Le Maroc fabrique seulement 25 % de ses médicaments. ?

[djet 7]

ignature pltôt la propagende du voisin bien aimé
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pas de signature c'est ma propre citation
et pour la propagande lis bien l'article ,vous n'allez pas taxer votre press de propagande

[jawzia]

Un marché traditionnellement très médicalisé
confronté à de multiples défis.
10 décembre 2006. Mission économique, ambassade de France en Algérie

Etat sanitaire de la population algérienne
L’état sanitaire de la population (plus de 33 millions d’habitants) présente à la fois les caractéristiques des pays en développement, par la persistance de maladies transmissibles (tuberculoses, maladies à transmission hydrique, zoonoses…) et celles des pays développés par l’émergence de « maladies de civilisation » (cancers, diabètes, affections cardio-vasculaires…).

Par ailleurs, ces dernières années, l’augmentation de l’espérance de vie et la diminution de l’accroissement démographique ont eu pour conséquence une modification de la pyramide des âges. La population de moins de 20 ans est toujours très importante mais tend à diminuer (42,7% en 2003 contre 58% 1966). En conséquence, la classe d’âge 20 à 59 ans augmente et atteint, en 2003, 50% contre 36% en 1996. Parallèlement, les personnes âgées de plus de 60 ans représentent plus de 7% en 2003. Les conséquences directes en termes de santé publique vont se traduire par une augmentation des pathologies liées à l’âge (cancers, affections cardio-vasculaires…) et l’émergence de pathologies gériatriques nécessitant des soins spécialisées de haut niveau.

La consommation médicamenteuse.
La consommation médicamenteuse était, en 2005 de 700 M/UV soit 1,8 unités vente par habitant par mois (contre 370M/UV en 2000, pour 1,15 UV/hab/mois). Les ménages représentent 70% de la consommation globale et les structures sanitaires 30%. Les deux premiers segments du marché pharmaceutique algérien sont les anti-infectieux et anti-parasitaires puis les anti-inflammatoires, suivis du traitement des dysfonctionnements gastro-entérologiques et du traitement du diabète. Les tendances de la consommation algérienne rejoignent celles des pays industrialisés du fait notamment du vieillissement de la population et de l’accroissement des maladies de « civilisation ».

Selon les prévisions, la consommation par habitant devrait doubler dans les 10 prochaines années. En 2002, les génériques représentaient en valeur 56% des ventes en officines et 64% en quantité. Les génériques représentent 15% de la consommation globale de médicaments.

Les infrastructures de santé
Le secteur de la santé publique est divisé en 185 secteurs sanitaires, 48 Directions de la Santé et de la Population (DSP) et 5 régions sanitaires. L’infrastructure hospitalière publique est constituée de 224 hôpitaux relevant des secteurs sanitaires, 31 Etablissements Hospitaliers Spécialisés (EHS), 13 Centres hospitalo-universitaires (CHU) et 392 maternités totalisant environ 54 000 lits. Les infrastructures extrahospitalières comprennent 504 polycliniques, 5368 centres de santé et salles de soins, 515 centre médico-sociaux, 1 121 unités de dépistage et de suivi de santé scolaire, 80 unités de médecine préventive en milieu universitaire, 120 centres de transfusion sanguine et 1012 officines de pharmacie (contre 5502 officines de pharmacie privées).

L’ouverture du secteur au privé date de 1988 avec la promulgation du décret 88-204 du 18 octobre 1988 régissant « les conditions de réalisation, d’ouverture et de fonctionnement des cliniques privées ». Les insuffisances des services du secteur public ont entraîné une multiplication sur tout le territoire algérien de cliniques privées, cabinets et centres radiologiques. On recense, en 2006, 221 cliniques privées totalisant plus de 3400 lits. La spécialité la plus répandue est la chirurgie générale et la gynécologie obstétrique.

[bledard_for_ever]

La consommation médicamenteuse était, en 2005 de 700 M/UV

Ce sont des chiffres de 2005..... 700 millions unités vente par an.

Là ont tend vers le milliard

[amicalement]

mais comme par hasard notre voisin de l'ouest ne produit que 270 MU, qui couvre 100% des besoins et en export 10% en plus, il faudrait vraiment envoyer nos dirigeants au maroc pour qu'ils apprennent ce type de management unique en son genre.