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Carrefour évoque une mésentente et songe à revenir sur le marché algérien

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  • #16
    jemaloup

    c'est normal, parce que l'état est encore acteur économique...

    la première emergence du privé date de l'époque ouyahia I.... C'est à cette époque ou les rebrab les haddad etc on emergé... 500000 licenciements dans les entreposes publiques...

    ça résiste encore...

    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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    • #17
      erreur....

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      • #18
        Des préjugées ... encore des préjugées

        Envoyé par chicha51
        Tout ce que je sais c'est que l'Algérie importe 98 % de ses besoins en tout et exporte 98% de ses ressources limitées aux hydrocarbures et.... aux dattes.

        Et c'est pas moi qui le dit , les experts algériens eux mêmes le reconnaissent
        On ne parle pas d’exportation. Le seule secteur où les algériens investissent le plus c’est bien celui de l’agro-alimentaire. Les produits sont de très bonne qualité et bon marché. Beaucoup moins cher que les prix pratiqués au Maroc.
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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        • #19
          Je suis sûr qu'il ne le pense pas. C'est juste un après midi linguistique mouvementé qui en est la cause. Tout ira mieux demain !
          Il est parti acheter un Becherel, pour apprendre à conjuguer l'impératif....

          Niveau primaire je te dis..

          il faut pas dire à Ayoub par ailleurs que Sibawayeh est un perse, il va lui aussi perdre son arabe à force de parler de chiite... a supposer qu'il maitrise cette langue
          Dernière modification par bledard_for_ever, 16 mars 2009, 21h57.
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #20
            Les importations alimentaires sans cesse croissantes

            La facture alimentaire de l’Algérie est en passe d’atteindre un montant record cette année.

            Selon les données du centre national de l’information et des statistiques (CNIS), les importations des produits alimentaires ont dépassé les 5,75 milliards de dollars durant les neuf premiers mois de l’année en cours, alors que les exportations sont estimées à 98 millions de dollars. Il va sans dire que la balance commerciale pour cette catégorie de produits est largement en défaveur de l’Algérie qui dépend presque entièrement du marché international et de ses cours volatils. Cette situation aurait été moins intenable si l’Algérie arrivait à exporter ce que ses terres auraient produit afin d’équilibrer sa balance commerciale agricole.

            Cependant, seule une quantité marginale de dattes, de vin et de quelques produits maraîchers a pu se faire une petite place sur les marchés étrangers. Les besoins de notre pays en lait, café, sucre, céréales qui constituent des produits de large consommation sont essentiellement couverts par les importations. Les pays voisins qui n’ont pourtant pas les ressources naturelles de l’Algérie arrivent à produire et à exporter des produits agricoles et agroalimentaires. La balance commerciale alimentaire de la Tunisie était excédentaire en 2007. La même tendance a été enregistrée durant les sept premiers mois de l’année 2008, où l’on a constaté une croissance de 21,4% des exportations des produits alimentaires par rapport à la même période de l’année 2007. La Tunisie a donc réussi à diversifier ses exportations. L’Algérie qui dispose pourtant de moyens financiers beaucoup plus importants n’arrive toujours pas à relever un tel défi s’enlisant davantage dans la dépendance alimentaire. Si jusqu’à présent une certaine opulence financière à la faveur de recettes pétrolières exceptionnelles voilait le danger, la dégringolade du prix du pétrole qui représente la principale source de revenus du pays a mis en évidence la fragilité du maintien du pouvoir d’achat de l’Algérie.

            Le taux de couverture des importations par les exportations risque de connaître un déséquilibre les prochaines années si les cours de l’or noir continuent à chuter. Les effets pervers de cette dépendance alimentaire, jusque-là amortis par les cours élevés du pétrole, commencent à apparaître au fur et à mesure que le monde s’enlise dans une crise aux multiples facettes. La diversification de l’économie qui devrait se traduire entre autres par le développement de l’agriculture devient une urgence. Il y va de l’avenir alimentaire de toute une nation.
            Par Nora Boudedja

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            • #21
              quid du dragon agricole marocain?
              _____________________
              Maroc : Facture alimentaire , neuf mois qui coûtent plus que toute l’année 2006
              !!!


              17,3 milliards de DH d’importations, soit 47,5% de plus que durant les 9 premiers mois de 2006.
              A lui seul, le blé représente 30,3% des approvisionnements alimentaires. Sa facture a plus que doublé en un an.
              La hausse des cours mondiaux des produits de base a fortement contribué à la dégradation de la situation.

              Tout pays agricole qu’il est - ou présenté comme tel - le Maroc importe beaucoup pour se nourrir. Du blé au beurre, en passant par le sucre, le thé ou encore le lait, la facture alimentaire (y compris les boissons et le tabac), avec le renchérissement des prix sur les marchés extérieurs, ne cesse de s’alourdir. Sur les neuf premiers mois de 2007, elle se monte à 17,3 milliards de DH, soit 6,6 milliards de plus (+ 47,5%) par rapport à la même période de 2006, représentant ainsi 9,5% du total des importations. Pire : les importations des 9 premiers mois sont supérieures à l’ensemble de celles de 2006, les dépassant de quelque 2 milliards de DH.On s’en doute, le blé occupe la première place avec 5,2 milliards de DH, soit 30,3% de la facture alimentaire, toujours sur la période allant de janvier à septembre. En 2006, année de bonne récolte, les importations de blé n’ont représenté que (!) 20 % des importations alimentaires. Mais, à vrai dire, si on regarde sur une longue série les statistiques relatives aux achats de ce produit à l’extérieur, on se rend bien compte que, depuis 2002, le poids du blé dans la facture alimentaire reste toujours élevé : plus de 30%. Idem pour le maïs, dont la valeur des importations n’a fait qu’augmenter depuis 2002, même si son poids dans l’ensemble des importations de produits alimentaires est resté à peu près au même niveau (environ 13%). Il n’est jusqu’à l’orge, produit destiné surtout à l’alimentation du bétail, qui n’a vu sa facture tripler entre 2006 et les neuf premiers mois de 2007, passant de 289,3 MDH à plus de 900 millions. Au total, les approvisionnements en céréales (blé, maïs et orge) ont plus que doublé en valeur de janvier à septembre 2007 : 8,4 milliards de DH, contre 4,1 milliards à la même période de l’année dernière, soit une augmentation de 105,3 %.
              La productivité des cultures céréalières reste faible
              Il n’y a rien à dire, le secteur céréalier, dont la superficie en blé tendre (le plus cultivé et le plus consommé) a pourtant été multipliée par 4 en l’espace d’une vingtaine d’années (passant de 500 000 ha à 2 millions d’ha), a besoin d’être repensé. Bien sûr, il fait vivre encore de nombreuses familles, mais son rendement reste faible (environ 20 quintaux à l’hectare contre une moyenne de 60 ailleurs), sans parler de la qualité de sa production, qui laisse à désirer, à en croire les professionnels du blé.En revanche, les importations de lait (en poudre principalement) restent quasiment stables depuis cinq ans : quelque 16 000 à 17 000 tonnes par an, soit une moyenne de 2% dans la facture alimentaire ; sauf sur les neuf premiers mois de 2007 où les achats ont augmenté et en volume (19 500 tonnes) et en valeur (542,2 MDH, contre une moyenne de 300 millions de DH les années précédentes).Situation quasi identique pour le beurre : depuis 2002, le Maroc importe, à quelques centaines de kilogrammes près, la même quantité (environ 35 000 tonnes), sauf sur les neuf mois de cette année où seulement 18 700 tonnes ont été importées. Par contre, en valeur, la hausse a commencé dès 2005 : d’une moyenne de 525 MDH jusqu’en 2004, la facture pour ce produit tourne autour de 650 millions depuis 2005. Le recul des achats de ce produit en 2007 s’expliquant sans doute par la hausse des prix qui l’ont affecté puisque pour 18 700 tonnes importées seulement, la facture s’élève déjà à 356 MDH.
              Le sucre, autre produit dont le Maroc importe chaque année entre 500 000 et 600 000 tonnes, a connu une hausse des prix vertigineuse en 2006. Pour la même quantité achetée en 2005 et 2004, la facture en 2006 a quasiment doublé : 2,3 milliards de DH, contre quelque 1,2 milliard les années précédentes. Mais cette année, une certaine accalmie est observée sur le prix du sucre : 1,5 milliard de DH pour 562 000 tonnes, soit la moyenne des achats et de la facture déboursée pour les années avant 2006.

              La réduction de la dépendance alimentaire doit être une priorité
              Il existe de nombreux autres produits (non pourvus de classification dans la nomenclature douanière), tous rangés dans la rubrique «autres produits alimentaires», et dont le volume ne cesse d’augmenter depuis 2004 (de 693 000 tonnes à plus de 1 million de tonnes à fin septembre 2007) tout autant que la valeur (près de 5 milliards de DH sur les neuf premiers mois de 2007, contre 5 milliards sur l’ensemble de l’année 2006).Cela étant, si la facture alimentaire est en effet élevée, elle l’est par le fait qu’elle implique des sorties de devises, rognant ainsi sur les transferts des Marocains résidents à l’étranger (MRE) et des recettes de voyages, et aggravant le déficit de la balance commerciale.Par ailleurs, pour les produits subventionnés comme le blé et le sucre, le poids sur la Caisse de compensation devient énorme, comme cette année. N’oublions pas cependant que, s’agissant de la subvention, l’Etat récupère une partie de sa mise par le truchement des droits de douane, certes fortement en baisse cette année, s’agissant du blé.
              Mais quelle que soit l’importance des recettes pouvant provenir des droits de douane, lesquels, de toute façon, sont en baisse tendancielle, toute politique doit d’abord tendre à limiter au maximum la dépendance alimentaire. Nous sommes loin, pour le moment, d’être dans ce schéma.


              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #22
                Bledar, ne vas pas chercher loin, je vais te faire une confidence, la différence entre les importations alimentaires algérienne est marocaine pour 2008 n'est pas plus de 2 MDS $ en incluant les médicaments
                .


                Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                • #23
                  Une fois pour toute, le makhzen ne parle jamais de ce qui se passe en Algérie. C'est quelqu'un se trompe c'est de son fait tout simplement.
                  La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                  • #24
                    ahhh les maghrébins , toujours en train de se battre pour l'avant-dernière place
                    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                    Commentaire


                    • #25
                      ahhh les maghrébins , toujours en train de se battre pour l'avant-dernière place
                      Pas du tout faux ce que tu dis cell!
                      Il n y a plus de débat constructif. Tous les débats tournent autour des comparaisons maroc algérie. ça devient lassant à force.
                      "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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                      • #26
                        ahhh les maghrébins , toujours en train de se battre pour l'avant-dernière place

                        ils se battent meme s'ils sont hors jeu

                        Commentaire


                        • #27
                          je crois qu'il y a un petit mal entendu entre importation et production
                          par exemple parlons des céréales tout le monde sait que la production locale n'est pas suffisante et qu'on importe de grande quantités, mais leur transformation (gateaux, galettes, ..etc ) se fait localement
                          donc si carrefour vend par exemple "Bimo" ils a raison de dire que c'est un produit algérien même si la matière première est importée.
                          et la même chose s'applique pour d'autres secteurs
                          CQFD
                          moi aussi je préfère les produits locaux
                          nechri sel3et bladi bech nedman mostakbal wladi
                          Dernière modification par lamia14, 17 mars 2009, 09h41.
                          ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

                          Commentaire


                          • #28
                            l'article dit : "Les produits vendus sont achetés en Algérie, dont plus de 70% sont des produits locaux"

                            le mokh dit "Tout ce que je sais c'est que l'Algérie importe 98 % de ses besoins "

                            ---------------------------

                            donc carrfour vend des produits locaux importés

                            j'espere que tout est clair

                            mostaqbal wladi a lamia

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                            • #29
                              merci sinan c t une faute de frappe
                              ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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