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La Tunisie fait mieux que l'Algérie et le Maroc

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  • #46
    i'm just suggesting you to compare to little countries as yours (jordan and lebannon) although, they've done even better then you do ...they dont consider them selves to be leaders or something like that as you do...
    Jordan can be compared to Tunisia only in education, Lebaban I don't know where it's classified in Education field it's not in the report of the ODCE

    Else what Tunisia did in Economy it could not be compared to a small country like Lebanan or jordan !!! Because we did better then that sometimes tenth of times. Tunisia should be compared to Turkey, Polonia, Ukrain, romania, Egypt, Marroco, china, india...etc. this is our concurent.

    Marocco our challenge in Tourism
    Egypt concurrent in Tourism and some industry fields (Specially construction materials, Hardware and software industries)
    Turkey our challenge in Tourism, Industry, services
    Greece, Italy and spain concurrent in olive oil
    Polonia, Ukrain, romania...etc. ou concurrent in the mechanical, electrical and Information Technologies industries
    China and India our challenge in the textile & clothing industries

    I agree that we are a small country and we have only 10 Millions people but others consider us a challenge or solid concurrent.

    Just for ur information the exchange between tunisia and france, Italy or even Germany exceed or little less then it's similar with marocco. You are 35 Million and we are only 10. Just try to explain to other how it come ???

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    • #47
      La Tunisie est de loin l'economie la plus competitive et la plus moderne de la region. Pas besoin de comparer.

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      • #48
        I agree that we are a small country and we have only 10 Millions people but others consider us a challenge or solid concurrent.

        Just for ur information the exchange between tunisia and france, Italy or even Germany exceed or little less then it's similar with marocco. You are 35 Million and we are only 10. Just try to explain to other how it come ???
        je vais te reposer de l'anglais un instant ..trop de bavures en sortent

        la tunisie du fait, de l'étroitesse de son marché interne se tourne vers l'export
        ce qui n'est pas le cas de la marocaine

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        • #49
          On ne peut pas comparer l'Algérie et la Tunisie alors que pour relier leur grandes villes il suffit de quelques kilomètres de routes quand il en faut des milliers en Algérie . De plus les tunisiens ont une mentalité de gens corvéables ,jamais un algérien n'accepterait de faire le clébard pour quelques dizaines d'euros . De plus si nous étions jaloux on ne leur permettrait plus d'expliter le pétrole d'El Borma dont le réservoir se d'hydrocarbure se situe en territoire algérien .
          Le travail pour nous est comme la priere..c'est un devoir !!! pas question en Tunisie de de parler d'un metier ou d'un travailleur de ta facon !! pcq chaqu'un joue son role dans la societe et la societe a besoin de tous les metiers.

          Elborma c dans le territoire Tunisien et il y a bcp de methode pour savoir si un pays profite de l'autre...donc pas question de fabriquer des histoires.
          Sinon la Tunisie payent a chaque annee presque 300Millions de $ juste pour l'achat de gaz et le petrole de l'algerie et 800M$ pour la libye...Donc rien n'est gratuit. Peut etre des prix preferentiels pour fideliser les clients c tout

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          • #50
            la tunisie du fait, de l'étroitesse de son marché interne se tourne vers l'export
            ce qui n'est pas le cas de la marocaine
            Enfin t'as compris

            je vais te reposer de l'anglais un instant ..trop de bavures en sortent
            Thanks dear
            C normal pcq J'ai deja sommeil
            A+

            Commentaire


            • #51
              La finance islamique dévoile ses charmes

              Par Ingrid Labuzan, 10 mars 2009

              Pas d'exposition aux produits toxiques du type subprime, voilà ce qui a sauvé la finance islamique. Aucune chance en effet qu'elle succombe à la tentative de ces actifs : cette finance est régie par un ensemble de règles religieuses qui interdisent, entre autres, la spéculation et les taux d'intérêt.
              Heureusement pour l'Occident : "La loi islamique ne requiert pas que le vendeur d'un produit soit musulman, ni que ses autres services soient islamiques." En bref, la finance islamique est également ouverte aux non-musulmans. Nabeel Shoaib, directeur de HSBC Amanah, tord ainsi le cou aux idées reçues, dans le magazine The Banker.
              Quand la banque se plie à la règle religieuse
              Les origines de la finance islamique remontent aux années 1970, avec la création de la première banque commerciale islamique et de l'Islamic Development Bank. Elle a ensuite connu une accélération après les attentats du 11-Septembre, alors que les capitaux arabes étaient massivement rapatriés vers le golfe Persique. Ajoutez à cela l'explosion des cours du pétrole, et vous obtenez une industrie en pleine croissance.
              D'après Usman Hayat, directeur du CFA Institute of Islamic Finance and Environmental and Social Governance, les actifs de la finance islamique se chiffreraient aujourd'hui entre 750 et 1 000 Mds$, enregistrant ces dernières années une croissance de 15 à 20% par an. La finance islamique existe pour toutes les activités bancaires, de la banque de détail à l'assurance, en passant par l'investissement.
              La charia en bref
              La différence avec notre finance occidentale classique : son respect des règles de la charia. Comment ? Par une série d'obligations et de devoirs :
              – interdiction de percevoir des intérêts pour le simple motif de l'écoulement du temps ;
              – interdiction de financer ou d'investir dans des secteurs aux activités prohibées : armes, alcool, pornographie, porc ;
              – interdiction de prendre un risque élevé, soit en souscrivant à des contrats risqués, soit en se livrant à une activité de pari, donc de spéculation ;
              – obligation d'adosser toute activité à un actif réel ;
              – obligation de partager les pertes et les profits entre les parties impliquées
              La banque islamique
              "Contrairement à la finance classique, qui peut largement reposer sur des prêts monétaires, la finance islamique promeut le commerce d'actifs concrets et le partage des risques et des pertes, encourage l'entrepreneuriat, décourage les comportements spéculatifs et insiste sur l'inviolabilité des contrats", explique Usman Hayat dans le Financial Times. De plus, la finance islamique n'investit pas dans des entreprises dont l'endettement dépasse 33%, ce qui la préserve de certaines mauvaises surprises.
              La bonne gouvernance, des bilans solides, un faible endettement – sans compter des conceptions éthiques –, voilà les critères de choix des banques islamiques quand elles sélectionnent des entreprises sur lesquelles miser. Certes, la chute du pétrole et la crise internationale du crédit pourraient causer quelques soucis de liquidités à ces établissements. D'une manière générale, leurs perspectives de croissance restent cependant exceptionnelles.
              "Avec approximativement 1,5 milliard de musulmans dans le monde, il y a un énorme potentiel de croissance pour les produits financiers basés sur des critères religieux. L'investissement charia compatible est l'un des nouveaux domaines de la finance globale à la plus forte croissance", estime Imogen Dillon Hatcher, directrice du Groupe FTSE pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique.
              Des fonds respectant la charia
              Il est possible de profiter du succès de la finance islamique, notamment grâce à l'un des cinq cents fonds islamiques existants. Ils ont une stricte manière de choisir les entreprises qui les composent. Les gérants sélectionnent celles dont les activités ne sont pas en contradiction avec la charia, puis ils éliminent celles qui sont trop endettées ou aux principes de gouvernance douteux.
              Si une entreprise s'écarte ensuite des principes religieux, une partie des dividendes est reversée à des oeuvres de charité. Le profil des entreprises choisies rend ces fonds attrayants, mais leur existence est récente, ce qui limite une analyse de leurs résultats.
              Le FTSE, le Dow Jones et le MSCI ont développé des indices islamiques, qui suivent un panier d'entreprises respectant la charia. Entre mai 2007 et fin septembre 2008, le MSCI World Islamic Index affichait 7 points de plus que le MSCI World Index. Quant à ceux que seule la présence d'un établissement bancaire dans leur quartier rassure, sachez que les banques islamiques devraient arriver en France en 2009.
              Première parution le 08/01/2009 dans le numéro 15 de MoneyWeek

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              • #52
                Churikan la base de l'économie tunisienne sont le tourisme ,le textile et les call-centers donc rien qui fait de ton pays un pays moderne . Quand à dire que travailler est un devoir comme la prière, vu l'état de l'islam dans votre pays vous ne devez pas travailler beaucoup .
                C'est pitoyable au lieu de nous entraider on essaye de s'enfoncer les uns les autres.
                Ça sert à quoi ce genre de messages ?

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                • #53
                  Enfin t'as compris
                  plutot enfin je te fais compris ..pour avoir de bonnes réponses; il faut poser les bonnes questions
                  Thanks dear
                  C normal pcq J'ai deja sommeil
                  A+
                  you're welcome
                  comme tu vois le "misunderstunding" trouvait origine dans la langue (en plus t'étais fatigué)

                  pour ce qui est de la modernité d'une économie, je crois bien que la majorité des spécialistes s'accordent à dire qu'elle est évaluée par le quote-part du secteur des services dans le PIB
                  Dernière modification par Alloudi, 23 mars 2009, 15h33.

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                  • #54
                    you're welcome
                    comme tu vois le "misunderstunding" trouvait origine dans la langue (en plus t'étais fatigué)

                    pour ce qui est de la modernité d'une économie, je crois bien que la majorité des spécialistes s'accordent à dire qu'elle est évaluée par le quote-part du secteur des services dans le PIB
                    45 % pour la Tunisie,c'ets assez pour toi ?

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                    • #55
                      45 % pour la Tunisie,c'ets assez pour toi ?
                      étant donné que je ne suis pas spécialiste, je m'en fous carrément

                      mais à vrai dire je crois que c'est plus ! le chiffre est à jour ? une source peut être ?

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