Le ministre de la PME, Mustapha Benbada, a révélé que le gouvernement compte lancer une campagne de sensibilisation afin de clarifier les dispositions de la loi de finances complémentaire, publiée le mois de juillet dernier. Cette compagne, ordonnée par le président de la république, vise à supprimer les malentendus qui entourent certains de ses articles, notamment ceux concernant les activités économiques et l’investissement.
Benbada a souligné, lors d’une conférence de presse, tenue au siège de son ministère, à Alger, que 95% des mesures prévues par le budget additionnel sont positives. Elles s’inscrivent dans le cadre du la politique du gouvernement, visant à « sauvegarder nos moyens financiers et à protéger nos intérêts économiques, » qui appartiennent à la nation, et non pas à des individus ou à des chefs d’entreprises.
Selon le ministre de la PME, les avantages de cette loi ont été couverts, par le tapage médiatique qui a été provoqué par les hommes d’affaires et chefs d’entreprises opérant dans « l’import import », pour lesquels le gouvernement a été obligé de régler leurs factures, uniquement via le crédit documentaire.
Benbada a affirmé que de telles mesures sont venues pour mettre un terme à l’épuisement des ressources financières du pays, pour exemple, l’activité des concessionnaires de vente d’automobiles, qui collectent les crédits automobiles et épargnes des citoyens, qu’ils transfèrent à l’étranger au détriment des réserves de change.
17-08-2009
Par D.B, El-Khabar
Benbada a souligné, lors d’une conférence de presse, tenue au siège de son ministère, à Alger, que 95% des mesures prévues par le budget additionnel sont positives. Elles s’inscrivent dans le cadre du la politique du gouvernement, visant à « sauvegarder nos moyens financiers et à protéger nos intérêts économiques, » qui appartiennent à la nation, et non pas à des individus ou à des chefs d’entreprises.
Selon le ministre de la PME, les avantages de cette loi ont été couverts, par le tapage médiatique qui a été provoqué par les hommes d’affaires et chefs d’entreprises opérant dans « l’import import », pour lesquels le gouvernement a été obligé de régler leurs factures, uniquement via le crédit documentaire.
Benbada a affirmé que de telles mesures sont venues pour mettre un terme à l’épuisement des ressources financières du pays, pour exemple, l’activité des concessionnaires de vente d’automobiles, qui collectent les crédits automobiles et épargnes des citoyens, qu’ils transfèrent à l’étranger au détriment des réserves de change.
17-08-2009
Par D.B, El-Khabar
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