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Imaginez des champs de tabac blond Berkeley à perte de vue, c'est peut être ce qui va arriver dans la willaya de Bouira où Atlas Tobacco prospecte avec les agriculteurs de la région. Les offres sont très avantageuses pour les futurs producteurs car ils seront aidés, soutenus conseillés et travailleront en partenariat avec Atlas Tobacco.
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Une opération de prospection est en cours pour juger de la faisabilité du projet en partenariat avec les agriculteurs de la région. Une rencontre avec ces derniers et un représentant d’Atlas Tobacco est prévue pour le 17 de ce mois afin de débattre de ce projet et de ses retombées économiques et financières sur les futurs producteurs.
Pour susciter l’engouement des agriculteurs pour ce projet, la société Atlas Tobacco l’accompagne d’avantages intéressants. Elle accorde entre 30 000 à 900 000 DA, suivant la superficie offerte pour la culture, fournit les intrants (plantule, engrais, produits phytosanitaires), assure le suivi et l’assistance technique. Enfin, lorsque, la production sera prête, Tobacco se porte acquéreur en offrant entre 13 000 DA et 18 000 DA le quintal, suivant la qualité du produit.
Par ailleurs, la société Tobacco se propose de signer des contrats avec les pépiniéristes pour la production de plantules qui seront ensuite distribuées aux agriculteurs intéressés par la culture du tabac blond appelé Berkeley. La semence du Berkeley, qui est importée, revient, selon des sources sûres, à 10 000 dollars le kilo à la société Atlas Tobacco.
Les mêmes sources ajoutent qu’un dé à coudre de graines de tabac Berkeley peut ensemencer à peu près un hectare, que la mise en terre du plant se pratique entre avril et mai, alors que la récolte se fait en juillet. L’arrachage et le séchage demeurent à l’entière charge du producteur, selon la même source et la production achetée par Tobacco sera destinée à l’importation. Selon le calcul de ces sources un hectare peut rapporter jusqu’à 20 millions de bénéfice net au producteur. Treize agriculteurs ont souscrit déjà à ce projet auprès de la Chambre d’agriculture.
Par El Watan
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Une opération de prospection est en cours pour juger de la faisabilité du projet en partenariat avec les agriculteurs de la région. Une rencontre avec ces derniers et un représentant d’Atlas Tobacco est prévue pour le 17 de ce mois afin de débattre de ce projet et de ses retombées économiques et financières sur les futurs producteurs.
Pour susciter l’engouement des agriculteurs pour ce projet, la société Atlas Tobacco l’accompagne d’avantages intéressants. Elle accorde entre 30 000 à 900 000 DA, suivant la superficie offerte pour la culture, fournit les intrants (plantule, engrais, produits phytosanitaires), assure le suivi et l’assistance technique. Enfin, lorsque, la production sera prête, Tobacco se porte acquéreur en offrant entre 13 000 DA et 18 000 DA le quintal, suivant la qualité du produit.
Par ailleurs, la société Tobacco se propose de signer des contrats avec les pépiniéristes pour la production de plantules qui seront ensuite distribuées aux agriculteurs intéressés par la culture du tabac blond appelé Berkeley. La semence du Berkeley, qui est importée, revient, selon des sources sûres, à 10 000 dollars le kilo à la société Atlas Tobacco.
Les mêmes sources ajoutent qu’un dé à coudre de graines de tabac Berkeley peut ensemencer à peu près un hectare, que la mise en terre du plant se pratique entre avril et mai, alors que la récolte se fait en juillet. L’arrachage et le séchage demeurent à l’entière charge du producteur, selon la même source et la production achetée par Tobacco sera destinée à l’importation. Selon le calcul de ces sources un hectare peut rapporter jusqu’à 20 millions de bénéfice net au producteur. Treize agriculteurs ont souscrit déjà à ce projet auprès de la Chambre d’agriculture.
Par El Watan
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