Bonjour
Mourad Medelci, conseiller du président et ancien ministre du Commerce, sollicite une plus forte implication dans la vie économique de l’algérie de la diaspora algérienne.
Il est à noter qu’Ouyahia avait accordé une interview au " Point " soulignant le fait que 500 millions d’euros sortaient d’Algérie chaque année.
Il est vrai que la diaspora algérienne est très loin par rapport au Maroc et a la Tunisie en rapatriement de capitaux mais le gouvernement plutôt que de déplorer ce fait ne doit il pas en chercher aussi les origines de cette défection financière ?
Les réformes promises lors de sa première mandature n’ont pas été faites. La lourdeur administrative, la lenteur bureaucratique, les carences du secteur bancaire n’est elle pas un frein ? Et puis la privatisation aussi serait souhaitable, le désengagement de l'etat dans le secteur industrielle , tel que l'agro alimentaire ou le BTP comment investir dans le secteur privé alors qu'il est quasi nulle et pas aidé, pas soutenu par les banques .
Sans compter le marché informel qui lui se porte bien. Comment aller dans une banque alors qu’il est plus rentable de passer par le marché informel ? La lutte contre la fraude et la corruption à tous les niveaux ne devrait elle pas être déclaré d’utilité publique mais pour cela encore faut il aussi une justice indépendante et une volonté réelle de l’Etat, est ce vraiment le cas?
En plus, peux t'il expliquer le fait que pas moins de 75 % des ventes immobilières à Paris sont concrétisées par des Algériens et non pas par les Français? La fuite des capitaux s'opérent aussi de l'intérieur .
Comment aider l’Algérie a se développer et à sortir de cette dépendance aux hydrocarbures ?
Comment expliquez vous ce désintéressement économique de la diaspora ?
Mourad Medelci, conseiller du président et ancien ministre du Commerce, sollicite une plus forte implication dans la vie économique de l’algérie de la diaspora algérienne.
Il est à noter qu’Ouyahia avait accordé une interview au " Point " soulignant le fait que 500 millions d’euros sortaient d’Algérie chaque année.
Il est vrai que la diaspora algérienne est très loin par rapport au Maroc et a la Tunisie en rapatriement de capitaux mais le gouvernement plutôt que de déplorer ce fait ne doit il pas en chercher aussi les origines de cette défection financière ?
Les réformes promises lors de sa première mandature n’ont pas été faites. La lourdeur administrative, la lenteur bureaucratique, les carences du secteur bancaire n’est elle pas un frein ? Et puis la privatisation aussi serait souhaitable, le désengagement de l'etat dans le secteur industrielle , tel que l'agro alimentaire ou le BTP comment investir dans le secteur privé alors qu'il est quasi nulle et pas aidé, pas soutenu par les banques .
Sans compter le marché informel qui lui se porte bien. Comment aller dans une banque alors qu’il est plus rentable de passer par le marché informel ? La lutte contre la fraude et la corruption à tous les niveaux ne devrait elle pas être déclaré d’utilité publique mais pour cela encore faut il aussi une justice indépendante et une volonté réelle de l’Etat, est ce vraiment le cas?
En plus, peux t'il expliquer le fait que pas moins de 75 % des ventes immobilières à Paris sont concrétisées par des Algériens et non pas par les Français? La fuite des capitaux s'opérent aussi de l'intérieur .
Comment aider l’Algérie a se développer et à sortir de cette dépendance aux hydrocarbures ?
Comment expliquez vous ce désintéressement économique de la diaspora ?
Commentaire