Une importante cargaison de drapeaux de l’emblème national «Made in China» a été refoulée, la semaine écoulée, du port d’Oran, a-t-on appris de source portuaire digne de foi.
La marchandise containerisée, plusieurs milliers de drapeaux de l’emblème national, importée par un importateur algérien qui aurait passé une commande auprès d’un fabriquant chinois grâce à procédé classique de «copier coller», pour ainsi dire, d’un poids total de quelque 22 tonnes, a été à son arrivée au port d’Oran frappée de refus d’admission à la faveur d’un contrôle mené par l’équipe d’inspecteurs de la Direction de la concurrence et des prix (DCP) détachés au niveau de ce port.
En effet, il s’est avéré, précise-t-on de même source, que l’opérateur en question n’avait pas d’autorisation en bonne et due forme de nature à lui permettre d’effectuer cette transaction d’importation, qui de plus, concerne un produit «très spécial», il faut bien le dire.
En outre, et pour prévenir toute éventuelle tentative d’introduire ce produit sur le territoire national via un autre port, une décision de refus formel d’introduction sur l’ensemble du territoire a été notifiée par les services concernés et le conteneur sera réexpédié vers le pays d’origine, précise-t-on de même source.
Sur un autre registre, et selon des informations livrées par la même source portuaire, une cargaison de 25 tonnes d’oranges marocaines a fait l’objet de refus d’admission au niveau du port -à l’issu d’un contrôle- mené par les mêmes services de la DCP (dans le cadre du contrôle de la qualité et de la conformité des produits réceptionnés).
Motif évoqué pour le refus de cette marchandise qui a été réexpédiée de facto : l’orange marocaine importée présentait des moisissures, ce qui représente un danger pour la santé du consommateur.
Il est à rappeler que d’autres marchandises ont fait dernièrement- l’objet d’un refus d’admission- au port d’Oran.
Lefinancier-dz
La marchandise containerisée, plusieurs milliers de drapeaux de l’emblème national, importée par un importateur algérien qui aurait passé une commande auprès d’un fabriquant chinois grâce à procédé classique de «copier coller», pour ainsi dire, d’un poids total de quelque 22 tonnes, a été à son arrivée au port d’Oran frappée de refus d’admission à la faveur d’un contrôle mené par l’équipe d’inspecteurs de la Direction de la concurrence et des prix (DCP) détachés au niveau de ce port.
En effet, il s’est avéré, précise-t-on de même source, que l’opérateur en question n’avait pas d’autorisation en bonne et due forme de nature à lui permettre d’effectuer cette transaction d’importation, qui de plus, concerne un produit «très spécial», il faut bien le dire.
En outre, et pour prévenir toute éventuelle tentative d’introduire ce produit sur le territoire national via un autre port, une décision de refus formel d’introduction sur l’ensemble du territoire a été notifiée par les services concernés et le conteneur sera réexpédié vers le pays d’origine, précise-t-on de même source.
Sur un autre registre, et selon des informations livrées par la même source portuaire, une cargaison de 25 tonnes d’oranges marocaines a fait l’objet de refus d’admission au niveau du port -à l’issu d’un contrôle- mené par les mêmes services de la DCP (dans le cadre du contrôle de la qualité et de la conformité des produits réceptionnés).
Motif évoqué pour le refus de cette marchandise qui a été réexpédiée de facto : l’orange marocaine importée présentait des moisissures, ce qui représente un danger pour la santé du consommateur.
Il est à rappeler que d’autres marchandises ont fait dernièrement- l’objet d’un refus d’admission- au port d’Oran.
Lefinancier-dz
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