C'est vrai que c'est un systeme qui assainit largement le systeme et qui limite les risque de derives. La finance islamiques arrive petit à petit, mais le fait qu'elle soit monopolisé par le golfes et que l'environnement financier est encadré au maghreb, leur implantation est difficile. Il faudra attendre des reformes institutionnelle pour que des operateurs se lancent là dedans. La France à egalement ouvert ses portes à la finance islamiques dernierement.
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L'Espagne fait replonger les marchés
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En effet, j'espère en tout cas que les Maghrébins verront l'avantage là dedans d'autant plus que c'est notre religion.
Oui j'ai vu ça en France mais c'est très timide, de plus dans le contexte actuel d'islamophobie cela a un peu ralenti. Mais pourquoi pas une banque islamique en France pour les musulmans?
Au Royaume-Uni, le système est très bien implanté.Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
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T'en fait pas que pour le pognon, il n'y aura plus d'islamophobie, ni plus rien du tout, on ne parlera plus de laicité a leur sujet.
La finance islamique pese 800 milliards d'euros et est en croissance à 2 chiffres, donc la France ne se genera pas pour chercher à capter une partie de ces 800 milliards.
Donc elle contiuera a cracher sur les musulmans comme d'hab, mais si ces meme musulmans lui rapportent du benef, elle fera pas la difficile."Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary
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la Grèce sauvée in extremis de la faillite par ses partenaires européens
La Grèce s'est trouvé en grande difficulté parce qu'elle n'arrivait pas à rembourser une dette arrivée à échéance. Ce fût le début d'une spirale alimentée par des spéculateurs qui ont "joué" l'effondrement de la grèce. Les "partenaires" ont, pour tout plan de sauvetage, trouvé la géniale idée de faire des emprunts à 1.5% d'interet auprès de la banque centrale européenne pour les RE-prêter à la Grèce à un taux de 5%.
En somme, ils se font des bénéfices sur le dos du "malade".
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La Grèce s'est trouvé en grande difficulté parce qu'elle n'arrivait pas à rembourser une dette arrivée à échéance. Ce fût le début d'une spirale alimentée par des spéculateurs qui ont "joué" l'effondrement de la grèce. Les "partenaires" ont, pour tout plan de sauvetage, trouvé la géniale idée de faire des emprunts à 1.5% d'interet auprès de la banque centrale européenne pour les RE-prêter à la Grèce à un taux de 5%.
En somme, ils se font des bénéfices sur le dos du "malade".Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself
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