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Le Maroc compte parmi les pays d'Afrique qui misent plus sur l'enseignement supérieur

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  • #76
    "niveau illestrisme coté algerien c'est mieux, ne dit pas non !!!"

    non je ne dis pas non, mais concernanat le Maroc c est au meme niveau si ce n est pas un peu mieux surtout depuis ces derniéres années, avec les compagne de la lutte contre l analphabetisme fiancé par l UNISCO

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    • #77
      algerie 25% et encore ca date de 2 ans...
      maroc 32 ou 36% d'illettrés.

      mais je reconnais les efforts fournis dernierement bravo.

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      • #78
        SAMARK
        algerie 25% et encore ca date de 2 ans...
        maroc 32 ou 36% d'illettrés.
        ________________________

        Si le Maroc aurait suivi le chemin de l'Algérie dans le passé on sera aujourdhui a 80% des illettrés pas a 32%, imagine un peu que le systéme algérien régne sur le Maroc mais sans sonathrach..!!! Un couchemar.

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        • #79
          ce taux élevé au maroc d'analphabête est surtout dû a sa grande population vivant a la campagne, mais avec nouveaux emploi crée en villes la tendance s'inverse. de plus il y a beaucoups de construction d'écoles dans les campagnes ces dernieres années.

          l'un des problème de ce taux élevé est en fait une cause de la pensée de Hassan II allah y rahmou qui disait qu'un peuple inculte est un peuple soumis... (en voulant proteger son trône contre coups d'états).

          mais depuis les attentats terroriste a casablanca, on s'est aperçu que justement cette jeunesses n'ayant aucune éducation (académique) pourrait être sujet a de nombreux maux pour la société.

          je crois qu'avec la venue d'innombrables emplois a forte valeur ajoutée, l'état n'a plus le choix que d'offrir un système d'éducation de qualité.
          le chemain est encore long mais confiant pour l'avenir.

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          • #80
            Combien ? juste pour voir si cette raison peut tenir la route .

            Maroc département de la Formation Professionnelle

            Effectifs des stagiaires ( Tous mode de formation 2008/2009)


            Total général = 282199 (Dont 42% des filles)


            Dont Formation résidentielle = 215 676


            Dont Formation alternée = 35 931


            Dont Formation par
            apprentissage = 30 592


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            • #81
              cabomoro ne dit pas nimp, a l'independance on etaient a égalité.sans oublier que le maroc a été independant 6 ans avant l'algerie.
              et en 2010 l'algerie a 10% de moins d'illetrés.
              alors oui il aurait fallu faire comme l'algerie et non comme le niger ou tchad.

              pourquoi tout ce qui est fait par l'algerie est mal a vos yeux ?

              nous quand le maroc fait bien, on salue.

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              • #82
                Le taux d’analphabétisme au Maroc en 2009 est 32%

                Source : Rapport 2009 de la direction de l’alphabétisation du ministère de l’éducation nationale, in le journal LE SOIR du 13/01/10, page 8
                Pipo !!!

                Le taux d'analphabétisme, tel sue définit par l'UNESCO, est à mesurer dans les populations de 15 ans et plus.

                Le Maroc le calcule dans la tranche de 10 ans et plus (histoire de diluer avec quelques millions d'écoliers). Donc, retour à la case départ : 47,8% d'analphabètes est le dernier chiffre crédible en attendant que l'UNESCO publie ses prochaines statistiques.

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                • #83
                  Envoyé par samarkand
                  cabomoro ne dit pas nimp, a l'independance on etaient a égalité.sans oublier que le maroc a été independant 6 ans avant l'algerie.
                  et en 2010 l'algerie a 10% de moins d'illetrés.
                  alors oui il aurait fallu faire comme l'algerie et non comme le niger ou tchad.

                  pourquoi tout ce qui est fait par l'algerie est mal a vos yeux ?

                  nous quand le maroc fait bien, on salue.
                  Sauf que .. la France en partant du Maroc avait formé en tout 500 bachelier (en 44 ans de colonisation). Et surtout un taux d'illettrisme dépassant largement les 90%.

                  Quid de l'Algérie?

                  Commentaire


                  • #84
                    Quid de l'Algérie?
                    un taux d'analphabétisme pas loin de 90% en 1962.
                    .


                    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                    Commentaire


                    • #85
                      pourquoi, a chaque fois qu'il ya un sujet qui conserne les deux pays , vous commencez a faire des comparaisons , pourtant , tou le monde sait que les deux pays , vivent dans la m.rde.

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                      • #86
                        Le Maroc compte parmi les pays d'Afrique qui misent plus sur l'enseignement supérieur
                        pfff !! et l'enseignement de base on en fait quoi ???
                        que le pays s'occupe d'abord de le moderniser et de l'améliorer avant de parler d'enseignement supérieur !!
                        des élèves qui étudient dans des conditions lamentables , surtout dans le milieu rural ! certains sont obligé de marcher des kilomètre et des kilomètre pour arriver dans une classe où les élèves sont entassé les uns sur les autres comme des sardines !!

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                        • #87
                          jawzia a raison, je me disai bien comment le maroc est passé de 50% a 32% en si peu de temps......j'avais dit bravo mais la non ca a peu évolué et c'est ce qui classe le maroc d'ailleurs au niveau du gabon dans le devellopement humain.

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                          • #88
                            Formation professionnelle: Un million de stagiaires en 2015

                            · Si le financement ne suit pas, le dispositif pourrait se fissurer


                            · 42% du budget financés par la TFP versée par les entreprises


                            · Quatre candidatures pour une place disponible




                            Le Comité de gestion de l’Office de la formation professionnelle (Ofppt) s’est tenu jeudi 1er juillet pour préparer le conseil d’administration prévu le 13 juillet. Ce conseil sera sans doute décisif, car il interviendra quelques semaines avant un tournant du dispositif de la formation professionnelle piloté par l’Ofppt, la conclusion du contrat-programme. Avec des objectifs toujours plus hauts (1 million de jeunes à former d’ici 2015), c’est toute la structure du système qui devrait être reconfigurée. Et avec elle, de nouvelles ressources financières, sans lesquelles il sera difficile de tenir la pression qui s’exerce sur le réseau de l’Ofppt. En 2009/2010, 210.000 jeunes sortiront des centres et instituts de la formation professionnelle.

                            Et d’ici cinq ans, ce chiffre sera multiplié par 5 afin de répondre à la demande des activités portées dans les plans sectoriels lancés par le gouvernement.
                            Comme tous les ans après les résultats du bac, les guichets de l’Ofppt sont actuellement pris d’assaut. Pour une place offerte, il y a quatre candidatures. De plus en plus de jeunes optent pour une formation métier afin d’accroître leur potentiel d’employabilité sur le marché. Le chômage des diplômés a en effet considérablement modifié l’image de la formation professionnelle. Fini donc le temps où les instituts Ofppt étaient considérés comme des roues de secours, où l’on se dirigeait par défaut. Au contraire, parmi les jeunes qui s’inscrivent dans les instituts de l’Ofppt, beaucoup ont décroché leur bac avec mention.

                            Comment est donc financé ce dispositif qui ressemble de plus en plus à un «système universitaire bis»?
                            Trois sources principales: les recettes de la taxe de formation professionnelle (TFP) à hauteur de 42%, les «fonds propres» (prestations commerciales) de l’Ofppt qui couvrent près d’un tiers du budget (34%) et la subvention de l’Etat.

                            Dans ce paquet, figure la partie des fonds dédiés aux contrats spéciaux de formation (CSF) non consommés dans l’année. Cette affectation décidée à l’époque par décret était passée inaperçue. Elle fait toujours jaser les chefs d’entreprises qui n’ont jamais compris le silence du patronat.
                            Comme tous les ans, l’«événement» dans le réseau de l’Ofppt est le concours général qui oppose les stagiaires aux concurrents des établissements privés.

                            Grand chelem au concours général

                            Pour cette 22e édition, 250 stagiaires étaient en compétition. Sur les 14 programmes en compétition, l’Ofppt concourait dans 11 filières. Pour la première fois, ce concours, qui est aussi un des moments forts de l’année scolaire, avait un air maghrébin avec les participations tunisienne et algérienne. Grâce à ses colossaux moyens et, aussi, à la qualité de son expertise, quoi qu’en disent ses détracteurs, l’Office apparaissait comme un ogre. Résultat, une véritable razzia sur les prix mis en compétition. Toutes filières confondues, 36 des 39 prix en jeu ont été décrochés par ses stagiaires. Fait exceptionnel, la totalité des plus hautes marches du podium ont été occupées par des jeunes issus des centres Ofppt.

                            Cette domination touche indifféremment les branches les plus «porteuses» sur le marché: automatisme, génie mécanique, automobile, froid et climatisation, BTP, TIC, modélisme et art culinaire. Dans certains cas, comme au concours de chocolaterie sponsorisé par Aiguebelle, les jeunes de l’Institut spécialisé en hôtellerie-restauration de Polo à Casablanca ont réalisé le grand chelem en remportant les 8 prix en compétition.

                            Pour l’Ofppt, le large succès de ses stagiaires à ce concours est une formidable vitrine de marketing de son dispositif de formation. Mais aussi une preuve de la qualité de la formation dispensée dans nos établissements, complète le directeur général, Larbi Bencheikh. L’implication plus importante des professionnels dans l’ingénierie pédagogique a débouché sur des résultats spectaculaires. Dans l’aéronautique par exemple, trois techniciens sur quatre qui travaillent chez les sous-traitants sont des lauréats des instituts de l’Ofppt. Même proportion dans l’offshoring qui puise largement dans le vivier de ces instituts.

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                            • #89
                              ça c est un article qui à été acheté par le makhzen sorti en mm temps que le rapport de l unicef sur l éducation qu maroc il y a 3 jours.

                              300 pages de honte vous l avez lu?
                              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                              • #90
                                ça c est un article qui à été acheté par le makhzen sorti en mm temps .......

                                Oui j'ai le rapport de l'UNICEF sur l éducation au Maroc .

                                Les chiffres sont connus de tous et il y a pas de honte qui tient (des progrès dans chaque domaine)


                                L'article Publié dans : http://www.leconomiste.com/article.html?a=101496

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