Bonjour, pourquoi l'Europe et principalement la France et le benelux sont protectioniste, une hierarchie enarchique issue des plans quinquennaux gaulien, des syndicats aux idees eculees, tout cela n'a pas empecher la faillite d'entreprises publique rattrapaient de justesse par le contribuable.
COMMENTANT les réactions hostiles de la France et du Luxembourg à l'offre lancée par le groupe Mittal sur Arcelor, le ministre britannique du Commerce et de l'Industrie a dénoncé avec virulence mercredi soir, devant un parterre d'hommes d'affaires, le protectionnisme qui règne «parmi nos plus proches voisins européens». Un genre que les Britanniques ne pratiquent pas.
L'an dernier, leurs entreprises ont encore constitué des cibles de choix pour les investisseurs étrangers. Parmi elles, l'opérateur de téléphonie mobile 02 a été avalé par l'espagnol Telefonica pour 26,3 milliards d'euros, la société de télécommunications et de technologie Marconi a été cédée au suédois Ericsson pour 1,7 milliard. Et actuellement, Pilkington, le plus grand fabricant de verre du pays, est sous le coup d'une OPA japonaise. Quant au géant des ports et ferries P&O, son rachat par Dubai Ports World semble plus que probable.
L'an dernier, pas moins de 717 groupes étrangers se sont, d'une manière ou d'une autre, portés acquéreurs d'entreprises britanniques, pour une valeur totale de 137 milliards d'euros. La publication récente des statistiques de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Unctad) a confirmé l'attrait du Royaume-Uni, placé en tête des investissements directs étrangers en 2005, devant les Etats-Unis, la Chine et la France. Comme ses voisins, le pays est de nouveau plongé dans la fièvre des OPA et des fusions-acquisitions qui s'est réveillée après quelques années d'accalmie.
La suite...
Industrie L'an dernier, les acquisitions d'entreprises britanniques par des groupes étrangers ont atteint l'équivalent de 137 milliards d'euros.
COMMENTANT les réactions hostiles de la France et du Luxembourg à l'offre lancée par le groupe Mittal sur Arcelor, le ministre britannique du Commerce et de l'Industrie a dénoncé avec virulence mercredi soir, devant un parterre d'hommes d'affaires, le protectionnisme qui règne «parmi nos plus proches voisins européens». Un genre que les Britanniques ne pratiquent pas.
L'an dernier, leurs entreprises ont encore constitué des cibles de choix pour les investisseurs étrangers. Parmi elles, l'opérateur de téléphonie mobile 02 a été avalé par l'espagnol Telefonica pour 26,3 milliards d'euros, la société de télécommunications et de technologie Marconi a été cédée au suédois Ericsson pour 1,7 milliard. Et actuellement, Pilkington, le plus grand fabricant de verre du pays, est sous le coup d'une OPA japonaise. Quant au géant des ports et ferries P&O, son rachat par Dubai Ports World semble plus que probable.
L'an dernier, pas moins de 717 groupes étrangers se sont, d'une manière ou d'une autre, portés acquéreurs d'entreprises britanniques, pour une valeur totale de 137 milliards d'euros. La publication récente des statistiques de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Unctad) a confirmé l'attrait du Royaume-Uni, placé en tête des investissements directs étrangers en 2005, devant les Etats-Unis, la Chine et la France. Comme ses voisins, le pays est de nouveau plongé dans la fièvre des OPA et des fusions-acquisitions qui s'est réveillée après quelques années d'accalmie.
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