes. À chaque étage, casque téléphonique vissé sur les oreilles, de jeunes salariés conversent avec leurs interlocuteurs. Les bureaux sont organisés en immenses « open spaces » divisés en zones linguistiques délimitées par des drapeaux accrochés au plafond. Ici on parle en français, là en espagnol, de l’autre côté en anglais. Le grand fabricant américain d’ordinateurs, qui en vend la majorité à distance, a choisi le Maroc pour gérer, avec 1 800 employés (10 % sont des Subsahariens), l’ensemble des appels vers ses clients de l’Europe du Sud.

                              L’État marocain, interpellé par la réussite des premiers centres d’appels de Casablanca, a voulu dès 2000 devenir un pôle de la délocalisation de services en prenant exemple sur les deux champions asiatiques, l’Inde et les Philippines. Une décennie après, le royaume peut se targuer d’être le leader africain de l’offshoring. À Casanearshore, la zone de la capitale économique dédiée au secteur, Dell mais aussi Capgemini ont rejoint le mois dernier le britannique Logica, le français Webhelp ou encore les marocains Outsourcia et Omnishore.

                              Selon l’institut de conseil américain Everest, le Maroc a réussi à créer environ 32 000 emplois dans l’off shoring, ce qui place le pays en pole position en Afrique, loin devant l’Égypte (16 000 salariés), Maurice (9 000) et la Tunisie (8 000). Dans ce secteur, le royaume chérifien a dégagé un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros en 2009, dont 400 millions issus des centres d’appels, 72 millions du développement informatique et le reste d’autres fonctions support (comptabilité et achat notamment). Le pays est encore loin des performances du mastodonte indien (39 milliards d’euros de revenus), mais veut désormais concurrencer les pays d’Europe de l’Est, la Roumanie notamment (1 milliard d’euros de chiffre d’affaires), qui, comme lui, a comme clients principaux les entreprises d’Europe de l’Ouest.



                              Pour attirer des investisseurs dans l’offshoring, le Maroc ne se base pas que sur les coûts : l’Inde, les Philippines et même Maurice sont des destinations moins chères (le sous-continent indien est 43 % moins onéreux pour un même projet informatique). Mais il mise sur la proximité culturelle et géographique avec l’Europe, d’où l’expression « near shoring », pour la délocalisation proche de projets de taille moyenne. Cette proximité est d’abord linguistique. « Parmi toutes les destinations offshore, c’est l’une des meilleures pour la maîtrise du français, à égalité avec la Tunisie. C’est un avantage comparatif que le pays a su utiliser pour attirer les centres d’appels », juge Frédéric Lasnier, blogueur et PDG de Pentalog, une société de services franco-allemande qui a des centres en Roumanie et au Vietnam et étudie actuellement une implantation au Maghreb.

                              Manque de profils qualifiés

                              Autre avantage : « Casanearshore et Technopolis, les zones économiques dédiées à l’offshore [respectivement à Casablanca et Rabat, NDLR], sont sans égales sur le continent. Seul le Smart Village du Caire est aussi bien équipé. La redondance des fibres optiques permet un niveau de sécurité télécom conforme aux normes européennes et supérieur à celui de la Tunisie », explique Shyan Mukerjee, analyste à l’institut Everest.

                              Le Maroc peine cependant à monter en compétence sur les segments à forte valeur ajoutée : « Très compétitif pour les centres d’appels francophones, le pays est moins attractif pour le développement informatique, explique Frédéric Lasnier. Il y a de bons programmeurs au Maroc, mais les spécialistes pointus sont difficiles à trouver et plus chers qu’en Europe de l’Est. Quant à l’encadrement, c’est encore plus ardu. Du coup, un certain nombre d’entreprises étrangères opèrent au Maroc avec des cadres expatriés, ce qui alourdit les coûts, alors qu’en Roumanie l’ensemble de mon management est local et donc moins cher. » Le plan « émergence » mis en place par le gouvernement marocain prévoit un accroissement de la formation, mais les profils les plus qualifiés manquent toujours.

                              Et si la maîtrise de la langue française a été un atout pour lancer l’offre marocaine, le pays pèche aujourd’hui par monolinguisme. La Roumanie, la Russie et la Pologne ont su développer un multilinguisme qui leur permet de séduire des clients internationaux (qui ont les plus gros budgets), alors que les Marocains travaillent à 90 % pour des entreprises françaises.

                              Le lion africain de l’offshoring a donc encore du chemin à faire avant de croquer ses concurrents est-européens. Le développement des formations informatiques, linguistiques et managériales est plus que jamais à l’ordre du jour pour éviter une hausse artificielle des salaires sur certains profils. C’est quitte ou double : l’implantation d’entreprises de délocalisation de services est en effet beaucoup plus fragile qu’une installation industrielle, et le Maroc ne peut oublier que Dell a, en janvier 2009, délocalisé brutalement en Pologne son centre d’appels de Limerick, devenu trop cher à son goût, laissant exsangue l’économie de la ville irlandaise. Le marché de l’offshoring (78 milliards d’euros en 2009) fait légitimement envie au Maroc, mais ses règles sont impitoyable
                              jeune afrique travaille pour le makhzen...

                              Commentaire


                              • Il est ou ZA??

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