La première voiture algérienne pourrait ne pas voir le jour bientôt. Aabar Investments a annoncé hier la tenue, mardi 16 février, d’une réunion de son conseil d’administration qui sera consacré en partie à son projet d’usine automobile en Algérie.
Selon nos informations, le fonds d'investissement public d'Abou Dhabi devrait annoncer le report ou le gel du projet d'investissement dans la production automobile en Algérie.
La Cause ? Les difficultés financières auxquelles sont confrontés actuellement les fonds d’investissements publics d’Abu Dhabi, dont Aabar. « Les fonds d’Abu Dhabi devront sauver Dubaï de la faillite. Ils ont besoin de mobiliser 60 milliards de dollars à court terme puis au moins 300 milliards plus tard », explique notre source. Ces mêmes fonds devront également continuer à financer les projets locaux de développement.
Un effort financier considérable à l’origine de l’abandon de nombreux projets d’investissements à l’étranger. « Même les projets de taille modeste passent à la trappe », affirme notre source.
Le 10 août 2009, Aabar Investments avait annoncé la signature d’un accord avec le gouvernement algérien dans le domaine automobile. Le projet concerne la création d'une joint venture avec cinq firmes allemandes pour produire 10.000 véhicules par an en Algérie. Initialement, la production de camions et voitures devait démarrer en 2010, selon le communiqué. Une partie des véhicules produits en Algérie devait être destinée à l’armée.
Pour sa part, Carlos Ghosn, PDG de Renault, s’est refusé dimanche à fournir une indication concernant la date de lancement du projet du constructeur en Algérie. S’exprimant à Dubaï, M. Ghosn s’est contenté de confirmer l’intérêt de son groupe pour le projet sans donner de précision sur les délais.
TSA
Selon nos informations, le fonds d'investissement public d'Abou Dhabi devrait annoncer le report ou le gel du projet d'investissement dans la production automobile en Algérie.
La Cause ? Les difficultés financières auxquelles sont confrontés actuellement les fonds d’investissements publics d’Abu Dhabi, dont Aabar. « Les fonds d’Abu Dhabi devront sauver Dubaï de la faillite. Ils ont besoin de mobiliser 60 milliards de dollars à court terme puis au moins 300 milliards plus tard », explique notre source. Ces mêmes fonds devront également continuer à financer les projets locaux de développement.
Un effort financier considérable à l’origine de l’abandon de nombreux projets d’investissements à l’étranger. « Même les projets de taille modeste passent à la trappe », affirme notre source.
Le 10 août 2009, Aabar Investments avait annoncé la signature d’un accord avec le gouvernement algérien dans le domaine automobile. Le projet concerne la création d'une joint venture avec cinq firmes allemandes pour produire 10.000 véhicules par an en Algérie. Initialement, la production de camions et voitures devait démarrer en 2010, selon le communiqué. Une partie des véhicules produits en Algérie devait être destinée à l’armée.
Pour sa part, Carlos Ghosn, PDG de Renault, s’est refusé dimanche à fournir une indication concernant la date de lancement du projet du constructeur en Algérie. S’exprimant à Dubaï, M. Ghosn s’est contenté de confirmer l’intérêt de son groupe pour le projet sans donner de précision sur les délais.
TSA
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