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Des groupes sud-coréens, chinois et émirati ont remporté des contrats d'une valeur totale de 9,7 milliards de dollars afin de développer et mettre en valeur les immenses réserves de gaz du Turkménistan, apprend-on de sources gouvernementales.
Cette décision illustre la volonté du pays de diversifier son industrie énergétique et de se libérer de l'emprise du puissant voisin russe, partenaire économique traditionnel depuis l'ère soviétique.
Ces sociétés internationales seront chargées de construire des infrastructures susceptibles d'exploiter les réserves de Iolotan-sud, qui abriterait l'un des cinq plus importants gisements mondiaux de gaz naturel.
L'année dernière, le cabinet britannique Gaffney, Cline and Associates avait évalué ces réserves entre 4.000 et 14.000 milliards de mètres cubes.
Les sources gouvernementales ont précisé que les lauréats de l'appel d'offres étaient le groupe gazier public chinois CNPC, les sud-coréens LG International et Hyundai Engineering ainsi que l'émirati Petrofac Emirates.
Le Turkménistan s'attend à ce que les réserves de Iolotan-sud produisent jusqu'à 30 milliards de mètres cubes de gaz par an.
"CNPC a l'obligation de produire jusqu'à 10 milliards de mètres cubes de gaz par an et en conservera 3,13 milliards", a déclaré une des sources.
Sans donner davantage de précisions, cette source a expliqué que Petrofac Emirates avait remporté un contrat d'une valeur de 3,98 milliards de dollars.
Quant à LG International et Hyundai Engineering, ils avaient annoncé plus tôt qu'ils avaient remporté une commande portant sur la construction d'infrastructures gazières à Iolotan-sud d'ici le troisième trimestre 2012.
Marat Gurt, version française Nicolas Delame
Reuters
Cette décision illustre la volonté du pays de diversifier son industrie énergétique et de se libérer de l'emprise du puissant voisin russe, partenaire économique traditionnel depuis l'ère soviétique.
Ces sociétés internationales seront chargées de construire des infrastructures susceptibles d'exploiter les réserves de Iolotan-sud, qui abriterait l'un des cinq plus importants gisements mondiaux de gaz naturel.
L'année dernière, le cabinet britannique Gaffney, Cline and Associates avait évalué ces réserves entre 4.000 et 14.000 milliards de mètres cubes.
Les sources gouvernementales ont précisé que les lauréats de l'appel d'offres étaient le groupe gazier public chinois CNPC, les sud-coréens LG International et Hyundai Engineering ainsi que l'émirati Petrofac Emirates.
Le Turkménistan s'attend à ce que les réserves de Iolotan-sud produisent jusqu'à 30 milliards de mètres cubes de gaz par an.
"CNPC a l'obligation de produire jusqu'à 10 milliards de mètres cubes de gaz par an et en conservera 3,13 milliards", a déclaré une des sources.
Sans donner davantage de précisions, cette source a expliqué que Petrofac Emirates avait remporté un contrat d'une valeur de 3,98 milliards de dollars.
Quant à LG International et Hyundai Engineering, ils avaient annoncé plus tôt qu'ils avaient remporté une commande portant sur la construction d'infrastructures gazières à Iolotan-sud d'ici le troisième trimestre 2012.
Marat Gurt, version française Nicolas Delame
Reuters