Alors que le dossier « Saint Gobain » est toujours en suspend
Renault reprend les négociations avec le gouvernement algérien
La délégation accompagnant la secrétaire d’état française chargée du commerce extérieur, Marie Idrac a, selon des sources, rencontré les ministères concernés, à l’instar des représentants du groupe Renault qui se sont eu des contacts avec le ministère de l’industrie et des PME et de l’investissement.
Les négociations pour la réalisation d’une usine de montage, qui avaient été suspendus par le gouvernement algérien en début d’année vont semblent-il être reprises avec cette fois la condition pour Renault de « se conformer à la législation algérienne, de contribuer financièrement à l’investissement commun, de promouvoir l’intégration industrielle localement, l’interdiction de la marque Renault sur des véhicules produits localement et enfin de donner la priorité au marché algérien. ». Il est d’ailleurs attendu qu’il y ait d’autres rencontres une fois une relance des contacts entre les deux parties.
Le dossier concernant « Saint Gobain » Le groupe français de matériaux de construction, qui devait être soumis au conseil national de l’investissement, est quant à lui toujours en suspens et ce en dépit des assurances du gouvernement Algérie à son homologue français que le dossier sur le litige entre l’opérateur et les employés était en passe d’être régler.
22-09-2010
el khabar
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La secrétaire d’Etat française Anne Marie Idrac confirme que Renault veut investir en Algérie
La secrétaire d’Etat française accompagnée d’hommes d'affaires français a écouté l’exposé de M. Benmeradi qui présentera, à cette occasion, les grandes lignes de la politique algérienne en matière d’investissements étrangers
Les discussions entre le ministre de l'Industrie, des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi et la secrétaire d’Etat française en charge du commerce extérieur, Anne-Marie Idrac ont porté essentiellement sur l'obligation d’investissement pour les entreprises étrangères désireuses de faire des affaires en Algérie et ce selon les nouvelles règles contenues dans la loi de finances complémentaire.
La secrétaire d’Etat française accompagnée d’hommes d'affaires français a écouté l’exposé de M. Benmeradi qui présentera, à cette occasion, les grandes lignes de la politique algérienne en matière d’investissements étrangers soulignant notamment que le gouvernement a décidé de mettre un terme à toute représentation étrangère fondés sur les seules activités commerciales.
Pour sa part, la secrétaire d’Etat française a évoqué les difficultés des entreprises françaises qui, selon elle, auraient du mal à maintenir leurs positions sur le marché algérien. D’après elle, les entreprises françaises sont pleinement disposées à contribuer activement à la mise en place d'investissements en Algérie et à procéder à un transfert de technologie afin de diversifier l'économie algérienne.
Elle a également souligné que la société française "Renault" est intéressée à investir en Algérie, avant d'ajouter que les négociations entre les deux parties ont atteint une nouvelle étape. M. Benmeradi a confirmé à ses interlocuteurs que l'Algérie était prête à encourager et à accompagner les investisseurs français dans un véritable partenariat.
echourouk
Renault reprend les négociations avec le gouvernement algérien
La délégation accompagnant la secrétaire d’état française chargée du commerce extérieur, Marie Idrac a, selon des sources, rencontré les ministères concernés, à l’instar des représentants du groupe Renault qui se sont eu des contacts avec le ministère de l’industrie et des PME et de l’investissement.
Les négociations pour la réalisation d’une usine de montage, qui avaient été suspendus par le gouvernement algérien en début d’année vont semblent-il être reprises avec cette fois la condition pour Renault de « se conformer à la législation algérienne, de contribuer financièrement à l’investissement commun, de promouvoir l’intégration industrielle localement, l’interdiction de la marque Renault sur des véhicules produits localement et enfin de donner la priorité au marché algérien. ». Il est d’ailleurs attendu qu’il y ait d’autres rencontres une fois une relance des contacts entre les deux parties.
Le dossier concernant « Saint Gobain » Le groupe français de matériaux de construction, qui devait être soumis au conseil national de l’investissement, est quant à lui toujours en suspens et ce en dépit des assurances du gouvernement Algérie à son homologue français que le dossier sur le litige entre l’opérateur et les employés était en passe d’être régler.
22-09-2010
el khabar
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La secrétaire d’Etat française Anne Marie Idrac confirme que Renault veut investir en Algérie
La secrétaire d’Etat française accompagnée d’hommes d'affaires français a écouté l’exposé de M. Benmeradi qui présentera, à cette occasion, les grandes lignes de la politique algérienne en matière d’investissements étrangers
Les discussions entre le ministre de l'Industrie, des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi et la secrétaire d’Etat française en charge du commerce extérieur, Anne-Marie Idrac ont porté essentiellement sur l'obligation d’investissement pour les entreprises étrangères désireuses de faire des affaires en Algérie et ce selon les nouvelles règles contenues dans la loi de finances complémentaire.
La secrétaire d’Etat française accompagnée d’hommes d'affaires français a écouté l’exposé de M. Benmeradi qui présentera, à cette occasion, les grandes lignes de la politique algérienne en matière d’investissements étrangers soulignant notamment que le gouvernement a décidé de mettre un terme à toute représentation étrangère fondés sur les seules activités commerciales.
Pour sa part, la secrétaire d’Etat française a évoqué les difficultés des entreprises françaises qui, selon elle, auraient du mal à maintenir leurs positions sur le marché algérien. D’après elle, les entreprises françaises sont pleinement disposées à contribuer activement à la mise en place d'investissements en Algérie et à procéder à un transfert de technologie afin de diversifier l'économie algérienne.
Elle a également souligné que la société française "Renault" est intéressée à investir en Algérie, avant d'ajouter que les négociations entre les deux parties ont atteint une nouvelle étape. M. Benmeradi a confirmé à ses interlocuteurs que l'Algérie était prête à encourager et à accompagner les investisseurs français dans un véritable partenariat.
echourouk
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