La livraison de la première ligne du tramway d’Alger est repoussée à 2012, a-t-on appris mardi 3 août de sources sûres. La réalisation de cette première partie longue de 23 kh entre Bordj El Kiffan (est d’Alger) et le quartier des Sources enregistre un retard considérable en raison de l’insuffisance des études. « L’ingénierie du projet a été mal faite. Il y a beaucoup de contraintes techniques qui n’ont pas été prises en compte dans l’étude », expliquent nos sources.
Le projet confié en 2006 à un groupement d’entreprises mené par le groupe français d’ingénierie Alstom pour plus de 400 millions d’euros devait être achevé en 2009. « Les nouveaux délais évoquent mai ou juin 2012, mais il faut compter jusqu’à la fin 2012 pour la mise en service de cette première ligne », ajoutent nos sources. Les Algérois devront donc patienter davantage avant de prendre le premier tramway de la ville depuis l’indépendance en 1962.
Outre les retards dans la réalisation, le projet connaît également des surcoûts importants, toujours en raison de cette insuffisance des études préalables. « Les négociations sont en cours entre le groupement chargé de la réalisation et l’Entreprise du Métro d’Alger sur ces surcoûts », indiquent nos sources.
Fin 2009, le ministre des Transports Amar Tou avait annoncé que cette ligne serait terminée avant la fin de l’année en cours. Le groupement mené par le groupe français Alstom peine en effet à avancer dans ce projet destiné à permettre à l’Est d’Alger de disposer d’un moyen de transport public de masse.
TSA
Ali Idir
Le projet confié en 2006 à un groupement d’entreprises mené par le groupe français d’ingénierie Alstom pour plus de 400 millions d’euros devait être achevé en 2009. « Les nouveaux délais évoquent mai ou juin 2012, mais il faut compter jusqu’à la fin 2012 pour la mise en service de cette première ligne », ajoutent nos sources. Les Algérois devront donc patienter davantage avant de prendre le premier tramway de la ville depuis l’indépendance en 1962.
Outre les retards dans la réalisation, le projet connaît également des surcoûts importants, toujours en raison de cette insuffisance des études préalables. « Les négociations sont en cours entre le groupement chargé de la réalisation et l’Entreprise du Métro d’Alger sur ces surcoûts », indiquent nos sources.
Fin 2009, le ministre des Transports Amar Tou avait annoncé que cette ligne serait terminée avant la fin de l’année en cours. Le groupement mené par le groupe français Alstom peine en effet à avancer dans ce projet destiné à permettre à l’Est d’Alger de disposer d’un moyen de transport public de masse.
TSA
Ali Idir
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