en voyant ca , je crois que je vais changer de metier et me mettre a l’immobilier.
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Le tourisme continue de tirer l’investissement à Marrakech. Sur les neuf premiers mois de l’année en effet, le Centre régional d’investissement (CRI) a donné un avis favorable pour quelque 543 projets. Le montant total des engagements s’élève à 47 milliards de DH et devrait généré près de 38.000 emplois permanents.
Ce chiffre n’est pas fortuit puisque les plus grands investissements touchent essentiellement le secteur touristique et représentent plus de 40 milliards. Résidences touristiques, hôtels et lieux de loisirs et détente (golf, spa) constituent les principaux chantiers lancés dans la ville ocre.
Dans ce volume, de nouveaux entrants mais aussi des engagements qui n’ont été conclus qu’en 2005. “C’est un bilan positif, qui nous pousse à fournir plus d’efforts pour la concrétisation rapide de ces projets ainsi que leur suivi”, indique Abderrazak Moumni, directeur du CRI Marrakech. Outre le volume, Marrakech a attiré cette année des investisseurs de renom. Ainsi, parmi les projets d’investissement dans l’hôtellerie, signalons l’installation d’un Four Seasons. La convention avec le gouvernement marocain a été conclue en juillet dernier. C’est un projet de 850 millions de DH et qui réunit des investisseurs marocains, saoudiens et anglais (cf. www.leconomiste.com).
Autre enseigne à avoir choisi Marrakech, la Banyan Tree. C’est un investissement de la société Interedec d’Omar Kabbaj, qui consiste en un hôtel palace et des villas de luxe. Toujours dans l’hôtellerie, à noter Assoufid B.V dans la commune de Sâada, projet qui s’étend sur 222 hectares. L’investissement global est de 1 milliard de DH et va générer 500 emplois directs grâce à la construction d’un hôtel de luxe, golf et villas.
Pour ce qui est de la création d’entreprises, le CRI de Marrakech a délivré durant cette même période, près de 2.118 certificats négatifs et traité 1.061 dossiers. “Le délai a été réduit à quelques jours. Cela est dû aux nouvelles mesures prises pour faciliter les procédures des nouveaux investisseurs”, explique Moumni.
La répartition par forme juridique fait ressortir une nette domination de la SARL -société à responsabilité limitée- avec plus de 50%. Cette forme devance les personnes physiques (moins de 30%) et la Société au nom collectif. En revanche, la SA (société anonyme) ferme la marche avec à peine 6 nouvelles entreprises qui ont choisi cette forme juridique, soit moins de 1%.
Par ailleurs, le tourisme a eu de fait un effet d’entraînement sur l’ensemble du secteur du BTP. Ce qui le place, en termes d’investissements, en seconde position avec 4,4 milliards de DH. A l’origine de cette forte activité, les nombreux projets immobiliers envisagés dans la ville pour répondre à une demande grandissante. La réputation de Marrakech comme ville résidentielle n’est pas en reste. En témoignent aujourd’hui les complexes touristiques et des villas pour milliardaires qui s’étendent sur 20 km autour de la capitale du tourisme.
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Le tourisme continue de tirer l’investissement à Marrakech. Sur les neuf premiers mois de l’année en effet, le Centre régional d’investissement (CRI) a donné un avis favorable pour quelque 543 projets. Le montant total des engagements s’élève à 47 milliards de DH et devrait généré près de 38.000 emplois permanents.
Ce chiffre n’est pas fortuit puisque les plus grands investissements touchent essentiellement le secteur touristique et représentent plus de 40 milliards. Résidences touristiques, hôtels et lieux de loisirs et détente (golf, spa) constituent les principaux chantiers lancés dans la ville ocre.
Dans ce volume, de nouveaux entrants mais aussi des engagements qui n’ont été conclus qu’en 2005. “C’est un bilan positif, qui nous pousse à fournir plus d’efforts pour la concrétisation rapide de ces projets ainsi que leur suivi”, indique Abderrazak Moumni, directeur du CRI Marrakech. Outre le volume, Marrakech a attiré cette année des investisseurs de renom. Ainsi, parmi les projets d’investissement dans l’hôtellerie, signalons l’installation d’un Four Seasons. La convention avec le gouvernement marocain a été conclue en juillet dernier. C’est un projet de 850 millions de DH et qui réunit des investisseurs marocains, saoudiens et anglais (cf. www.leconomiste.com).
Autre enseigne à avoir choisi Marrakech, la Banyan Tree. C’est un investissement de la société Interedec d’Omar Kabbaj, qui consiste en un hôtel palace et des villas de luxe. Toujours dans l’hôtellerie, à noter Assoufid B.V dans la commune de Sâada, projet qui s’étend sur 222 hectares. L’investissement global est de 1 milliard de DH et va générer 500 emplois directs grâce à la construction d’un hôtel de luxe, golf et villas.
Pour ce qui est de la création d’entreprises, le CRI de Marrakech a délivré durant cette même période, près de 2.118 certificats négatifs et traité 1.061 dossiers. “Le délai a été réduit à quelques jours. Cela est dû aux nouvelles mesures prises pour faciliter les procédures des nouveaux investisseurs”, explique Moumni.
La répartition par forme juridique fait ressortir une nette domination de la SARL -société à responsabilité limitée- avec plus de 50%. Cette forme devance les personnes physiques (moins de 30%) et la Société au nom collectif. En revanche, la SA (société anonyme) ferme la marche avec à peine 6 nouvelles entreprises qui ont choisi cette forme juridique, soit moins de 1%.
Par ailleurs, le tourisme a eu de fait un effet d’entraînement sur l’ensemble du secteur du BTP. Ce qui le place, en termes d’investissements, en seconde position avec 4,4 milliards de DH. A l’origine de cette forte activité, les nombreux projets immobiliers envisagés dans la ville pour répondre à une demande grandissante. La réputation de Marrakech comme ville résidentielle n’est pas en reste. En témoignent aujourd’hui les complexes touristiques et des villas pour milliardaires qui s’étendent sur 20 km autour de la capitale du tourisme.
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