Tout le monde se pose la question su l"absence d'un marché Maghrebi "commun"....Pourtout la geographie, l'histopire et le sang... nous lient!!!!!
On ne peut se retrouver sur le même chemin si chacun prend une direction a part.
La Solution: Dépasser nos differents....Se fixer les mêmes objectifs et un même procéder pour en aboutir.
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Le Maghreb ne peut pas se construire si chacune de ses composantes “fait cavalier seul”. C’est ce que pense M. Smaïl Hamdani, ancien Chef du gouvernement, intervenant lors de l’université d’hiver de la Confédération des cadres de la finances et de la comptabilité (CCFC), consacrée à l'intégration économique maghrébine et organisée au siège du ministère des Finances. M. Smaïl Hamdani cite l'exemple des accords d'association avec l'Union européenne, signés individuellement sans aucune concertation propice à une synergie des négociations. L’ancien Chef du gouvernement parle de divergence d’approche de développement, du problème du Sahara occidental qui empêche, pour l’instant un marché maghrébin commun. La faiblesse structurelle des niveaux des échanges, se situant entre 1 et 2% seulement de notre commerce extérieur, illustre parfaitement la panne qui caractérise la construction du Maghreb. Le commerce entre les pays de cette région s'était établi à 1,36 milliard de dollars à peine en 2003, quasiment au même niveau qu'en 2001 (1,07 milliard de dollars). Pour M. Mohamed Bahloul, de l’IRDH d’Oran, “l'économie de ces pays demeure une économie de nature extractive, fortement dépendante de ressources volatiles (conditions climatiques, marché pétrolier…). En plus d'une mauvaise lecture de la mondialisation, les pays maghrébins n'ont pas su assurer la formation de véritables agents de l'économie de marché”. Ce qui a donné naissance, selon lui, à des entrepreneurs “souvent issus des réseaux de l'administration et de la corruption”. Les participants à la première journée de la CCFC affirment que la réactivation du processus d’intégration nécessite une volonté politique et la mise en place de nouveaux dispositifs juridiques plus adaptés au contexte actuel. La participation de la société civile est ici indispensable.
On ne peut se retrouver sur le même chemin si chacun prend une direction a part.
La Solution: Dépasser nos differents....Se fixer les mêmes objectifs et un même procéder pour en aboutir.
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Le Maghreb ne peut pas se construire si chacune de ses composantes “fait cavalier seul”. C’est ce que pense M. Smaïl Hamdani, ancien Chef du gouvernement, intervenant lors de l’université d’hiver de la Confédération des cadres de la finances et de la comptabilité (CCFC), consacrée à l'intégration économique maghrébine et organisée au siège du ministère des Finances. M. Smaïl Hamdani cite l'exemple des accords d'association avec l'Union européenne, signés individuellement sans aucune concertation propice à une synergie des négociations. L’ancien Chef du gouvernement parle de divergence d’approche de développement, du problème du Sahara occidental qui empêche, pour l’instant un marché maghrébin commun. La faiblesse structurelle des niveaux des échanges, se situant entre 1 et 2% seulement de notre commerce extérieur, illustre parfaitement la panne qui caractérise la construction du Maghreb. Le commerce entre les pays de cette région s'était établi à 1,36 milliard de dollars à peine en 2003, quasiment au même niveau qu'en 2001 (1,07 milliard de dollars). Pour M. Mohamed Bahloul, de l’IRDH d’Oran, “l'économie de ces pays demeure une économie de nature extractive, fortement dépendante de ressources volatiles (conditions climatiques, marché pétrolier…). En plus d'une mauvaise lecture de la mondialisation, les pays maghrébins n'ont pas su assurer la formation de véritables agents de l'économie de marché”. Ce qui a donné naissance, selon lui, à des entrepreneurs “souvent issus des réseaux de l'administration et de la corruption”. Les participants à la première journée de la CCFC affirment que la réactivation du processus d’intégration nécessite une volonté politique et la mise en place de nouveaux dispositifs juridiques plus adaptés au contexte actuel. La participation de la société civile est ici indispensable.
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