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Pour Orascom Telecom, l’avenir s’annonce incertain en Algérie

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  • Pour Orascom Telecom, l’avenir s’annonce incertain en Algérie

    Près de 600 millions de dollars de redressement fiscal, des appels au boycottage qui se multiplient, des désabonnements de clients - le groupe ETRHB Haddad a annoncé avoir résilié ses contrats avec Djezzy - et, pour clore le tout, une communication chaotique de la maison mère depuis le Caire. Depuis quelques jours, Djezzy, la filiale algérienne d’Orascom Telecom, est au cœur d’une tempête qui risque de compromettre sérieusement son avenir.
    Orascom Telecom a aggravé le cas de sa filiale algérienne en choisissant de communiquer sur le redressement fiscal dont elle fait l’objet, avant de puiser les autres voies de recours disponibles. A la Direction générale des Impôts (DGI), l’annonce, mercredi matin, jour du match explosif Algérie-Egypte, par Orascom Telecom, de la notification du redressement fiscal envoyée à sa filiale algérienne, a été vécue comme une attaque. Pour les Algériens, Orascom Telecom a cherché à mettre de l’huile sur le feu dans un contexte de fortes tensions entre Alger et le Caire, en faisant croire que le redressement fiscal est une décision politique.
    « Nous avons constaté de nombreuses irrégularités dans les comptes d’Orascom Telecom Algérie. Le redressement a commencé le 4 juin, bien avant le premier match entre l’Algérie et l’Egypte et les arguments qui ont motivé le redressement sont tous valides techniquement », explique une source proche de la DGI. Cette dernière reconnaît toutefois que la décision de redressement, décidée en « haut lieu », pourrait être liée à l’opération Orascom-Lafarge dans le ciment. Mais en aucun cas au match de football.
    Mais Orascom a choisi de politiser l’affaire. Une décision jugée maladroite par les spécialistes. « On ne communique pas sur une notification de redressement. Il s’agit d’un premier envoi qui dit en gros ceci : les Impôts vous proposent de vous redresser. Le montant n’est pas définitif. Dans la quasi-totalité des cas, les entreprises concernées par un redressement, en engageant de bons fiscalistes, parviennent à faire baisser la note », explique un fiscaliste interrogé par TSA. « Les Impôts n’aiment pas le tapage médiatique. Aujourd’hui, même si Djezzy introduit un recours valable, il est peu probable que le chiffre soit revu à la baisse, surtout dans le contexte actuel de pressions égyptiennes sur l’Algérie. Les Impôts ne vont pas se déjuger dans cette affaire. Bien au contraire, la note pourrait grimper », poursuit le fiscaliste.
    Dans les prochains jours, la DGI adressera à Djezzy un avis de redressement. Selon la loi algérienne, l’opérateur devra payer 20% du montant, soit près 120 millions de dollars, dans un délai d’un mois, avant d’engager un éventuel recours. En cas d’un refus de paiement de cette première partie, les Impôts pourront bloquer les comptes bancaires de Djezzy et se servir directement.
    Au-delà des aspects techniques, ce redressement va peser sur la rentabilité de l’opérateur mobile. « Djezzy doit garder le même niveau de rentabilité de ces deux dernières années pour pouvoir faire face à la situation. Sans compter l’impact sur les finances de sa maison mère qui se voit privée de sa principale source en cash », explique un économiste. Plus de 80% du cash d’Orascom Telecom provient en effet d’Algérie. L’annonce du redressement a d’ailleurs affolé les investisseurs et le titre Orascom Telecom a subi de très forts dégagements en bourse cette semaine.
    Dans ce contexte, Djezzy suscite de nouveau l’intérêt d’opérateurs étrangers, notamment du français Vivendi. Ce dernier pourrait s’allier avec des opérateurs algériens et se contenter de 49% dans le capital de l’opérateur mobile. Dans un contexte de blocage diplomatique entre Alger et le Caire, les manœuvres autour de Djezzy pourraient s’accélérer dans les prochains jours.

    T-S-A
    Dernière modification par taurus, 25 novembre 2009, 12h03.
    PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

  • #2
    Pour vilolations de lois algériennes régissant la compétition à savoir que la part du marché ne doit pas dépassé les 45 % du total; en fait ce secteur n'est pas pas sujet aux lois du libre marché, la license est requise et emise par ARTP. Il y aurait violations des loi de l'emploi quant aux grades que les algériens n'y accèdent pas, seulement les ressortissants étrangers. La preuve la Canada lui refuse cette license, la Syrie, elle aussi a rejeté sa demamde.

    Enfin, pourquoi est-elle refusé de publicité sur tous les média si certains maintiennent qu'elle soit de droit algerienLe Gvt n'est pas dupe, il sait tès bien qui est derrière et dans les arcanes de cette entreprise pour le moins maffieuse.

    Quel doit-être le montant en devises transféré vers l'étranger qui sert aussi a acheter des dinars à un moindre prix sur le marché parrallèle et qui ne devrait pas existé chez nous, nous qui menons une lutte contre le terrorisme.
    Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

    J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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    • #3
      Près de 600 millions de dollars de redressement fiscal

      600 millions de $. Ils ont vraiment ennerve Boutef grave Bravo, continue comme ca ya siyed errais !!!

      J'espere de tout coeur que Orascom sera pousse a la sortie et que Djezzy sera rachete en Algerie pour des broutilles par un concurrent.

      ∑ (1/i²) = π²/6
      i=1

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      • #4
        Elle comptait sur l'appui des média algériens qui, de par la passé, se sont toujours alliées avec elle. Elle les soudoyait avec les pages entières de pub, et personne n'osait la remettre en cause. Elle avait des problèmes avec l'ARTP et cette fois-là, la presse s'en était pris à elle en prédendant qu'elle défendait les consommateurs algériens; alors que Djezzy menaçait les deux autres opérateurs de leur existence ce qui menerait à un monopoly où seule pouvait faire ce que bon lui semble. Honte à ses journalistes qui ne ratent jamais de critiquer le gvt, mais dans cas-là se sont abstenu et choisiront de laisser faire une compagnie installé dans notre pays et qui a pour seul but que de transferer nos richesses vers l'Etranger, les richesses de nos petit fils et petites filles!
        Dernière modification par djamal 2008, 25 novembre 2009, 13h22.
        Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

        J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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        • #5
          ce n'est plus un devoir mais une obligation pour tous algerien de boycotté djezzy
          lorsqu'on vous parle de boycotter des entreprises qui finances des guerres contre les musulmans vous faites la sourde oreille, et maintenant vous nous parler de boycotter Djezzy .
          "L'habit ne fait pas le moine", certes... mais... "si tu cherche un moine, cherche-le parmi ceux qui portent l'habit"...

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          • #6
            LA SOLUTION EST ENTRE LES MAINS DES RESPONSSABLE DE MOBILIS

            A FAIRE UN CONCURRENCE ET TOUT LE MONDE IRA VERS CETTE ORGANISME OU AUTRE

            CE MESSAGE ADRESSE A TOUT LES INTERNAUTES DE CE SITE A VOUS DE TROUVER LA MEILLEUR SOLUTIONS POSSIBLE ET LEGALE; ?????????????????????

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            • #7
              Monsieur aygher l'algerie n'est pas une vache à lait qui sert à engraisser des entreprises etrangères qui escroque et n'apporte rien aux peuple algerien
              waw ça sonne bien ce "Monsieur aygher"

              dite j'ai a faire a une mademoiselle ou une madame ?
              "L'habit ne fait pas le moine", certes... mais... "si tu cherche un moine, cherche-le parmi ceux qui portent l'habit"...

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              • #8
                UN MESSIEUR mais a quoi ça sert

                je vous comprend ça dépend des région mais je n'ose pas posé une question pareil j'interprète d'aprés la phrase de la personne conçerné BIEN AMICALEMENT

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                • #9
                  Elle comptait sur l'appui des média algériens qui, de par la passé, se sont toujours alliées avec elle. Elle les soudoyait avec les pages entières de pub, et personne n'osait la remettre en cause. Elle avait des problèmes avec l'ARTP et cette fois-là, la presse s'en était pris à elle en prédendant qu'elle défendait les consommateurs algériens; alors que Djezzy menaçait les deux autres opérateurs de leur existence ce qui menerait à un monopoly où seule pouvait faire ce que bon lui semble. Honte à ses journalistes qui ne ratent jamais de critiquer le gvt, mais dans cas-là se sont abstenu et choisiront de laisser faire une compagnie installé dans notre pays et qui a pour seul but que de transferer nos richesses vers l'Etranger, les richesses de nos petit fils et petites filles!
                  3jebni le discours diyalek ! inspiré par Lénine ou Karl marx ?
                  Anakin

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                  • #10
                    Va verifier le montant de la devise transferée annuellement, primo et reviens.
                    Ca ne se passe que dans un pays corrompu comme le nôtre. La preuve, la devise se vend en plein air sans autorisation aucune et personne ne leve son petit doigt.

                    Et est surpris que le terrorisme sevisse à travers et au travers de tout lee pays.

                    Croîs-moi si on avait une volonté progrsser beaucoup de choses sont à réviser, y compris la trolérence des opinons de tous; toi tu peux ta puce Djezzy je ne mets lepistolet dans ta tempe.
                    Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                    J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                    • #11
                      orascom c fini depuis le coup de lafarge.
                      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                      • #12
                        Voici la composition du capitale d'OTA pour ceux qui ne le savent pas
                        Orascom Egypte: 49,60%
                        *Oratel international inc: 31,06
                        Moga Holding ltd: 8,24 % (holding de statut égyptien)
                        *AIG IIC : 7,91% .
                        Cevital: 3,19 %

                        Avec des participations dans CAT 50% avec Egypte Telecom (projet dont on entend plus parler, portant lancé en grandes pompes et avec une zorna qui a fait trembler le monde des telecoms jouée par nos fameux investisseurs Egyptiens).

                        Inutile de vous dire que la plupart de ces compagnies sont domiciliées à Malte, et qui dit Malte pense immédiatement à la fuite des capitaux et autres joyeuseries de ce goût.

                        Les deux derniers actionaires "maltais" sont à l'origine de la brouille entre sawiris et Rabreb de cevital qui ne dispose plus que 3,19 % au lieu 3,40%
                        Naguib Sawiris, qui aurait des problèmes y compris avec l’autorité de régulation de son propre pays, semble avoir accumulé les «maladresses», ce qui le place aujourd’hui dans une position fort inconfortable.

                        Maghreb Confidentiel, un journal électronique payant, particulièrement bien informé, a publié dans sa dernière édition, des détails inédits en ce qui concerne le conflit qui oppose Orascom Télécom Algérie (OTA) au groupe Cevital, que dirige Issaâd Rebrab. Ce dernier, est-il révélé, «reproche à Sawiris d’avoir recomposé l’actionnariat d’OTA, sans l’en avoir préalablement informé», comme le prévoit la loi en de pareil cas de figure. Ainsi, « deux nouveaux investisseurs (actionnaires) ont été introduits par Naguib Sawiris, président d’OTA. Il s’agit d’Oratel international Inc à hauteur de 31,06 % et du fonds d’investissement AIG IIC à hauteur de 7,91 %. Cela a induit automatiquement une hausse du capital social d’OTA, réduisant de facto la quote-part de Cevital. Celle-ci serait ainsi passée de 3,4 à tout juste 3,19 %. Cette pratique, dénoncée par la loi, est « usitée » dans les milieux financiers lorsque l’on cherche à « doubler» un quelconque actionnaire.

                        C’est la raison pour laquelle, comme le révélait notre journal il y a de cela quelques mois déjà, une plainte avait été déposée par le groupe Cevital contre OTA, cela devant les instances juridiques internationales. Mieux, nous croyons savoir que Cevital aurait obtenu gain de cause, forçant ainsi OTA à revenir sur ces décisions, à rétablir Issaâd Rebrab dans ses droits et à convoquer un conseil d’administration en cas demanifestation d’intérêt de la part de quelque autre groupe. Ces révélations tendent à montrer à quel point Naguib Sawiris semble tout faire en vue de se mettre en mauvais termes avec l’ensemble de ses partenaires. Ainsi, dédaignant en Algérie le « tapis rouge » qui lui avait été déployé au regard des investissements consentis, il s’est mis à fouler aux pieds la loi, avant de se faire tancer publiquement et officiellement par le président de la République en personne. A l’occasion du changement qui avait eu lieu à la tête de Djezzy, et de l’audience qu’avait accordé le ministre du secteur à Thamer Al Mahdi, l’opérateur avait été « invité » de la manière la plus claire et la plus directe qui soit à « respecter la loi ».

                        CHRONIQUE D’UNE AGONIE ANNONCÉE. Sawiris a eu beau, par la suite, démentir le fait, et déclarer que la sortie du ministre algérien ne lui était pas directement adressée, les nombreuses décisions rendues à son encontre par l’ARPT (Autorité de Régulation de la Poste et Télécommunications) et auxquelles il refuse toujours de se plier renseignent assez sur le peu de cas que Djezzy fait de la loi algérienne. Celui-ci s’était même fait convoquer par la présidente de l’ARPT une fois qu’une opération de contrôle routinière avait permis de constater que Djezzy était le seul opérateur à avoir « omis » de bloquer ses puces se trouvant sur le marché comme le lui ordonnait la loi. Nous apprenons même que des achats de puces effectués tout récemment dans des quartiers populaires comme Bab El Oued, Bab Ezzouar et Kouba auraient abouti aux
                        mêmes résultats et qu’une nouvelle saisine aurait eu lieu à ce propos à l’encontre de Djezzy. L’ancien patron de Djezzy, Hassan Kabbani, aurait été rappelé en urgence en Egypte à la suite d’une enquête déclenchée par l’IGF (Inspection Générale des Finances), laquelle aurait conclu à un transfert illégal de fonds en direction de la maisonmère de l’ordre de 2 milliards de dollars. Présentement, l’ensemble des filiales d’OTA ferait l’objet d’audits fiscaux et financiers, ce qui peut encore livrer pas mal de dépassements et de scandales, estime-t-on.

                        Naguib Sawiris, qui a réussi à s’aliéner ceux qui auraient pu lui venir en aide alors qu’il traverse une période de trouble qui risque de faire voler en éclats son groupe, aurait même effectué un discret séjour en Algérie en vue de tenter de rencontrer le président Bouteflika ainsi que le chef du Gouvernement. Mais les deux responsables auraient opposé une fin de non-recevoir à cette demande. Sawiris aurait également mis à profit ce séjour en vue de réunir le conseil d’administration de Lacom, filiale en charge de la téléphonie fixe, en vue de prononcer officiellement sa dissolution.

                        Sawiris avait violemment critiqué les autorités algériennes sous prétexte qu’elles auraient favorisé Algérie Télécom contre Lacom. Mais la vérité est toute autre puisque la saisine de l’ARPT à cette époque avait conduit cette dernière à bloquer l’ensemble des promotions de l’entreprise publique algérienne. Mais Lacom, qui cherchait à mettre les petits plats dans les grands, avait proposé des offres peu susceptibles de satisfaire une clientèle algérienne de plus en plus exigeante.

                        OTA, dans le même temps, oubliant cette affaire, continue de fouler aux pieds les décisions rendues par l’ARPT à l’encontre de Djezzy, notamment celles portant les numéros 11 et 14. Profitant de sa position d’opérateur dominant, il multiplie ainsi les opérations de dumping, cherchant à éliminer par tous les moyens, à commencer par les plus illégaux d’entre eux, ses concurrents. Orascom, pour rappel, traverse une grave crise financière puisque ses actions dans la bourse du Caire ont chuté de plus de 65 %, faisant carrément craindre l’éclatement du groupe. Or, l’aide qu’il pouvait espérer de la part de Djezzy, cette filiale qui lui a permis de jouer dans la cour des grands selon ses propres aveux, vient de s’évanouirpour les mille et une raisons citées plus haut dans le texte…
                        Au passage, les consolidations ventilées d'orascom telecom holding publiées dans leur site ont été remplacées par des documents KPMG, histoire de brouiller les pistes.

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