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Les barons de l’import import derrière la campagne contre le gouvernement

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  • Les barons de l’import import derrière la campagne contre le gouvernement

    Le ministre de la PME, Mustapha Benbada, a révélé que le gouvernement compte lancer une campagne de sensibilisation afin de clarifier les dispositions de la loi de finances complémentaire, publiée le mois de juillet dernier. Cette compagne, ordonnée par le président de la république, vise à supprimer les malentendus qui entourent certains de ses articles, notamment ceux concernant les activités économiques et l’investissement.

    Benbada a souligné, lors d’une conférence de presse, tenue au siège de son ministère, à Alger, que 95% des mesures prévues par le budget additionnel sont positives. Elles s’inscrivent dans le cadre du la politique du gouvernement, visant à « sauvegarder nos moyens financiers et à protéger nos intérêts économiques, » qui appartiennent à la nation, et non pas à des individus ou à des chefs d’entreprises.

    Selon le ministre de la PME, les avantages de cette loi ont été couverts, par le tapage médiatique qui a été provoqué par les hommes d’affaires et chefs d’entreprises opérant dans « l’import import », pour lesquels le gouvernement a été obligé de régler leurs factures, uniquement via le crédit documentaire.

    Benbada a affirmé que de telles mesures sont venues pour mettre un terme à l’épuisement des ressources financières du pays, pour exemple, l’activité des concessionnaires de vente d’automobiles, qui collectent les crédits automobiles et épargnes des citoyens, qu’ils transfèrent à l’étranger au détriment des réserves de change.

    17-08-2009
    Par D.B, El-Khabar
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

  • #2
    Pas uniquement

    il y a aussi la horde des FAistes maarocains

    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

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    • #3
      Les barons de l’import import
      qui sont ils?
      Mr NOUBAT

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      • #4
        Savez-vous au moins que l'élaboration de la LFC 2009 contrairement à toutes autres LFC promulguées par l'Etat algérien a été fait suite à une concertation avec les banques, l'association des banques et établissements financiers, Banque d'Algérie, Dounaes algériennes, Trésor, ONS, UGTA et deux organisations patronales (CAP et FCE) en plus des équipes chargées de l'élaboration du budget de l'Etat rattachées au Trésor?

        *****

        == MODERATION ==
        Soyez poli et évitez les propos provocateurs - Lisez la charte du forum.

        Commentaire


        • #5
          Savez-vous au moins que l'élaboration de la LFC 2009....a été fait suite à une concertation ....UGTA et
          Avec l'UGTA ou avec Sidi Said ?

          Quand on sait comment se prennent les décisions à l'UGTA, on comprend une bonne partie de la gouvernance à l'algérienne.

          S. Dalil a, de toutes évidences, raison: le régime est et a toujours été des plus autoritaires.
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

          Commentaire


          • #6
            Tout le monde sait que les barons de l'import import sont les hauts gradés de l'armée algerienne.

            TOUT CE CINEMA VISE A ELIMINER CEUX QUI COMMENCENT A EMPIÈTER SUR LEURS PLATES BANDES

            Commentaire


            • #7
              Tout le monde sait que les barons de l'import import sont les hauts gradés de l'armée algerienne.
              Admettons !

              On dira alors que le gouvernement s'attaque aux barons de l'import "nonobstant leur hauts grades dans l'armée algérienne". ça pose un problème ?

              Commentaire


              • #8
                Il s'agit d'un représentant de l'UGTA (je vous retrouverai le nom si vous voulez) qui n'est pas le Secrétaire Général.

                C'est une réunion de travail qui se charge de formuler des propositions et ne peut nullement remplacer le conseil des ministres réuni pour la discussion de la LFC durant lequel le dernier mot revient soit au président (qui peut décide son adoption par une ordonnance) soit au parlement (si la décision de faire passer cette loi au vote et au débat parlementaire est privilégiée).

                Le gouvernement (Ministre des Finances) n'a pas l'obligation de recuellir l'accord des citoyens, des organisations patronales, des organisations salariales ou des entrprises. S'il le fait, c'est juste pour les faire adhérer à ce projet et aucunement pour demander leur bénédiction.
                Dernière modification par absent, 17 août 2009, 21h44.

                Commentaire


                • #9
                  @ Chicha
                  Tout le monde sait que les barons de l'import import sont les hauts gradés de l'armée algerienne.
                  Tout comme: tout le monde sait que les barons de la drogue sont les hauts grades de l'armee marocaine.

                  Commentaire


                  • #10
                    S. Dalil tu confond les papiers signe par un ministre ou meme 1er ministre et ceux signe par le president dela RADP. C'est vraiment mal connaitre l'Algerie. Le decret sur le cheque pour tout achat de + de 50000 DA et l'histoire des 20 millions de DA pour l'importation c'etait des decrets du 1er ministre. Ce genre de decret, certains peuvent esperer qu'ils soient annules si le premier ministre est remplace.

                    Mais ici, il s'agit d'un papier signe par le president de la Republique: loi de finance complementaire. Aucune chance que ce soit annule. Pas l'ombre d'une chance. Le parlement qui est une caisse de resonance (et c'est tant mieux pour 1 fois) ne va jamais oser desobeir a Boutef et changer la loi.

                    ∑ (1/i²) = π²/6
                    i=1

                    Commentaire


                    • #11
                      Et si boutef change lui même ce machin?
                      La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                      • #12
                        L'espoir fait vivre.

                        Non serieux.. je crois vraiment pas que Boutef va revenir sur sa decision. Sa decision il l'a prise depuis plus d'une annee et il l'a fait connaitre durant son fameux discours de Juillet 2008 quand il a rassemble tout les cadres et les elus de la nation pour faire sa propre autocritique, et aussi critiquer les pseudo-investisseur qui n'investissaient rien et les barons de l'import-import.

                        Franchement: aucune chance qu'il revient sur sa decision a mon avis.

                        Voici un article d'El Watan de l'an dernier qui decrit ce fameux discours:

                        Devant un parterre de présidents d’Assemblées communales (APC), de walis, de walis délégués et de membres du gouvernement, le premier magistrat du pays, Abdelaziz Bouteflika, a opté cette fois-ci pour l’autocritique.


                        A l’ouverture des travaux de la rencontre avec les maires, organisée à la coupole du 5 Juillet, le chef de l’Etat n’a pas ménagé « certains » investisseurs étrangers et n’a pas non plus été tendre avec les jeunes. Il a reproché aussi aux élus locaux une certaine « démotivation ». Faisant son mea culpa, M. Bouteflika reconnaît que des erreurs ont été commises par le passé et que des corrections s’imposent. « Nous avons choisi des chemins qui ne nous ont pas menés au paradis, nous devons alors revoir notre stratégie et notre vision, notamment dans le domaine de l’investissement. Je ne vise personne et je n’incrimine personne. Nous sommes tous responsables et nous devons faire notre autocritique », a déclaré le président de la République, qui a tenu à préciser que les investissements étrangers sont certes les bienvenus dans notre pays, à condition qu’il soient d’abord bénéfiques et rentables pour l’Algérie.« Durant les années 1980, l’Algérie n’était pas en mesure de négocier quoi que ce soit. Elle n’était pas en position de force ; aujourd’hui, elle a les moyens de sa politique et nous avons décidé de vendre au plus offrant », a précisé le chef de l’Etat. « Le privé ne pense qu’à son propre intérêt et relègue en second lieu les besoins des citoyens algériens... Il est triste de voir qu’aucun privé n’a pris l’initiative de construire une salle de cinéma », a-t-il regretté. Le sujet lui tient apparemment à cœur puisque plus loin, le chef de l’Etat cite l’exemple d’un investisseur venu investir 700 millions de dollars et qui, au bout de trois ans, a généré un bénéfice de deux milliards de dollars et l’Algérie n’a rien gagné. « Des investissements pareils on n’en veut pas », a avoué le Président.
                        Abordant la problématique de l’emploi, le chef de l’Etat a déploré le fait que l’Algérie ait la réputation d’être un pays de « trabendo », de drogue et d’être le terreau de plusieurs fléaux sociaux. Le Président bat en brèche la thèse relative à l’absence de postes d’emploi. Pour lui, il n’y a pas de chômage en Al
                        gérie ; seulement, nos jeunes préfèrent le gain facile. « Les secteurs du bâtiment et de l’agriculture cherchent désespérément des travailleurs », s’est exclamé Abdelaziz Bouteflika qui, sans tergiversation, accuse les jeunes de vouloir tous travailler dans l’administration et de surcroît comme « gardien de nuit ». « Ceci est pour moi un phénomène social. Il faut évacuer ces idées et retrousser ses manches. Personnellement, je conteste le chiffre de 11% de chômage, il est trop élevé et loin de la réalité », a estimé le chef de l’Etat.Concernant le thème de la rencontre en elle-même, le premier magistrat du pays a appelé les élus locaux à présenter leurs propositions et observations en vue d’ériger les communes en institutions à même de répondre aux attentes du gouvernement. Il a, dans ce contexte, souligné la nécessité de procéder à « une évaluation » de la formation dont ont bénéficié les présidents des APC à l’initiative du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales. Il existe « une relation étroite entre l’électeur et l’élu, basée sur une confiance inébranlable. Si cette relation perd de sa crédibilité, les fondements de l’Etat seraient en danger », a averti le chef de l’Etat, en précisant que les élus, choisis en toute transparence, sont tenus d’affirmer tout le poids de l’Etat. Il relève au passage que les citoyens ont tendance à croire que le règlement de leurs problèmes relève de la seule responsabilité du gouvernement, voire même de la présidence de la République. « Je veux des propositions, des idées qui émanent de la base et non l’inverse. Certains problèmes soumis au gouvernement concernant les régions du Sud me laissent perplexe et relèvent de l’imaginaire. Chacun de nous doit assumer ses responsabilités », a-t-il souligné, en rappelant l’impératif pour les wilayas de disposer d’un mécanisme de collecte des propositions en provenance des communes. « Je pense que nous nous retrouvons dans une situation d’inertie, dans l’attente d’instructions venant du sommet », a fait savoir le chef de l’Etat, appelant les élus locaux à apporter leurs initiatives.
                        Mettant l’accent sur les APC bloquées à cause de divergences existant entre les différents partis politiques, le Président a affirmé que « le multipartisme, acquis pour le peuple, met à nu de nouvelles problématiques qu’il convient de traiter en toute objectivité au niveau de la commune ». S’agissant du taux de réussite aux épreuves du baccalauréat, le chef de l’Etat a relevé que ce dernier était moins important dans ces régions, comparé au nord du pays. « Nous avons procédé à une analyse de cet état de fait et sommes parvenus à des conclusions à même de consolider l’encadrement au niveau de ces communes éloignées, un encadrement susceptible de garantir une vie digne aux enseignants », a affirmé le président de la République, rappelant que l’Algérie dispose de moyens suffisants pour faire face aux problèmes à court terme.



                        Par Nabila Amir

                        ∑ (1/i²) = π²/6
                        i=1

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                        • #13
                          Admettons !

                          On dira alors que le gouvernement s'attaque aux barons de l'import "nonobstant leur hauts grades dans l'armée algérienne". ça pose un problème ?

                          Jawzia

                          ...............................

                          Qui admettons ? Tu ferais partie du systeme ??

                          En admettant voudrais tu dire ?

                          Le gouvernement ne peux poser aucun probleme à ceux qui le dirigent , le font et le défont à savoir la mafia militaro-politico-financière qui tient le pays depuis 1962 .

                          Commentaire


                          • #14
                            Tout comme: tout le monde sait que les barons de la drogue sont les hauts grades de l'armee marocaine.

                            The Dice Man


                            Possible( mais ça reste à vérifier) mais je n'irais pas comme avancer des idioties comme celle ci

                            Admettons !

                            On dira alors que le gouvernement s'attaque aux barons de l'import "nonobstant leur hauts grades dans l'armée algérienne". ça pose un problème ?

                            Commentaire


                            • #15
                              Qui admettons ? Tu ferais partie du systeme ??

                              En admettant voudrais tu dire ?
                              Admettons, signifie (en bon français) ; Soit ! Sopposons qu'il en soit ainsi, reconnaissons pour véritable l'assertion ...

                              Rien n'interdit à ce que tu préfères la forme "adverbiale". Mais que rien n'oblige à en faire une règle.

                              Commentaire qui n'a rien d'économique mais qui pourrait servir (en levant l'ambiguïté) à quelques lycéens de passage sur ce forum (et ils sont nombreux).
                              Dernière modification par jawzia, 24 août 2009, 01h57.

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