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Industrie Automobile en Algérie : Mercedes a Tiaret

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  • #46
    pourquoi vous attendez les emiratis pour vous ramenez un projet de chez mercedes ou autre, votre gouvernement ne peut rien négocier ou quoi?

    parce qu'ils sont actionnaires dans ces entreprises allemandes et ils ont leur mot à dire

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    • #47
      les neogiciations sont terminées depuis deja plus de 6 mois

      les sites de production sont en train detre amenagés...


      a bon entendeur !

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      • #48
        au revoir dacia-renault.....et bienvenue a Mercedes


        ==================

        Construction automobile : le projet de Renault en Algérie annulé, le Gouvernement impose ses conditions

        25 juilletSource : algerie-focus.com
        Annoncé en grande pompe au début de l’année 2010, le projet d’implantation du constructeur automobile français Renault en Algérie a fini par être abandonné par le Gouvernement algérien, apprend-on auprès de sources proches des milieux d’affaires algéro-français.
        Selon nos sources, la décision du Gouvernement algérien de ne pas donner suite au projet de Renault a été signifiée à Claude Guéant lors de son dernier passage en Algérie, en juin dernier.Ce dernier avait plaidé la cause du constructeur automobile français en février dernier, mais la réponse des autorités algériennes n’a pas satisfait aux doléances du Secrétaire Générale de l’Elysée. « Les autorités algériennes ont formulé une série de conditions pour la venue de Renault en Algérie, mais ce dernier n’y a pas répondu, d’où le rejet des Algériens », indique notre source.
        Et de préciser : « Les pouvoirs publics algériens ont exigé que Renault accepte le principe des 51/49 et donc d’être minoritaire dans leur projet automobile en Algérie. Ils ont aussi exigé que Renault mobilise ses propres ressources financières pour leur investissement en Algérie ainsi qu’un seuil d’intégration assez élevé des engins construits en Algérie. De plus, les Algériens ont souhaité voir les véhicules produits en Algérie porter la marque Renault et non Dacia ». Autant de conditions que Renault n’a pas pu ou voulu satisfaire. Alger a néanmoins indiqué à la firme française qu’elle sera toujours la « bienvenue » en Algérie si elle acceptait toutefois les conditions d’investissements en Algérie.
        Pour rappel, le constructeur français avait annoncé, au début 2010, la construction d’un site dans la banlieue d’Alger, qui devait produire 50.000 véhicules destinés au marché local, principalement des Logan, des Sandero et des berlines Symbol.

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        • #49
          Incha'Allah ya rab, ça va se concrétiser.
          Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.

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          • #50
            et bientot les images du site....et de la production !!

            de belles images en couleur et tout et tout

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            • #51
              Ah oui, production, production, production.

              Y en a marre des concessionnaires et du commercial.
              Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.

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              • #52
                non seulement production....mais en plus transfert de technologie...

                et avec controle 51-49% en prime

                donc pas de delocalisation a craindre ensuite...

                tahya dzair !!!

                Commentaire


                • #53
                  et bientot les images du site....et de la production !!

                  de belles images en couleur et tout et tout
                  Ah bon! En couleurs en plus! wooow! mdr...

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                  • #54
                    et bientot les images du site....et de la production !!

                    de belles images en couleur et tout et tout
                    bonne nouvelle












                    vive hugochavez et la chine

                    Commentaire


                    • #55
                      salam ya yak (ovlev)

                      eh oui ...

                      a tiaret je pense que pas mal de jeunes font de jolis projets davenir...

                      ...tout fiers quils sont de pouvoir bientot produire avec un joli bleu de travail siglé Mercedes...

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                      • #56
                        salam hugochavez59

                        j'ai hâte de voir les photos (du sélecto bien sur)

                        Commentaire


                        • #57
                          un peu de patience....elles arriveront avant la fin de lannée

                          Commentaire


                          • #58
                            cet automne risque d'être bien charger ,de bonnes nouvelles bien sur

                            enfin pour les algériens

                            Commentaire


                            • #59
                              jai entendu que le projet de drone va etre copmletement refondu et revu nettement a la hasse avec la venue de Eads- Deutschland, Rohde & Schwarz et Carl Zeiss...

                              ca promet de tres tres tres bonnes surprises...

                              ....sans parler de mers el kebir !!!

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                              • #60
                                les domaines d'activités de ces trois conglomérats (optiques&optronique ,systèmes de télécommunications ,aéronautiques)couvre tous les les besoins d'un tel projet

                                en plus une nouvelle entreprise a été créer et qui sera placée sous la tutelle de l'MDN ,aura comme mission la conception ,fabrication et comercialisation des systèmes de vidéosurveillance

                                Envoyé par Juba2000
                                Sécurité: L'armée investit la vidéosurveillance
                                par Djamel Belaïfa
                                Dans le cadre des dispositions prises par les pouvoirs publics pour la protection du patrimoine public et pour la sécurité des personnes qui lui sont liées, il a été procédé, par décret présidentiel, à la création de l'EPIC ERCV, un établissement chargé de la réalisation de systèmes de vidéosurveillance relevant du secteur économique de l'Armée nationale populaire. Le décret présidentiel 09-337 du 21 octobre 2009, portant la création de cette EPIC, vient d'être publié sur le Journal officiel. Créé conformément aux statuts types des établissements publics à caractère industriel et commercial, cette EPIC, dotée de la personnalité morale et de l'autonomie financière, est placée sous la tutelle du ministère de la Défense nationale. Cet établissement, qui a à charge la réalisation de systèmes de vidéosurveillance sur l'ensemble du territoire national, assure la conception, le développement et l'installation ainsi que le service-après-vente liés à ces systèmes. Il aura aussi pour mission de veiller aux formations qualifiantes et les mises à niveau au profit des secteurs utilisateurs. Par ailleurs et à la faveur de ce décret présidentiel, l'établissement évalue, pour le compte des pouvoirs publics, les dispositifs de vidéosurveillance déployés par les opérateurs publics et privés dans l'espace public urbain. Il contribue, par son expertise, à l'adaptation de la réglementation encadrant cette activité.
                                L'EPIC assure en outre, pour les pouvoirs publics, l'expertise et la réalisation des systèmes de vidéosurveillance au niveau des sièges des institution, des sites et points sensibles. Il mène toute action visant l'intégration des systèmes déployés par les opérateurs publics et privés dans le dispositif global de vidéosurveillance des espaces publics.
                                L'EPIC ERCV est gérée par un conseil d'administration, présidé par le ministre de la Défense ou son représentant. Un conseil composé des membres représentant l'état-major de l'ANP, le département du renseignement et de la sécurité, le commandement de la Gendarmerie nationale, la Direction des fabrications militaires, la Direction des services financiers, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, le ministère chargé des Finances, le ministère des Technologies de l'information et de la communication et la direction de la Sûreté nationale. Les membres représentant les départements ministériels et les structures précités sont désignés parmi les personnels ayant le rang minimum de sous-directeur de l'administration centrale ou d'un poste équivalent. La protection physique de l'établissement et de ses démembrements est assurée par les moyens du ministère de la Défense nationale.
                                Il est à souligner que le siège de l'établissement est fixé à Alger, mais il peut être transféré en tout autre lieu du territoire national par arrêté du ministère de la Défense. Dans le cadre de ses missions, l'établissement peut créer toute filiale, prendre des participations dans des sociétés et établir tout accord de partenariat. Il peut aussi créer des unités conformément à la réglementation en vigueur.
                                Le patrimoine d'affectation initiale de cette EPIC est constitué d'une subvention de démarrage ainsi que de biens et immeubles qui lui sont affectés par arrêté du ministre de la Défense nationale.
                                http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5129112
                                ca se met en place, l'embargo des annees 90 commence a produire ses effets benefiques
                                on compte sur nos ingenieurs, sur nos competences il etait temps !!!!

                                Envoyé par yak
                                Le développement des technologies électroniques constitue une priorité pour l’entreprise qui se spécialise dans la fabrication de téléviseurs, de produits audio et de matériel informatique.
                                Après l’échec du projet de partenariat avec la firme coréenne LG, l’ENIE est-elle toujours en mesure de faire face à des concurrents nationaux et étrangers présents plus que jamais sur le marché algérien ? Le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, en visite de travail jeudi à Sidi Bel Abbès, a avancé l’idée d’un partenariat avec une firme chinoise pour consolider la position de l’ENIE sur le segment très concurrentiel de l’électronique grand public, en particulier celui des téléviseurs. « L’ENIE peut prétendre à rester un pôle électronique important, au vu des nouvelles dispositions financières prises par l’Etat pour l’assainissement des entreprises publiques. Le projet de partenariat avec les Chinois vise justement à développer des équipements bénéficiant d’une technologie de pointe », a-t-il déclaré au siège de l’entreprise. M. Temmar, qui n’a donné aucun détail sur ce futur partenariat avec les Chinois, a conditionné sa réussite par la mise à niveau technologique de l’ENIE.
                                « Le développement des technologies électroniques constitue une priorité pour l’entreprise », a-t-il indiqué, précisant que la région de Sidi Bel Abbès dispose « de grands atouts devant lui permettre de s’ériger en pôle national de l’industrie électronique ». Un pôle industriel qui, dit-il, englobera d’autres sociétés privées et publiques du secteur, mais également l’usine de fabrication de matériel militaire, laquelle est en voie de finalisation au niveau de l’ex-unité des sous-ensembles électroniques, dans l’enceinte du complexe électronique. Il s’agit, en fait, d’un Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) relevant du secteur économique de l’ANP. Il assurera la conception, la fabrication et la commercialisation de matériel électronique et de transmission militaire.
                                S’agissant des dispositions gouvernementales portant sur l’effacement des dettes de l’ENIE (1500 milliards de centimes) et la mise en pratique d’un plan d‘investissement de 500 milliards de centimes, M. Temmar a affirmé que « le processus d’assainissement de l’entreprise a été enclenché en 2009 et devrait s’achever avant la fin de l’année 2010 ». Sur un autre chapitre, le ministre est resté évasif concernant le projet ENIE-Solar qui prévoit la construction de panneaux photovoltaïques et la reconversion de l’unité semi-conducteurs en une unité de fabrication de solutions solaires.
                                « Nous sommes en négociation avec Sonelgaz pour la création d’une joint-venture avec l’ENIE dans le domaine de l’énergie solaire », a-t-il dit. Pour rappel, un contrat de partenariat a été conclu en 2008 entre l’ENIE et la société espagnole Isofoton pour la fabrication de panneaux photovoltaïques. Sauf que, depuis, seuls quelques échantillons de lampadaires solaires ont été produits alors que le contrat en question prévoyait la commercialisation à grande échelle de solutions solaires à partir de 2009. Pour le seul marché national, les besoins en panneaux photovoltaïques se situent aux environs de 100 Mwc pour les cinq années à venir, selon des ingénieurs d’ENIE-Solar.
                                Un nouveau DG à l’ENIE
                                M. Dadou est le nouveau directeur général par intérim de l’Entreprise nationale des industries électroniques (ENIE) en remplacement de M. Sahouli. Il a été installé dans ses nouvelles fonctions, en avril dernier, par le conseil d’administration de l’entreprise. L’ENIE a, en quatre années, « consommé » trois directeurs généraux.
                                30% de parts de marché
                                L’ENIE, créée en 1982 suite à la dissolution de l’ex-Sonelec, est située dans la zone industrielle de Sidi Bel Abbès. « L’entreprise est née de la volonté d’offrir une marque algérienne en se basant sur une connaissance approfondie des produits électroniques », souligne M. Yahiaoui, cadre dirigeant de l’ENIE. La fabrication et le montage des produits électroniques sont, ajoute-t-il, les activités principales de l’entreprise afin d’offrir le choix d’une gamme variée de téléviseurs CRT, de LCD, de produits audio, de solutions photovoltaïques et de matériel informatique de sa filiale Alfatron basée Hassi Ameur (Oran). En plus de ses unités de fabrication, l’entreprise est dotée de quatre unités commerciales (Sidi Bel Abbès, Blida, Sétif et Laghouat), de 42 points de vente et d’un réseau secondaire qui compte 500 revendeurs.
                                A travers son réseau de service après-vente couplé aux points de vente répartis à travers le territoire national, l’ENIE arrive, malgré une concurrence des plus déloyales, à se maintenir sur le marché de l’électronique grand public. Longtemps leader dans ce domaine, l’ex-Sonelec a réussi à se positionner sur le marché algérien avec une part de marché avoisinant les 30% en 2009, selon M. Yahiaoui. Employant actuellement quelque 2000 agents et cadres dans ses différents domaines d’activité, l’entreprise ambitionne de se maintenir parmi les grands fabricants en Algérie pour un marché national qui avoisine 1 000 000 TVC/an
                                Par M. Abdelkrim
                                El-Watan

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