Prochain accord entre l’ADIF et l’ANESRIF
Le volet économique a pris une place de choix lors de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en Espagne. Sur les 37 points contenus dans la déclaration commune ayant sanctionné les entretiens entre les deux délégations, 10 sont d’ordre économique.
L’Espagne et l’Algérie ont la même perception de la crise économique et financière mondiale et la considère «comme une opportunité d’affiner et de compléter les processus d’adaptation, de dynamisation et de modernisation de leurs économies respectives (…) et de créer des opportunités pour la création d’emplois et les investissements», est-il écrit dans la déclaration.
Les deux parties ont également souligné l’importance des relations entre l’Algérie et l’Union européenne et s’engagent «à travailler en étroite collaboration pour la résolution des différends existants» au sein de l’accord d’association signé entre les deux parties en 2002.
Se réjouissant, par ailleurs, de la récente finalisation et de la mise en service prochaine du gazoduc sous-marin Medgaz, les deux parties «veulent développer les projets de futures connexions (…) notamment les interconnexions électriques dans le contexte de la mise en œuvre du plan solaire méditerranéen», poursuit la même source qui a ajouté que les deux pays «poursuivront leurs efforts pour la concrétisation d’un partenariat stratégique en matière d’énergie entre l’Algérie et l’Union européenne».
Les deux délégations relèvent, en outre, que «l’Espagne est devenue l’un des investisseurs de référence en Algérie et souhaitent stimuler davantage les investissements espagnols dans des secteurs moteurs de développement en Algérie».
Ainsi, «l’Espagne et l’Algérie conviennent de promouvoir la coopération dans les domaines de l’hydraulique et de l’agriculture, notamment en matière de rationalisation productive et de système d’irrigation» et ont exprimé leur souhait de voir les entreprises espagnoles participer et s’impliquer «dans le vaste programme national algérien d’équipements publics 2010-2014».
Dans le domaine de l’énergie, les parties ont exprimé leur satisfaction pour la récente finalisation de l’arbitrage de Gassi Touil et «réaffirment leur décision de dépasser les obstacles qui peuvent entraver les relations énergétiques».
Enfin, dans le domaine des chemins de fer, «les deux parties vont conclure prochainement un accord» entre l’espagnol ADIF (Administrator de Infraestructuras Ferroviarias) et l’algérienne ANESRIF (Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires).
Le Jeune Indépendant
Le volet économique a pris une place de choix lors de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en Espagne. Sur les 37 points contenus dans la déclaration commune ayant sanctionné les entretiens entre les deux délégations, 10 sont d’ordre économique.
L’Espagne et l’Algérie ont la même perception de la crise économique et financière mondiale et la considère «comme une opportunité d’affiner et de compléter les processus d’adaptation, de dynamisation et de modernisation de leurs économies respectives (…) et de créer des opportunités pour la création d’emplois et les investissements», est-il écrit dans la déclaration.
Les deux parties ont également souligné l’importance des relations entre l’Algérie et l’Union européenne et s’engagent «à travailler en étroite collaboration pour la résolution des différends existants» au sein de l’accord d’association signé entre les deux parties en 2002.
Se réjouissant, par ailleurs, de la récente finalisation et de la mise en service prochaine du gazoduc sous-marin Medgaz, les deux parties «veulent développer les projets de futures connexions (…) notamment les interconnexions électriques dans le contexte de la mise en œuvre du plan solaire méditerranéen», poursuit la même source qui a ajouté que les deux pays «poursuivront leurs efforts pour la concrétisation d’un partenariat stratégique en matière d’énergie entre l’Algérie et l’Union européenne».
Les deux délégations relèvent, en outre, que «l’Espagne est devenue l’un des investisseurs de référence en Algérie et souhaitent stimuler davantage les investissements espagnols dans des secteurs moteurs de développement en Algérie».
Ainsi, «l’Espagne et l’Algérie conviennent de promouvoir la coopération dans les domaines de l’hydraulique et de l’agriculture, notamment en matière de rationalisation productive et de système d’irrigation» et ont exprimé leur souhait de voir les entreprises espagnoles participer et s’impliquer «dans le vaste programme national algérien d’équipements publics 2010-2014».
Dans le domaine de l’énergie, les parties ont exprimé leur satisfaction pour la récente finalisation de l’arbitrage de Gassi Touil et «réaffirment leur décision de dépasser les obstacles qui peuvent entraver les relations énergétiques».
Enfin, dans le domaine des chemins de fer, «les deux parties vont conclure prochainement un accord» entre l’espagnol ADIF (Administrator de Infraestructuras Ferroviarias) et l’algérienne ANESRIF (Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires).
Le Jeune Indépendant
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