Bonjour, Je pense à Emirates qui a misé gros sur une future commmande d'A380, il y a aussi d'autres compagnies comme Singapore airlines qui me viennent à l'esprit, une bonne affaire en quelque sorte pour ceux qui ont mis le paquet.
Croissance Devant la reprise du trafic aérien, certaines compagnies peinent à dénicher des avions. Elles ont déjà écumé le désert de Majave, dans l'Arizona. Au risque de perdre des parts de marché.
LA PÉNURIE d'avions d'occasion guette le transport aérien. La reprise du trafic aérien est si vive que certaines compagnies aériennes peinent aujourd'hui à dénicher des avions de seconde main à louer pour répondre à l'afflux de passagers. Même la réserve des 2 100 avions parqués en plein désert américain de Mojave, en Arizona, ne permet plus de pallier les besoins des compagnies. «Une année de production, soit plus de 600 avions commerciaux immobilisés en Arizona, a déjà été remise en service à la demande de compagnies aériennes»,
«L'âge des avions, leurs conditions d'exploitation, les normes antipollution et les contraintes de bruit autour des aéroports ont empêché qu'un plus grand nombre d'avions immobilisés quittent le désert d'Arizona»,
explique-t-il.Delta Airlines, Continental Airlines, United Airlines... Beaucoup d'entre eux sont de pavillon américain, mis de côté pour des raisons économiques au lendemain du 11 septembre 2001. Heureusement, certains ont peu de chance de redécoller un jour. remarque Chris tophe Quarante, analyste chez Natexis Bleichroeder. Selon ce dernier, il reste à peu près 1 300 avions toujours cloués au sol sur place.Les avions les plus récents et compétitifs ont bel et bien été pillés. Le désert de Mojave a permis ces derniers mois à nombre de compagnies de faire face, à moindre coût, à la reprise du trafic aérien. Mais l'exercice s'avère parfois périlleux. L'avion MD 82 de la compagnie colombienne West Caribbean qui s'est écrasé l'été dernier, tuant 161 passagers, avait justement été parqué plusieurs années dans le désert américain... Pas très rassurant.
La suite...
Croissance Devant la reprise du trafic aérien, certaines compagnies peinent à dénicher des avions. Elles ont déjà écumé le désert de Majave, dans l'Arizona. Au risque de perdre des parts de marché.
LA PÉNURIE d'avions d'occasion guette le transport aérien. La reprise du trafic aérien est si vive que certaines compagnies aériennes peinent aujourd'hui à dénicher des avions de seconde main à louer pour répondre à l'afflux de passagers. Même la réserve des 2 100 avions parqués en plein désert américain de Mojave, en Arizona, ne permet plus de pallier les besoins des compagnies. «Une année de production, soit plus de 600 avions commerciaux immobilisés en Arizona, a déjà été remise en service à la demande de compagnies aériennes»,
«L'âge des avions, leurs conditions d'exploitation, les normes antipollution et les contraintes de bruit autour des aéroports ont empêché qu'un plus grand nombre d'avions immobilisés quittent le désert d'Arizona»,
explique-t-il.Delta Airlines, Continental Airlines, United Airlines... Beaucoup d'entre eux sont de pavillon américain, mis de côté pour des raisons économiques au lendemain du 11 septembre 2001. Heureusement, certains ont peu de chance de redécoller un jour. remarque Chris tophe Quarante, analyste chez Natexis Bleichroeder. Selon ce dernier, il reste à peu près 1 300 avions toujours cloués au sol sur place.Les avions les plus récents et compétitifs ont bel et bien été pillés. Le désert de Mojave a permis ces derniers mois à nombre de compagnies de faire face, à moindre coût, à la reprise du trafic aérien. Mais l'exercice s'avère parfois périlleux. L'avion MD 82 de la compagnie colombienne West Caribbean qui s'est écrasé l'été dernier, tuant 161 passagers, avait justement été parqué plusieurs années dans le désert américain... Pas très rassurant.
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