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L’Algérie continue d’enregistrer une bonne performance économique.

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  • L’Algérie continue d’enregistrer une bonne performance économique.

    L’Algérie continue d’enregistrer une bonne performance économique, selon le FMI : 157 milliards de dollars de réserves de change à fin septembre 2010
    Le chef de la mission du Fonds monétaire international a indiqué, jeudi, l’affaire Djezzy objet d’un litige entre l’Etat algérien et Orascom Telecom Holding n’aura pas d’effets significatifs sur le climat général des investissements étrangers en Algérie.

    Le contentieux relatif au rachat par l’Etat algérien de l’opérateur égyptien de téléphonie mobile Orascom Télécom Algérie (OTA) n’aura pas d’effets significatifs sur l’environnement global des investissements étrangers en Algérie, a affirmé jeudi le chef de la mission du FMI à Alger, M. Joël Toujas-Bernaté.
    « Je crois que ce n’est pas forcément ce type d’affaire qui est plus significatif pour l’environnement global des affaires en Algérie », a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation des premières conclusions de cette mission sur l’Algérie, en attendant la publication d’un rapport, en février 2010.
    Ce qui est plus important, selon M. Joël Toujas-Bernaté, « est de voir comment des investisseurs, même de plus petite taille peuvent venir et trouver des partenaires au sein de l’économie algérienne ». Mais si, l’affaire Orascom n’a pas eu d’impact sur le climat des affaires, les mesures de la Loi de finances complémentaires 2009, semble-t-il ont eu un impact négatif.
    « Qu’on en regarde l’évolution des IDE en Algérie en 2009 et au début 2010 on a observait, dans le secteur hors hydrocarbures et hors secteur financier une baisse d’environ de 60% en 2009 par rapport en 2008.
    En 2010 alors que dans beaucoup de pays émergents on a observé une reprise assez importante des flux de capitaux, on n’a pas observé un tel rebond en Algérie » a indiqué M. Joël Toujas-Bernaté. « C’est toujours difficile de faire la part des choses, la baisse de l’an dernier s’est produite dans un contexte où au niveau mondiale il y eu une baisse des flux des capitaux.
    Cette baisse en Algérie est particulièrement marquée. Il y a eu sans aucun doute un impact de ses mesures sur le comportement des investisseurs étrangers » a –t-il ajouté. Evoquant la règle 51/49, le chef de mission du FMI, le secteur privé algérien demeurait « relativement faible et fragmenté”, ce qui ne l’habilite pas à jouer ce rôle de partenaire des investisseurs étrangers.   « Quelques entreprises sont assez grandes et dotées d’assises financières assez larges pour être des partenaires majoritaires avec des investisseurs étrangers, mais globalement le secteur privé algérien est encore relativement, faible et fragmenté.
    D’un autre coté les investisseurs étrangers sont retissant pour s’engager avec des entreprises publiques » estime-t-il. Les partenariats avec le secteur public sont les plus faisables. Mais, souligne Joël Toujas-Bernaté, Les investisseurs étrangers « sont souvent réticents et ont besoin de réassurance pour pouvoir savoir comment investir ». Pour M. Joël Toujas-Bernaté, les investissements directs étrangers peuvent jouer un rôle très positif pour le développement et la diversification de l’économie avec des transferts de savoir faire, des transferts de technologie qui sont primordiaux pour contribuer à l’augmentation de la productivité. Par ailleurs Le responsable Du FMI a qualifié l’amendement de la Loi relative à la Monnaie et au Crédit de « très positif ». Le FMI estime même que les banques privées ne « voient pas forcément d’un mauvais œil cette décision ».
    Cette mesure, a-t-il déclaré « pourra favoriser le dialogue avec les pouvoirs publics pour mieux comprendre comment les banques privées répondent au mieux aux besoins de financement de l’économie algérienne ».
    Sur le plan des performances, le FMI note que dans un contexte de reprise de l’économie mondiale, l’Algérie continue d’enregistrer une bonne performance économique tirée par les dépenses publiques. Les politiques macroéconomiques prudentes suivies par le passé ont permis à l’Algérie de constituer une position financière confortable avec des niveaux d’endettement très faibles.
    La croissance hors hydrocarbures devrait atteindre plus de 5%, grâce à une bonne performance des secteurs tirés par le programme d’investissements publics (PIP). D’autre part, la production des hydrocarbures devrait se stabiliser, et conduire à une croissance du PIB global de 3,3%. L’inflation est en baisse (4,6% en moyenne annuelle) en raison de la baisse des prix des aliments frais.
    L’inflation hors aliments frais demeure relativement modérée grâce à une politique monétaire prudente, un soutien aux prix de certains produits alimentaires de base et le contenu élevé en importations des dépenses publiques. La position extérieure s’est améliorée par rapport à 2009 et reste très confortable, avec des réserves internationales atteignant 157 milliards de dollars à fin septembre 2010.
    Le solde courant s’est fortement amélioré en raison de la hausse des prix des hydrocarbures et une légère baisse des importations. Malgré l’augmentation des recettes d’hydrocarbures, la position budgétaire restera déficitaire en raison d’une augmentation soutenue des dépenses publiques, y compris une hausse des rémunérations dans la fonction publique. Cependant, le déficit budgétaire se réduira en 2010 à 4 % du PIB - contre un déficit de 6,8 % du PIB en 2009. En 2011, le secteur hors hydrocarbures devrait continuer à enregistrer une bonne performance, équivalente à celle de cette année.
    Le secteur des hydrocarbures devrait également connaître une légère amélioration de son activité et contribuer à une croissance globale de 3,7%. La politique budgétaire en 2011 devrait avoir comme principal objectif de poursuivre l’effort de modernisation des infrastructures tout en continuant à renforcer la maîtrise des dépenses.
    Dans le but d’assurer la viabilité à long terme des finances publiques, il serait indiqué de rationaliser davantage et mieux cibler les dépenses publiques courantes, et poursuivre le renforcement de la mobilisation des recettes hors hydrocarbures. L’orientation dominante de la politique monétaire en 2011 devrait être de continuer à contrôler l’excès de liquidité et les pressions inflationnistes qui pourraient apparaitre après les importantes hausses des salaires dans la fonction publique et les principaux secteurs économiques.
    Par ailleurs, la Banque d’Algérie continue à maintenir le taux de change effectif réel proche de son niveau d’équilibre. Malgré des progrès importants, le défi principal pour l’économie algérienne demeure de créer suffisamment d’emplois pour les nouvelles générations en s’appuyant sur une diversification de l’activité économique.
    Abdelkrim Salhi

  • #2
    les réserves cumulées de l'algerie (réserves en dollar,fonds de régulation des recettes,l'or) sont estimé à combien ????

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    • #3
      dans les 210/220 milliards de dollars.

      157+45 milliars du fond de regulation environ

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      • #4
        l'or c'est pas si enorme ca doit faire 3 milliards de dollars environ en valeur.rien que les interets des reserves de change ca nous rapporte 2 fois plus.

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        • #5
          l'or c'est pas si enorme ca doit faire 3 milliards de dollars environ en valeur.rien que les interets des reserves de change ca nous rapporte 2 fois plus.
          je ne me rappelle pas où je l'ai lu mais son valeur en dollar avoisinait les 14MD$ ??????

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          • #6
            euh t'es sur ? attend c facile a calculer.on possede 180 tonnes.

            40000 dollars le kilo environ donc 1 tonnes=40 millions dollars.

            10 tonnes=400millions dollars
            100 tonnes=4 milliards
            180tonnes=7milliards.

            je disais 3milliards mais l'or s'est envolé dernierement donc c'est entre toi et moi 7 milliards environ

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