Yousfi fixe trois conditions à l’engagement de l’Algérie dans des projets type Desertec.
1) Partenariat technologique.
2) fabrication des équipements en Algérie
3) ouverture du marché européen pour d’éventuels excédents de production d’électricité.
Telles sont les trois conditions posées mercredi par M.Youssef Yousfi, ministre de l’énergie et des mines, à une participation de l’Algérie au grands projets internationaux, type Desertec ou autre, en matière d’énergie renouvelables. Le plan algérien, « vaste et ambitieux » sera connu avant la fin de l’année.
Le ministre de l’énergie et des minés a annoncé mercredi qu’un programme national « vaste » et «ambitieux » en matière d’énergies renouvelables sera rendu public dans les prochaines semaines et avant la fin de l’année.
Ce programme comporte de nombreux projets et il n’exclut pas un partenariat conditionné avec les projets annoncés, en Europe notamment, dans ce domaine. M.Youssef Yousfi a indiqué que l’Algérie avait trois conditions. La première condition est un « partenariat pour l’acquisition technologique. « Au niveau des laboratoires et de l’expertise, il faut nous soyons au point. On ne peut se permettre de développer les énergies renouvelables en important la technologie et sans que nous ayons la possibilité d'innover et de nous développer dans ce domaine ».
La seconde condition est industrielle. Elle se rapporte à la nécessité de fabriquer en Algérie les équipements qui rentrent dans les énergies renouvelables. Il est illusoire, a dit le ministre algérien, « de vouloir développer des énergies renouvelables en quantité sur le long terme en comptant sur l’importation des équipements. Ce serait trop couteux et pas rentable pour le pays ».
La troisième condition est commerciale. L’Algérie veut s’assurer que le marché européen soit ouvert et disponible à accepter d’éventuels excédents de production d’électricité en Algérie. Pour le ministre algérien, si ces conditions sont acceptées, l’Algérie est prête à y participer quel que soit sa dénomination. Dans le cas contraire, a-t-il, «on n’ira pas ».
© MaghrebEmergent 22/10/2010
1) Partenariat technologique.
2) fabrication des équipements en Algérie
3) ouverture du marché européen pour d’éventuels excédents de production d’électricité.
Telles sont les trois conditions posées mercredi par M.Youssef Yousfi, ministre de l’énergie et des mines, à une participation de l’Algérie au grands projets internationaux, type Desertec ou autre, en matière d’énergie renouvelables. Le plan algérien, « vaste et ambitieux » sera connu avant la fin de l’année.
Le ministre de l’énergie et des minés a annoncé mercredi qu’un programme national « vaste » et «ambitieux » en matière d’énergies renouvelables sera rendu public dans les prochaines semaines et avant la fin de l’année.
Ce programme comporte de nombreux projets et il n’exclut pas un partenariat conditionné avec les projets annoncés, en Europe notamment, dans ce domaine. M.Youssef Yousfi a indiqué que l’Algérie avait trois conditions. La première condition est un « partenariat pour l’acquisition technologique. « Au niveau des laboratoires et de l’expertise, il faut nous soyons au point. On ne peut se permettre de développer les énergies renouvelables en important la technologie et sans que nous ayons la possibilité d'innover et de nous développer dans ce domaine ».
La seconde condition est industrielle. Elle se rapporte à la nécessité de fabriquer en Algérie les équipements qui rentrent dans les énergies renouvelables. Il est illusoire, a dit le ministre algérien, « de vouloir développer des énergies renouvelables en quantité sur le long terme en comptant sur l’importation des équipements. Ce serait trop couteux et pas rentable pour le pays ».
La troisième condition est commerciale. L’Algérie veut s’assurer que le marché européen soit ouvert et disponible à accepter d’éventuels excédents de production d’électricité en Algérie. Pour le ministre algérien, si ces conditions sont acceptées, l’Algérie est prête à y participer quel que soit sa dénomination. Dans le cas contraire, a-t-il, «on n’ira pas ».
© MaghrebEmergent 22/10/2010
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